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Selon «ABC» qui cite des sources de l'enquête, la Guardia civil continue d'enquêter sur une éventuelle implication de cette cellule dans le financement d'attentats terroristes en Irak et en Afghanistan. Ses membres ont été transférés à Madrid où ils seront présentés devant le juge de l'Audience Nationale, Félix Degayon, en charge des affaires du terrorisme, ajoute la même source.
«El Pais» indique que la cellule en question avait des connexions avec une faction du GSPC conduite par le dénommé «Abou al Haitam» qui sévît en Algérie et en Mauritanie.
Ses membres attaquaient des maisons de haut standing à Malaga et Cadix (Sud) et échangeaient les produits volés contre l'argent liquide ou des bijoux avant de les transférer en Algérie par un ''système complexe de virements bancaires'' ou en les remettant de main propre, précise le journal.
L'opération policière ''Green'', la deuxième en moins de 20 jours contre une cellule du GSPC en Espagne, s'est déroulée dans les localités de Benalmadena, Torremolinos, Estepona, Monda, Marbella et dans la ville de Malaga.
Selon ''El pais'', le groupe est dirigé par l'Algérien Sami Hashi, qui s'occupait lui même de la vente des produits dérobés.
Un autre membre du groupe, qui travaillait dans une agence immobilière, fournissait à ses acolytes les informations nécessaires sur les systèmes d'alarme des domiciles à attaquer, les objets de valeur qu'ils peuvent emporter et la localisation des coffre-forts.
Le ministre espagnol de l'Intérieur, José Antonio Alonso, avait expliqué, vendredi lors d'une rencontre avec la presse, que ce groupe, ''parfaitement structuré et hiérarchisé'', apportait un appui matériel et logistique au GSPC en Algérie où il envoyait des fonds par ''un système complexe de transferts bancaires'' afin de brouiller les pistes.
Le ministre avait toutefois souligné que les enquêteurs n'ont pas trouvé d'indices de préparation d'''attentats imminents en Espagne'' par ce groupe, dont les membres avaient des connexions avec d'autres personnes en Europe.
Des sources judiciaires, citées par la presse, avaient précisé que les membres du groupe envoyaient également des fonds en Algérie en remettant en main propre des billets de 500 Euros à un imam algérien qui s'occupait de les faire parvenir en Algérie.
Les enquêteurs ont trouvé dans les domiciles des membres du groupe des bijoux, des montres, des ordinateurs, des téléphones portables et d'autres objets de valeur volés, ainsi que des cartes de crédits falsifiées, des passeports français falsifiés et de la littérature jihadiste.
Outre la femme de nationalité espagnole arrêtée et dont le degrés d'implication dans le financement du terrorisme n'est pas encore déterminé, 4 autres femmes arrêtées par la police espagnole ont été remises en liberté après avoir établi qu'elles étaient de simples partenaires des membres du groupe.
«El Pais» indique que la cellule en question avait des connexions avec une faction du GSPC conduite par le dénommé «Abou al Haitam» qui sévît en Algérie et en Mauritanie.
Ses membres attaquaient des maisons de haut standing à Malaga et Cadix (Sud) et échangeaient les produits volés contre l'argent liquide ou des bijoux avant de les transférer en Algérie par un ''système complexe de virements bancaires'' ou en les remettant de main propre, précise le journal.
L'opération policière ''Green'', la deuxième en moins de 20 jours contre une cellule du GSPC en Espagne, s'est déroulée dans les localités de Benalmadena, Torremolinos, Estepona, Monda, Marbella et dans la ville de Malaga.
Selon ''El pais'', le groupe est dirigé par l'Algérien Sami Hashi, qui s'occupait lui même de la vente des produits dérobés.
Un autre membre du groupe, qui travaillait dans une agence immobilière, fournissait à ses acolytes les informations nécessaires sur les systèmes d'alarme des domiciles à attaquer, les objets de valeur qu'ils peuvent emporter et la localisation des coffre-forts.
Le ministre espagnol de l'Intérieur, José Antonio Alonso, avait expliqué, vendredi lors d'une rencontre avec la presse, que ce groupe, ''parfaitement structuré et hiérarchisé'', apportait un appui matériel et logistique au GSPC en Algérie où il envoyait des fonds par ''un système complexe de transferts bancaires'' afin de brouiller les pistes.
Le ministre avait toutefois souligné que les enquêteurs n'ont pas trouvé d'indices de préparation d'''attentats imminents en Espagne'' par ce groupe, dont les membres avaient des connexions avec d'autres personnes en Europe.
Des sources judiciaires, citées par la presse, avaient précisé que les membres du groupe envoyaient également des fonds en Algérie en remettant en main propre des billets de 500 Euros à un imam algérien qui s'occupait de les faire parvenir en Algérie.
Les enquêteurs ont trouvé dans les domiciles des membres du groupe des bijoux, des montres, des ordinateurs, des téléphones portables et d'autres objets de valeur volés, ainsi que des cartes de crédits falsifiées, des passeports français falsifiés et de la littérature jihadiste.
Outre la femme de nationalité espagnole arrêtée et dont le degrés d'implication dans le financement du terrorisme n'est pas encore déterminé, 4 autres femmes arrêtées par la police espagnole ont été remises en liberté après avoir établi qu'elles étaient de simples partenaires des membres du groupe.
