Dans six mois, le 6 juillet 2004, à 18h30, le CIO désignera, à Singapour, la ville organisatrice des JO 2012. La France espère faire mieux que sa candidature pour les JO de l'été 2008. Tout est étudié au détail près.
Les questions techniques auxquelles il faudra répondre lors de la visite de la commission d'évaluation, tout comme la préparation des sites à visiter, et qui vont recevoir les Jeux. «En 2001, lors de la visite de la commission d'évaluation pour les JO de 2008, notre dossier technique était excellent.
Il y avait en revanche eu un débat sérieux sur la question de la lutte antidopage. La loi française allait plus loin que les exigences olympiques. Aujourd'hui, tout le monde est en accord, donc le problème ne se pose plus», expliquait jeudi à la presse, Marie-George Buffet, ancienne ministre française de la Jeunesse et des Sports, supervisant la visite de la commission d'évaluation en 2001.
«C'est vraiment très beau. Je pense qu'avec tout le mal que se donne Paris, elle va avoir l'organisation des Jeux. La concurrence n'est pas si dure que cela», nous confie Filip. G, jeune étudiant polonais, devant l'Assemblée nationale.
Rappelons que les villes en lice sont : New York, Moscou, Paris, Londres et Madrid. Ces dernières étant les trois favorites. Mais si l'on considère les défaillances que présente le système de transport londonien, il ne restera que Madrid et Paris en tête. Mais les arguments dépassent les détails techniques.
Les questions techniques auxquelles il faudra répondre lors de la visite de la commission d'évaluation, tout comme la préparation des sites à visiter, et qui vont recevoir les Jeux. «En 2001, lors de la visite de la commission d'évaluation pour les JO de 2008, notre dossier technique était excellent.
Il y avait en revanche eu un débat sérieux sur la question de la lutte antidopage. La loi française allait plus loin que les exigences olympiques. Aujourd'hui, tout le monde est en accord, donc le problème ne se pose plus», expliquait jeudi à la presse, Marie-George Buffet, ancienne ministre française de la Jeunesse et des Sports, supervisant la visite de la commission d'évaluation en 2001.
«C'est vraiment très beau. Je pense qu'avec tout le mal que se donne Paris, elle va avoir l'organisation des Jeux. La concurrence n'est pas si dure que cela», nous confie Filip. G, jeune étudiant polonais, devant l'Assemblée nationale.
Rappelons que les villes en lice sont : New York, Moscou, Paris, Londres et Madrid. Ces dernières étant les trois favorites. Mais si l'on considère les défaillances que présente le système de transport londonien, il ne restera que Madrid et Paris en tête. Mais les arguments dépassent les détails techniques.
