Profitant à une population de 732.000 habitants, ce projet porte sur la construction des services des urgences, de la réanimation médicale, ainsi que la création d'un groupe maternité, un complexe chirurgical et des unités technico-médicales, un pavillon de radiologie, l'extension des laboratoires et le renforcement du réseau d'électricité et d'assainissement, la réalisation des espaces verts et l'aménagement des entrées. D'une superficie de 5.100 m2, dont 850 m2 couverts, cet établissement de santé est financé par le programme MEDA de l'Union européenne.
Ce projet s'inscrit dans le cadre du programme de mise à niveau de l'infrastructure hospitalière de la région de l'Oriental, une des composantes du Projet d'appui à la gestion du secteur de la santé (PAGSS) qui a nécessité des investissements de l'ordre de 227 millions de DH, dont 200 millions ont été alloués par le programme MEDA de l'UE, et le reste par l'Etat marocain.
La réforme que le projet soutient s'appuie sur la déconcentration et la décentralisation de la gestion des services publics de santé dans le contexte de la création de la région. Il offre l'opportunité de mettre en oeuvre une série d'instruments en vue d'offrir à la population des services de santé accessibles et de qualité. Le PAGSS a permis la mise en oeuvre du processus de régionalisation du secteur de la santé au Maroc, qui traduit de façon palpable le concept de proximité du fait qu'il permet d'adapter les moyens aux problèmes spécifiques de la région (problèmes épidémiologiques, démographiques et géographiques).
Ce programme s'inscrit dans le cadre des réformes engagées par le Maroc dans le domaine de la santé, et vient à point nommé du fait qu'il va permettre aux hôpitaux de la région de tirer profit du système de l'Assurance maladie obligatoire (AMO) et du RAMED en vue d'améliorer leurs recettes propres pour mieux subvenir à leurs besoins en matière de maintenance.
En complément à cet appui institutionnel, l'UE a soutenu la réhabilitation et l'équipement de 19 centres de santé de base et de cinq hôpitaux provinciaux à Oujda, Nador, Berkane, Taourirt et Bouarfa. Ce projet s'inscrit aussi dans le cadre du processus de réforme hospitalière, un des grands chantiers à travers lequel le gouvernement s'est engagé à moderniser les structures hospitalières, à renouveler leurs équipements, à moderniser leur management et à les rendre plus humaines, plus attractives et de plus en plus autonomes.
La spécificité essentielle du projet est de développer toute la filière de soins dans des composantes Soins de santé de base et Formations hospitalières dans le cadre d'un schéma régional d'organisation sanitaire, appelé à assurer la régulation des soins en combinant les besoins de santé avec la demande et l'offre de prestations disponibles.
En termes opérationnels, le changement recherché tend à recentrer l'hôpital sur sa mission afin qu'il retrouve sa véritable place dans le système en tant que pivot du réseau de soins de santé de base, à se doter d'un système d'évaluation constante et des performances des services et des ressources médicales, paramédicales et administratives, et à développer la dimension sociale du secteur de la santé, à travers l'humanisation des structures et la valorisation des ressources humaines.
S.M. le Roi a également suivi des explications sur l'offre de soins dans la province de Nador qui compte 51 établissements de soins de santé de base avec 247 médecins, dont 101 relevant du secteur public.
Par la suite, le Souverain a posé pour une photo-souvenir avec le staff médical et les cadres de cet établissement hospitalier.
A son arrivée, S.M. le Roi a passé en revue un détachement de la Garde Royale qui rendait les honneurs avant d'être salué par le ministre de la Santé, Mohamed Cheikh Biadillah, le président du Conseil de la région, le pacha de la province de Nador, le délégué provincial de la Santé et le directeur de l'hôpital Hassani.
Ce projet s'inscrit dans le cadre du programme de mise à niveau de l'infrastructure hospitalière de la région de l'Oriental, une des composantes du Projet d'appui à la gestion du secteur de la santé (PAGSS) qui a nécessité des investissements de l'ordre de 227 millions de DH, dont 200 millions ont été alloués par le programme MEDA de l'UE, et le reste par l'Etat marocain.
La réforme que le projet soutient s'appuie sur la déconcentration et la décentralisation de la gestion des services publics de santé dans le contexte de la création de la région. Il offre l'opportunité de mettre en oeuvre une série d'instruments en vue d'offrir à la population des services de santé accessibles et de qualité. Le PAGSS a permis la mise en oeuvre du processus de régionalisation du secteur de la santé au Maroc, qui traduit de façon palpable le concept de proximité du fait qu'il permet d'adapter les moyens aux problèmes spécifiques de la région (problèmes épidémiologiques, démographiques et géographiques).
Ce programme s'inscrit dans le cadre des réformes engagées par le Maroc dans le domaine de la santé, et vient à point nommé du fait qu'il va permettre aux hôpitaux de la région de tirer profit du système de l'Assurance maladie obligatoire (AMO) et du RAMED en vue d'améliorer leurs recettes propres pour mieux subvenir à leurs besoins en matière de maintenance.
En complément à cet appui institutionnel, l'UE a soutenu la réhabilitation et l'équipement de 19 centres de santé de base et de cinq hôpitaux provinciaux à Oujda, Nador, Berkane, Taourirt et Bouarfa. Ce projet s'inscrit aussi dans le cadre du processus de réforme hospitalière, un des grands chantiers à travers lequel le gouvernement s'est engagé à moderniser les structures hospitalières, à renouveler leurs équipements, à moderniser leur management et à les rendre plus humaines, plus attractives et de plus en plus autonomes.
La spécificité essentielle du projet est de développer toute la filière de soins dans des composantes Soins de santé de base et Formations hospitalières dans le cadre d'un schéma régional d'organisation sanitaire, appelé à assurer la régulation des soins en combinant les besoins de santé avec la demande et l'offre de prestations disponibles.
En termes opérationnels, le changement recherché tend à recentrer l'hôpital sur sa mission afin qu'il retrouve sa véritable place dans le système en tant que pivot du réseau de soins de santé de base, à se doter d'un système d'évaluation constante et des performances des services et des ressources médicales, paramédicales et administratives, et à développer la dimension sociale du secteur de la santé, à travers l'humanisation des structures et la valorisation des ressources humaines.
S.M. le Roi a également suivi des explications sur l'offre de soins dans la province de Nador qui compte 51 établissements de soins de santé de base avec 247 médecins, dont 101 relevant du secteur public.
Par la suite, le Souverain a posé pour une photo-souvenir avec le staff médical et les cadres de cet établissement hospitalier.
A son arrivée, S.M. le Roi a passé en revue un détachement de la Garde Royale qui rendait les honneurs avant d'être salué par le ministre de la Santé, Mohamed Cheikh Biadillah, le président du Conseil de la région, le pacha de la province de Nador, le délégué provincial de la Santé et le directeur de l'hôpital Hassani.
