Connexion
Le président de la Chambre des conseillers, Mustapha Oukacha, a fait état du souci permanent du Maroc de s'impliquer dans l'action commune afro-arabe, dont la Ligue des sénats et des assemblées similaires d'Afrique et du monde arabe constitue l'un des mécanismes les plus efficients.
Lors de ses entretiens avec les présidents des sénats participant à la 2e réunion du conseil de la Ligue, qui se tient à Sanaa les 9 et 10 novembre, M.Oukacha a souligné la forte volonté du Maroc de consolider les relations afro-arabes au niveau des parlements, indique un communiqué de l'ambassade du Maroc au Yémen.
Dans ce cadre, M. Oukacha a relevé que l'Afrique et le monde arabe ont besoin d unir leurs efforts pour traiter leurs problèmes et relever les défis en vue d'instaurer la paix, la sécurité et la stabilité, et de réaliser le développement escompté sur des bases solides.
M. Oukacha a eu des entretiens avec le président du sénat du Botswana, le président du conseil fédéral éthiopien, le président du conseil national namibien, le président du sénat du Lesotho, le président du sénat de Madagascar et le président du conseil des wilayas du Soudan.
A l'ouverture de la 2e réunion de la Ligue, M. Oukacha avait souligné que le parcours de la Ligue des sénats et des assemblées similaires d'Afrique et du monde arabe est "bon et prometteur", relevant l'importance que revêt le bicaméralisme dans la consécration de l'ouverture démocratique et le renforcement de l'action institutionnelle.
Le fait que les sénats et les assemblées similaires s acquittent pleinement de leurs missions est une nécessité dictée par le respect des valeurs de la démocratie, des libertés publiques, du pluralisme et du droit à la différence, a-t-il dit.
A cette occasion, M. Oukacha a présenté au nom de la Chambre des conseillers un plan d action qui s articule autour d un programme destiné à activer l'action de la Ligue afin d'en faire un outil permettant de renforcer les compétences des parlementaires à travers l'échange des expériences et des expertises.
Participent à cette rencontre, 18 autres délégations représentant l'Arabie saoudite, le Yémen, le Sultanat d'Oman, le Qatar, le Soudan, la Jordanie, l'Egypte, l'Algérie, la Tunisie, l'Afrique du sud, le Madagascar, la Namibie, le Nigeria, le Botswana, l'Ethiopie et le Lesotho.
Lors de ses entretiens avec les présidents des sénats participant à la 2e réunion du conseil de la Ligue, qui se tient à Sanaa les 9 et 10 novembre, M.Oukacha a souligné la forte volonté du Maroc de consolider les relations afro-arabes au niveau des parlements, indique un communiqué de l'ambassade du Maroc au Yémen.
Dans ce cadre, M. Oukacha a relevé que l'Afrique et le monde arabe ont besoin d unir leurs efforts pour traiter leurs problèmes et relever les défis en vue d'instaurer la paix, la sécurité et la stabilité, et de réaliser le développement escompté sur des bases solides.
M. Oukacha a eu des entretiens avec le président du sénat du Botswana, le président du conseil fédéral éthiopien, le président du conseil national namibien, le président du sénat du Lesotho, le président du sénat de Madagascar et le président du conseil des wilayas du Soudan.
A l'ouverture de la 2e réunion de la Ligue, M. Oukacha avait souligné que le parcours de la Ligue des sénats et des assemblées similaires d'Afrique et du monde arabe est "bon et prometteur", relevant l'importance que revêt le bicaméralisme dans la consécration de l'ouverture démocratique et le renforcement de l'action institutionnelle.
Le fait que les sénats et les assemblées similaires s acquittent pleinement de leurs missions est une nécessité dictée par le respect des valeurs de la démocratie, des libertés publiques, du pluralisme et du droit à la différence, a-t-il dit.
A cette occasion, M. Oukacha a présenté au nom de la Chambre des conseillers un plan d action qui s articule autour d un programme destiné à activer l'action de la Ligue afin d'en faire un outil permettant de renforcer les compétences des parlementaires à travers l'échange des expériences et des expertises.
Participent à cette rencontre, 18 autres délégations représentant l'Arabie saoudite, le Yémen, le Sultanat d'Oman, le Qatar, le Soudan, la Jordanie, l'Egypte, l'Algérie, la Tunisie, l'Afrique du sud, le Madagascar, la Namibie, le Nigeria, le Botswana, l'Ethiopie et le Lesotho.
