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Après une première expérience en 2004 couronnée par la collecte de plus de 50 projets, RESAQ renouvelle l'expérience cette année en lançant à toutes les associations membres et associations de quartiers partenaires, une nouvelle collecte des projets avec pour objectif de rassembler 200 projets d'ici au 31 janvier.
Les porteurs de projets, précise l'association, doivent privilégier les idées demandant des budgets ne dépassant pas 100.000 00 DH et qui promeuvent les actions de proximité génératrices de valeurs de la citoyenneté et de la mobilisation sociale.
La sélection des projets se fera en fonction de trois critères : dossier juridique et technique, faisabilité de projet et la conformité des objectifs des projets aux valeurs de la démocratie, de la modernité et de la citoyenneté.
En parallèle à la collecte de ces 200 projets au niveau de la wilaya du Grand Casablanca, RESAQ lance également un appel de collecte de 50 projets à la ville d'Al Hoceima en partenariat avec l'association Al Amal et l'association marocaine de développement social en signe de solidarité avec les victimes du séisme qui a touché la ville en 2003. Comme pour la précédente édition, RESAQ accordera une assistance technique à la finalisation du montage des projets. A ce propos, quatre ateliers de montage de projets seront organisés d'ici la fin du mois avec l'assistance des grands groupes industriels comme l'OCP, Lafarge et La Lydec.
Il est à signaler, que sur les 50 projets collectés l'année précédente et parrainés par la CGEM dans le cadre du forum « Association entreprises », 6 ont été déjà réalisés, 24 sont en passe de réalisation, 13 autres ont trouvé des partenaires financiers et 12 sont toujours à la quête de financement. Parmi les idées qui ont reçu un appui financier de la part des grands groupes, on cite l'organisation d'un festival de théâtre pour enfant à Sidi Moumen, l'aménagement d'une piste piétonne à la zone industriel de Sidi Bernoussi, apprendre ou enseigner l'informatique et d'autres métiers, alphabétiser, rattraper les enfants en perdition scolaire, créer des bibliothèques, des ateliers culturels, de l'animation théâtrale, former des cadres associatifs féminins ou jeunes, mobiliser les jeunes, etc. Dans une ville comme Casablanca où plusieurs zones sont à l'abandon, les associations de quartiers ne demandent qu'un peu de soutien pour sortir ces zones de l'oublie.
Les porteurs de projets, précise l'association, doivent privilégier les idées demandant des budgets ne dépassant pas 100.000 00 DH et qui promeuvent les actions de proximité génératrices de valeurs de la citoyenneté et de la mobilisation sociale.
La sélection des projets se fera en fonction de trois critères : dossier juridique et technique, faisabilité de projet et la conformité des objectifs des projets aux valeurs de la démocratie, de la modernité et de la citoyenneté.
En parallèle à la collecte de ces 200 projets au niveau de la wilaya du Grand Casablanca, RESAQ lance également un appel de collecte de 50 projets à la ville d'Al Hoceima en partenariat avec l'association Al Amal et l'association marocaine de développement social en signe de solidarité avec les victimes du séisme qui a touché la ville en 2003. Comme pour la précédente édition, RESAQ accordera une assistance technique à la finalisation du montage des projets. A ce propos, quatre ateliers de montage de projets seront organisés d'ici la fin du mois avec l'assistance des grands groupes industriels comme l'OCP, Lafarge et La Lydec.
Il est à signaler, que sur les 50 projets collectés l'année précédente et parrainés par la CGEM dans le cadre du forum « Association entreprises », 6 ont été déjà réalisés, 24 sont en passe de réalisation, 13 autres ont trouvé des partenaires financiers et 12 sont toujours à la quête de financement. Parmi les idées qui ont reçu un appui financier de la part des grands groupes, on cite l'organisation d'un festival de théâtre pour enfant à Sidi Moumen, l'aménagement d'une piste piétonne à la zone industriel de Sidi Bernoussi, apprendre ou enseigner l'informatique et d'autres métiers, alphabétiser, rattraper les enfants en perdition scolaire, créer des bibliothèques, des ateliers culturels, de l'animation théâtrale, former des cadres associatifs féminins ou jeunes, mobiliser les jeunes, etc. Dans une ville comme Casablanca où plusieurs zones sont à l'abandon, les associations de quartiers ne demandent qu'un peu de soutien pour sortir ces zones de l'oublie.
