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L'Espagne a privé son hôte tunisien du plaisir de disputer la finale du Mondial-2005 de handball messieurs à domicile en l'emportant 33 à 30 en demi-finale, samedi à Radés.
Talonnés en première mi-temps, les Espagnols ont ensuite fait parler leur expérience en gérant sagement la fin du match, plongeant la majorité des 12.000 spectateurs du Palais des sports de Radés dans la tristesse.
Le match avait démarré par un festival de buts où s'illustraient très vite deux arrières, Hmam pour la Tunisie et Garralda pour l'Espagne, avec plus de dix-sept buts en moins d'un quart d'heure.
Dans cette ambiance échevelée, l'Espagne prenait une courte avance de deux buts (11-9, 20e) avant d'être vite rattrapée puis dépassée par une équipe tunisienne de plus en plus déterminée, à l'image de l'arrière Bousnina. Alors que chaque attaque placée des Espagnols provoquait un concert strident de sifflets, ces derniers tenaient bon, se lançant sans hésitation dans la bataille malgré l'agressivité de la défense tunisienne (13-13, 26e).
Grâce à la réussite de Romero en fin de mi-temps, les Espagnols menaient de deux buts (18-16) à la reprise avant que la Tunisie ne revienne de nouveau. Ce chassé-croisé à haute teneur offensive ne cessait pas, les buts de Bousnina et Hmam succédant à ceux de Garcia et Romero, et la tension montait d'un cran sur le terrain où les joueurs se montraient de plus en plus nerveux (21-21, 40e puis 26-26, 50e).
Les Tunisiens, déstabilisés par les arrêts de Barrufet, perdaient peu à peu leur sang-froid (30-26, 55e) alors que leurs adversaires se contentaient d'exploiter leurs erreurs défensives et de transformer en contres les ballons perdus en attaque.
Urios le pivot espagnol jouait de toute sa force, son coéquipier Garcia de son habileté à l'aile. Malgré les derniers missiles désespérés de Hmam, ce sont bien les cris de joie de la petite centaine de supporteurs espagnols qui ont résonné à la fin.
Talonnés en première mi-temps, les Espagnols ont ensuite fait parler leur expérience en gérant sagement la fin du match, plongeant la majorité des 12.000 spectateurs du Palais des sports de Radés dans la tristesse.
Le match avait démarré par un festival de buts où s'illustraient très vite deux arrières, Hmam pour la Tunisie et Garralda pour l'Espagne, avec plus de dix-sept buts en moins d'un quart d'heure.
Dans cette ambiance échevelée, l'Espagne prenait une courte avance de deux buts (11-9, 20e) avant d'être vite rattrapée puis dépassée par une équipe tunisienne de plus en plus déterminée, à l'image de l'arrière Bousnina. Alors que chaque attaque placée des Espagnols provoquait un concert strident de sifflets, ces derniers tenaient bon, se lançant sans hésitation dans la bataille malgré l'agressivité de la défense tunisienne (13-13, 26e).
Grâce à la réussite de Romero en fin de mi-temps, les Espagnols menaient de deux buts (18-16) à la reprise avant que la Tunisie ne revienne de nouveau. Ce chassé-croisé à haute teneur offensive ne cessait pas, les buts de Bousnina et Hmam succédant à ceux de Garcia et Romero, et la tension montait d'un cran sur le terrain où les joueurs se montraient de plus en plus nerveux (21-21, 40e puis 26-26, 50e).
Les Tunisiens, déstabilisés par les arrêts de Barrufet, perdaient peu à peu leur sang-froid (30-26, 55e) alors que leurs adversaires se contentaient d'exploiter leurs erreurs défensives et de transformer en contres les ballons perdus en attaque.
Urios le pivot espagnol jouait de toute sa force, son coéquipier Garcia de son habileté à l'aile. Malgré les derniers missiles désespérés de Hmam, ce sont bien les cris de joie de la petite centaine de supporteurs espagnols qui ont résonné à la fin.
