L'artiste peintre Najia Bennis exposent ses œuvres, jusqu'au 10 avril, dans le cadre d'une exposition d'art contemporain à la cathédrale sacré-cœur de Casablanca. Il s'agit d'une exposition collective de tous les plasticiens de la capitale économique.
Pour ceux qui ne la connaissent pas encore, Najia Bennis est, depuis 1978, diplômée d'expression plastique de l'Ecole d'art et architecture de Marseille-Luminy (France).
Elle a déjà à son actif plusieurs expositions au Maroc, en Tunisie, aux Etats-Unis et en France. Tout au long de son parcours artistique qui dépasse les vingt-cinq ans, Najia Bennis s'est efforcée de transcrire, furieusement, fébrilement, son monde intérieur sur sa toile. Ses œuvres sont peintes à l'huile sur toile. Sa peinture est une peinture de l'exubérance, du rythme de la spontanéité, de la force vive des couleurs et du geste.
Elle explique : «Ma peinture avant d'être une forme nue ou une histoire est essentiellement une surface plane recouverte d'une force de couleurs chaudes. En effet, mon œuvre est le triomphe des couleurs pures, jaune, rouge, bleu, orange, etc… où s'expriment les passions des plus violentes qui me conduisent à la folie du geste». L'artiste ajoute: « Je cherche le mouvement, et le mouvement c'est la vie qui ne s'arrête qu'avec la mort; alors un jour j'ai décidé de déchirer mon tableau, de le couper, de l'arrêter avant que ce ne soit lui qui m'arrête dans mon élan».
Comme les rêves, les tableaux de Najia Bennis n'ont pas de titres, car elle préfère laisser notre regard s'y attarder et y trouver une pluralité de sens. Elle n'a pas exposé depuis quelques temps parce que sa condition physique et matérielle ne la lui permet pas. « Je n'ai pas exposé, individuellement, depuis une dizaine d'années.
Je dispose maintenant plus de plus de 200 toiles que j'aimerais que le public découvre. J'ai déposé une demande auprès du ministère de la Culture pour qu'il me donne la possibilité d'exposer mes œuvres à la galerie de Bab Rouah à Rabat», souligne Mme Bennis qui demande que l'on encourage l'art et les artistes.
Pour ceux qui ne la connaissent pas encore, Najia Bennis est, depuis 1978, diplômée d'expression plastique de l'Ecole d'art et architecture de Marseille-Luminy (France).
Elle a déjà à son actif plusieurs expositions au Maroc, en Tunisie, aux Etats-Unis et en France. Tout au long de son parcours artistique qui dépasse les vingt-cinq ans, Najia Bennis s'est efforcée de transcrire, furieusement, fébrilement, son monde intérieur sur sa toile. Ses œuvres sont peintes à l'huile sur toile. Sa peinture est une peinture de l'exubérance, du rythme de la spontanéité, de la force vive des couleurs et du geste.
Elle explique : «Ma peinture avant d'être une forme nue ou une histoire est essentiellement une surface plane recouverte d'une force de couleurs chaudes. En effet, mon œuvre est le triomphe des couleurs pures, jaune, rouge, bleu, orange, etc… où s'expriment les passions des plus violentes qui me conduisent à la folie du geste». L'artiste ajoute: « Je cherche le mouvement, et le mouvement c'est la vie qui ne s'arrête qu'avec la mort; alors un jour j'ai décidé de déchirer mon tableau, de le couper, de l'arrêter avant que ce ne soit lui qui m'arrête dans mon élan».
Comme les rêves, les tableaux de Najia Bennis n'ont pas de titres, car elle préfère laisser notre regard s'y attarder et y trouver une pluralité de sens. Elle n'a pas exposé depuis quelques temps parce que sa condition physique et matérielle ne la lui permet pas. « Je n'ai pas exposé, individuellement, depuis une dizaine d'années.
Je dispose maintenant plus de plus de 200 toiles que j'aimerais que le public découvre. J'ai déposé une demande auprès du ministère de la Culture pour qu'il me donne la possibilité d'exposer mes œuvres à la galerie de Bab Rouah à Rabat», souligne Mme Bennis qui demande que l'on encourage l'art et les artistes.
