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Ainsi, un hommage à la fois chaleureux et à la hauteur de la tâche qu'il occupait auprès du secrétaire général de l'ONU lui a été rendu lundi par le corps diplomatique, notamment le président de l'Assemblée générale, le ministre gabonais des Affaires étrangères M. Jean Ping, et de très nombreux ambassadeurs, outre des représentants des médias audio-visuels et de la presse écrite américaine et internationale.
Prenant la parole, plusieurs personnalités ont souligné le vide qui sera difficile à combler après son départ, tellement l'homme qui était en charge du service des relations avec la presse, couvrant les activités de l'ONU, était serviable, consciencieux et surtout “un défenseur des journalistes” pour lesquels il était toujours à l'œuvre pour leur faciliter la tâche.
Le président de l'Association des correspondants accrédités auprès des Nations unies (UNCA) a ainsi affirmé qu'il n'oubliera jamais que M. Kabbaj a toujours été “un fervent défenseur des journalistes, faisant tout ce qu'il pouvait pour leur faciliter la tâche et les aider à accomplir au mieux leur mission. Illustration de la sympathie et de l'estime que lui vouent tous ceux qui travaillent au siège de l'ONU, le secrétaire général adjoint au département de l'information et de la communication, M. Sashi Tharoor, qui représentait M. Kofi Annan à cette cérémonie, a passé en revue, dans une intervention poignante, “le travail accompli avec sérieux, abnégation et compétence” par M. Kabbaj.
M. Kabbaj était “toujours mobilisé auprès de M. Annan pour faciliter la couverture de toutes ses activités ainsi que celles du Conseil de sécurité, de l'Assemblée générale et en un mot de tous les rouages onusiens”, a-t-il dit.
Durant sa carrière, M. Kabbaj, qui était lors de cette cérémonie sous les flashs d'une douzaine de reporters photographes d'agences et de la presse internationale, affirme avoir connu entre 50.000 et 60.000 journalistes du monde entier.
L'année dernière, lors d'une conférence internationale à Sao Polo (Brésil), les journalistes l'appelaient “ le maestro ”, tellement il avait une manière d'organiser la couverture de tout événement avec une facilité incroyable au bénéfice de tous les professionnels des médias, sans accrochage ni incident, à la satisfaction générale des journalistes, de la sécurité, des chefs d'Etat et aussi des organisateurs.
M. Kabbaj, rappelle-t-on, a été membre du jury des services des examens pour le recrutement des fonctionnaires des Nations unies à Yew York, avant de se voir chargé de donner des conférences pour les étudiants des différentes universités de journalisme américaines qui venaient visiter l'ONU. Activité que M. Kabbaj compte poursuivre dans l'avenir.
Prenant la parole, plusieurs personnalités ont souligné le vide qui sera difficile à combler après son départ, tellement l'homme qui était en charge du service des relations avec la presse, couvrant les activités de l'ONU, était serviable, consciencieux et surtout “un défenseur des journalistes” pour lesquels il était toujours à l'œuvre pour leur faciliter la tâche.
Le président de l'Association des correspondants accrédités auprès des Nations unies (UNCA) a ainsi affirmé qu'il n'oubliera jamais que M. Kabbaj a toujours été “un fervent défenseur des journalistes, faisant tout ce qu'il pouvait pour leur faciliter la tâche et les aider à accomplir au mieux leur mission. Illustration de la sympathie et de l'estime que lui vouent tous ceux qui travaillent au siège de l'ONU, le secrétaire général adjoint au département de l'information et de la communication, M. Sashi Tharoor, qui représentait M. Kofi Annan à cette cérémonie, a passé en revue, dans une intervention poignante, “le travail accompli avec sérieux, abnégation et compétence” par M. Kabbaj.
M. Kabbaj était “toujours mobilisé auprès de M. Annan pour faciliter la couverture de toutes ses activités ainsi que celles du Conseil de sécurité, de l'Assemblée générale et en un mot de tous les rouages onusiens”, a-t-il dit.
Durant sa carrière, M. Kabbaj, qui était lors de cette cérémonie sous les flashs d'une douzaine de reporters photographes d'agences et de la presse internationale, affirme avoir connu entre 50.000 et 60.000 journalistes du monde entier.
L'année dernière, lors d'une conférence internationale à Sao Polo (Brésil), les journalistes l'appelaient “ le maestro ”, tellement il avait une manière d'organiser la couverture de tout événement avec une facilité incroyable au bénéfice de tous les professionnels des médias, sans accrochage ni incident, à la satisfaction générale des journalistes, de la sécurité, des chefs d'Etat et aussi des organisateurs.
M. Kabbaj, rappelle-t-on, a été membre du jury des services des examens pour le recrutement des fonctionnaires des Nations unies à Yew York, avant de se voir chargé de donner des conférences pour les étudiants des différentes universités de journalisme américaines qui venaient visiter l'ONU. Activité que M. Kabbaj compte poursuivre dans l'avenir.
