La résolution demande à Israël de se retirer « des territoires arabes occupés, y compris le Golan syrien jusqu'à la ligne du 4 juin 1967, et des territoires occupés au Liban sud», en référence aux fermes de Chebaa, conformément «au principe de la terre contre la paix ».
En échange de quoi, les Arabes « considéreront que le conflit israélo-arabe a pris fin et développeront des relations normales avec Israël dans le cadre d'une paix globale ». Le plan prévoit la création d'un Etat palestinien et une solution garantissant le droit au retour des réfugiés palestiniens. Israël qui avait déjà rejeté cette offre de paix, vient de réitérer sa position.
Un haut responsable à la présidence du Conseil israélien a déclaré, à cet égard, que son pays « rejette l'initiative arabe », estimant que le Sommet d'Alger était « en retard » sur les changements dans le monde.
« Malheureusement, la Ligue arabe préfère se donner l'illusion de l'unité en surface en adoptant des résolutions, en contradiction avec toutes les avancées faites notamment par l'Egypte et la Jordanie, et qui sont totalement irrecevables », a dit ce responsable qui a requis l'anonymat.
En échange de quoi, les Arabes « considéreront que le conflit israélo-arabe a pris fin et développeront des relations normales avec Israël dans le cadre d'une paix globale ». Le plan prévoit la création d'un Etat palestinien et une solution garantissant le droit au retour des réfugiés palestiniens. Israël qui avait déjà rejeté cette offre de paix, vient de réitérer sa position.
Un haut responsable à la présidence du Conseil israélien a déclaré, à cet égard, que son pays « rejette l'initiative arabe », estimant que le Sommet d'Alger était « en retard » sur les changements dans le monde.
« Malheureusement, la Ligue arabe préfère se donner l'illusion de l'unité en surface en adoptant des résolutions, en contradiction avec toutes les avancées faites notamment par l'Egypte et la Jordanie, et qui sont totalement irrecevables », a dit ce responsable qui a requis l'anonymat.