L'économie indienne continue sur sa lancée ascendante et affiche une nette amélioration du Produit national brut (PNB) qui est passé à 8,9% lors du 1er trimestre de l'année fiscale 2006-2007, grâce aux secteurs de la manufacture et des services.
L'augmentation enregistrée par rapport au même trimestre du dernier exercice qui avait affiché une croissance du PNB de 8,4% intervient malgré le recul des secteurs du bâtiment avec 9,5%, au lieu de 12,4%, et celui de la production et de la distribution d'eau, de gaz et d'électricité qui ont cédé deux points déclinant de 7,4% l'an dernier à 5,4% seulement et le maintien du taux, assez bas de 3,4%, de la production agricole.
La croissance la plus forte a été enregistrée au niveau du commerce, du transport, de l'hôtellerie et des communications qui sont passés de 11,7% à 13,2% et dans le secteur de la manufacture avec 11,3% au lieu des 10,7% enregistrés à la même période l'an dernier.
Le ministre des Finances, P. Chidambaram, a salué cette nouvelle performance et appelé à plus de liberté de manœuvre pour le gouvernement afin de lui permettre de pousser plus loin le processus de réforme économique et d'améliorer les chances de croissance pour une économie indienne déjà en plein boom.
Etant donné le comportement de l'économie du pays lors des trente derniers mois, estime le ministre, il serait approprié que le gouvernement puisse jouir d'une plus grande marge de manoeuvre sur la voie des réformes économiques afin de pouvoir réaliser et atteindre les objectifs retenus par le Programme Minimum Commun approuvé par tous les partenaires de la coalition au pouvoir, l'Alliance Progressiste Unie (APU) conduite par le parti du Congrès.
Bien que les résultats annoncés dépassent les prévisions initiales de 8,5% , le ministre tient à accélérer le processus de réforme, notamment dans le secteur financier dont les projets de lois continuent à faire du surplace même si certains secteurs sont désignés comme étant prioritaires pour la stratégie de croissance adoptée.
En effet, le système bancaire devrait s'ouvrir davantage pour une plus grande intervention de banques étrangères, le secteur des pensions et autres fonds devrait se libéraliser et des investissements étrangers plus conséquents devraient être autorisés dans le secteur des assurances.
Ces réformes nécessaires conjuguées à la discipline fiscale devraient assurer au sous-continent une croissance moyenne de 8%, affirme le ministre dont beaucoup de propositions continuent à essuyer des refus quasi-systématiques de la part des alliés des partis de la gauche indienne qui soutiennent le gouvernement de Manmohan Singh au parlement sans en faire partie.
L'augmentation enregistrée par rapport au même trimestre du dernier exercice qui avait affiché une croissance du PNB de 8,4% intervient malgré le recul des secteurs du bâtiment avec 9,5%, au lieu de 12,4%, et celui de la production et de la distribution d'eau, de gaz et d'électricité qui ont cédé deux points déclinant de 7,4% l'an dernier à 5,4% seulement et le maintien du taux, assez bas de 3,4%, de la production agricole.
La croissance la plus forte a été enregistrée au niveau du commerce, du transport, de l'hôtellerie et des communications qui sont passés de 11,7% à 13,2% et dans le secteur de la manufacture avec 11,3% au lieu des 10,7% enregistrés à la même période l'an dernier.
Le ministre des Finances, P. Chidambaram, a salué cette nouvelle performance et appelé à plus de liberté de manœuvre pour le gouvernement afin de lui permettre de pousser plus loin le processus de réforme économique et d'améliorer les chances de croissance pour une économie indienne déjà en plein boom.
Etant donné le comportement de l'économie du pays lors des trente derniers mois, estime le ministre, il serait approprié que le gouvernement puisse jouir d'une plus grande marge de manoeuvre sur la voie des réformes économiques afin de pouvoir réaliser et atteindre les objectifs retenus par le Programme Minimum Commun approuvé par tous les partenaires de la coalition au pouvoir, l'Alliance Progressiste Unie (APU) conduite par le parti du Congrès.
Bien que les résultats annoncés dépassent les prévisions initiales de 8,5% , le ministre tient à accélérer le processus de réforme, notamment dans le secteur financier dont les projets de lois continuent à faire du surplace même si certains secteurs sont désignés comme étant prioritaires pour la stratégie de croissance adoptée.
En effet, le système bancaire devrait s'ouvrir davantage pour une plus grande intervention de banques étrangères, le secteur des pensions et autres fonds devrait se libéraliser et des investissements étrangers plus conséquents devraient être autorisés dans le secteur des assurances.
Ces réformes nécessaires conjuguées à la discipline fiscale devraient assurer au sous-continent une croissance moyenne de 8%, affirme le ministre dont beaucoup de propositions continuent à essuyer des refus quasi-systématiques de la part des alliés des partis de la gauche indienne qui soutiennent le gouvernement de Manmohan Singh au parlement sans en faire partie.
