Cependant, les dernières informations disponibles font état d'une grande incertitude des cardinaux quant au choix à effectuer.
Une certaine confusion pourrait dominer les premiers scrutins et allonger ainsi la durée du conclave. Le cardinal Joseph Ratzinger apparaît pour le moment comme le candidat qui bénéficie du plus large soutien : une quarantaine de cardinaux seraient prêts à voter pour lui.
Le cardinal Carlo Maria Martini, ancien archevêque de Milan, fait aussi partie des grands favoris. Mais, de santé fragile, il a clairement laissé entendre qu'il ne souhaitait pas être élu, et appuie la candidature de Dionigi Tettamanzi, son successeur à la tête du diocèse de Milan.
Martini pourrait toutefois recueillir un grand nombre de voix lors du premier scrutin : il s'agirait d'un vote symbolique du parti des réformateurs, bien décidé à faire obstacle à Ratzinger. A l'évidence, l'ancien cardinal de Milan dirigera ces voix vers Tettamanzi pour les votes suivants.
Une certaine confusion pourrait dominer les premiers scrutins et allonger ainsi la durée du conclave. Le cardinal Joseph Ratzinger apparaît pour le moment comme le candidat qui bénéficie du plus large soutien : une quarantaine de cardinaux seraient prêts à voter pour lui.
Le cardinal Carlo Maria Martini, ancien archevêque de Milan, fait aussi partie des grands favoris. Mais, de santé fragile, il a clairement laissé entendre qu'il ne souhaitait pas être élu, et appuie la candidature de Dionigi Tettamanzi, son successeur à la tête du diocèse de Milan.
Martini pourrait toutefois recueillir un grand nombre de voix lors du premier scrutin : il s'agirait d'un vote symbolique du parti des réformateurs, bien décidé à faire obstacle à Ratzinger. A l'évidence, l'ancien cardinal de Milan dirigera ces voix vers Tettamanzi pour les votes suivants.
