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Le Nobel de littérature clôt cette année la saison des prix Nobel. La semaine dernière, le prix Nobel de la paix avait été décerné à l'Agence internationale de l'énergie atomique et à son DG Mohamed El Baradei.
Dotés de 10 millions de couronnes suédoises (1,1 million d'euros), les prix Nobel ont pour la première fois été décernés en 1901, conformément au testament du savant suédois Alfred Nobel. La remise des prix a lieu à Stockholm et Oslo chaque année le 10 décembre, jour anniversaire de la mort de Nobel à San Remo (Italie) en 1896.
L'institution est actuellement secouée par le départ de l'un de ses membres, qui a claqué la porte à la suite d'un désaccord quant au choix du lauréat de l'an dernier, accusant même ses collègues de ne pas avoir lu l'auteur primée, l'Autrichienne Elfriede Jelinek. Knut Ahnlund, 82 ans, membre de l'académie depuis 1983, écrit dans un quotidien de Stockholm que l'œuvre de Jelinek constitue « une masse de textes qui semblent enfournés ensemble sans aucune trace de structure artistique».
«C'est bien mérité. Il est une légende vivante et nous l'avons accueilli sur notre podium à plusieurs reprises», a déclaré Andrew Burgin, un porte-parole du mouvement, rappelant que le dramaturge avait pris longuement la parole lors de l'énorme manifestation de Londres contre la guerre en Irak, qui avait rassemblé des centaines de milliers de personnes en février 2003.
Dotés de 10 millions de couronnes suédoises (1,1 million d'euros), les prix Nobel ont pour la première fois été décernés en 1901, conformément au testament du savant suédois Alfred Nobel. La remise des prix a lieu à Stockholm et Oslo chaque année le 10 décembre, jour anniversaire de la mort de Nobel à San Remo (Italie) en 1896.
L'institution est actuellement secouée par le départ de l'un de ses membres, qui a claqué la porte à la suite d'un désaccord quant au choix du lauréat de l'an dernier, accusant même ses collègues de ne pas avoir lu l'auteur primée, l'Autrichienne Elfriede Jelinek. Knut Ahnlund, 82 ans, membre de l'académie depuis 1983, écrit dans un quotidien de Stockholm que l'œuvre de Jelinek constitue « une masse de textes qui semblent enfournés ensemble sans aucune trace de structure artistique».
«C'est bien mérité. Il est une légende vivante et nous l'avons accueilli sur notre podium à plusieurs reprises», a déclaré Andrew Burgin, un porte-parole du mouvement, rappelant que le dramaturge avait pris longuement la parole lors de l'énorme manifestation de Londres contre la guerre en Irak, qui avait rassemblé des centaines de milliers de personnes en février 2003.
