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L'équipe était au complet pour régler cette dernière formalité avant l'entrée en phase opérationnelle.
La secrétaire d'Etat chargée de la Famille, de l'Enfance et des Personnes handicapées, Yasmina Baddou, le wali du Grand Casablanca, les représentants du Samu social international et du Samu social de Paris, le représentant du ministère de la Santé, le président du Conseil de la ville, le président du Conseil de la région, ainsi que deux ONG casablancaises, étaient présents à cette réunion.
Le rendez-vous était en fait incontournable. Il permettait en effet de parachever les derniers détails du projet du Samu social de Casablanca, dont la convention de mise en place a été signée il y a un mois de cela sous la Présidence effective de Sa Majesté le Roi.
Rappelons que ce projet est financé par l'INDH à hauteur de 1.221.000 DH, par la commune urbaine de Casablanca (2.600.000 DH) et par le secrétariat d'Etat chargé de la Famille, de l'Enfance et des Personnes handicapées (1.000.000 DH), est désormais sur les rails. Et il faut dire qu'il vient à point nommé. Il intervient en effet au moment où le nombre de personnes en situation de rue est de plus en plus important.
Le Samu social sera opérationnel début mai 2006. Les travaux de construction du local, qui dureront six mois, ont été entamés en ce mois d'octobre. Il s'agit d'un ancien marché de l'arrondissement de Casa-Anfa, qui sera réaménagé en un local sur deux niveaux : un rez-de-chaussée pour la partie administrative et un étage pour le centre d'hébergement d'urgence avec des dortoirs pour les populations cibles, notamment les femmes et les enfants, deux groupes particulièrement vulnérables.
Pendant les six mois que dureront les travaux, l'équipe du projet sera sélectionnée. Cette période sera également mise à profit pour former le personnel médical et administratif, ainsi que les équipes mobiles, et ceci avec l'aide de spécialistes qui viendront de Paris.
Le Samu social de Casablanca agira sur les zones d'exclusion, en apportant aide et soutien à des personnes en détresse vivant dans la rue. Concrètement, deux véhicules médicalisés parfaitement identifiables avec à bord, un infirmier, un travailleur social et un chauffeur, sillonneront Casablanca deux jours et trois nuits par semaine.
Les équipes mobiles d'aide, c'est ainsi qu'on les appelle, offriront aux enfants et jeunes femmes en détresse une protection médicale et une aide psychosociale. Parmi les missions de ces équipes, l'éducation préventive, qui consistera à informer ces femmes et ces enfants des dangers auxquels ils sont exposés.
Le Centre d'accueil du quartier Bourgogne, ouvert le jour, aura une fonction complémentaire.
Les populations repérées la nuit, trouveront dans cette structure l'aide et les soins nécessaires ainsi que la possibilité de se laver et de changer de vêtements. Les cas les plus extrêmes seront hébergés, en urgence, mais pour très peu de temps, en attendant qu'ils soient orientés vers les associations relais.
Le Samu social de Casablanca se présente sous forme d'association dont le Conseil d'administration réunit les différents partenaires: le secrétariat d'Etat chargé de la Famille, de l'Enfance et des Personnes handicapées, la wilaya du Grand Casablanca, le Conseil de la ville, le ministère de la Santé, l'Entraide nationale et le Chu Ibn Rochd, le Samu social international, Solidarité féminine, Insaf, Ligue marocaine de protection de l'enfance, Bayti, Al Ihssane, SOS Village d'enfants, le Croissant Rouge, l'AMH, l'AMESIP, l'Association de lutte contre la violence à l'égard des femmes, l'Heure joyeuse, la Kasbah, l'Union de l'action féminine et Espoir trait d'Union.
La secrétaire d'Etat chargée de la Famille, de l'Enfance et des Personnes handicapées, Yasmina Baddou, le wali du Grand Casablanca, les représentants du Samu social international et du Samu social de Paris, le représentant du ministère de la Santé, le président du Conseil de la ville, le président du Conseil de la région, ainsi que deux ONG casablancaises, étaient présents à cette réunion.
Le rendez-vous était en fait incontournable. Il permettait en effet de parachever les derniers détails du projet du Samu social de Casablanca, dont la convention de mise en place a été signée il y a un mois de cela sous la Présidence effective de Sa Majesté le Roi.
Rappelons que ce projet est financé par l'INDH à hauteur de 1.221.000 DH, par la commune urbaine de Casablanca (2.600.000 DH) et par le secrétariat d'Etat chargé de la Famille, de l'Enfance et des Personnes handicapées (1.000.000 DH), est désormais sur les rails. Et il faut dire qu'il vient à point nommé. Il intervient en effet au moment où le nombre de personnes en situation de rue est de plus en plus important.
Le Samu social sera opérationnel début mai 2006. Les travaux de construction du local, qui dureront six mois, ont été entamés en ce mois d'octobre. Il s'agit d'un ancien marché de l'arrondissement de Casa-Anfa, qui sera réaménagé en un local sur deux niveaux : un rez-de-chaussée pour la partie administrative et un étage pour le centre d'hébergement d'urgence avec des dortoirs pour les populations cibles, notamment les femmes et les enfants, deux groupes particulièrement vulnérables.
Pendant les six mois que dureront les travaux, l'équipe du projet sera sélectionnée. Cette période sera également mise à profit pour former le personnel médical et administratif, ainsi que les équipes mobiles, et ceci avec l'aide de spécialistes qui viendront de Paris.
Le Samu social de Casablanca agira sur les zones d'exclusion, en apportant aide et soutien à des personnes en détresse vivant dans la rue. Concrètement, deux véhicules médicalisés parfaitement identifiables avec à bord, un infirmier, un travailleur social et un chauffeur, sillonneront Casablanca deux jours et trois nuits par semaine.
Les équipes mobiles d'aide, c'est ainsi qu'on les appelle, offriront aux enfants et jeunes femmes en détresse une protection médicale et une aide psychosociale. Parmi les missions de ces équipes, l'éducation préventive, qui consistera à informer ces femmes et ces enfants des dangers auxquels ils sont exposés.
Le Centre d'accueil du quartier Bourgogne, ouvert le jour, aura une fonction complémentaire.
Les populations repérées la nuit, trouveront dans cette structure l'aide et les soins nécessaires ainsi que la possibilité de se laver et de changer de vêtements. Les cas les plus extrêmes seront hébergés, en urgence, mais pour très peu de temps, en attendant qu'ils soient orientés vers les associations relais.
Le Samu social de Casablanca se présente sous forme d'association dont le Conseil d'administration réunit les différents partenaires: le secrétariat d'Etat chargé de la Famille, de l'Enfance et des Personnes handicapées, la wilaya du Grand Casablanca, le Conseil de la ville, le ministère de la Santé, l'Entraide nationale et le Chu Ibn Rochd, le Samu social international, Solidarité féminine, Insaf, Ligue marocaine de protection de l'enfance, Bayti, Al Ihssane, SOS Village d'enfants, le Croissant Rouge, l'AMH, l'AMESIP, l'Association de lutte contre la violence à l'égard des femmes, l'Heure joyeuse, la Kasbah, l'Union de l'action féminine et Espoir trait d'Union.
