Si les résultats de l'année 2005 ont été fructueux pour l'opérateur historique des télécommunications, en l'occurrence Maroc Telecom, la tendance se confirme pour ce premier trimestre 2006. En effet, le résultat consolidé (non audité) des trois premiers mois de l'an en cours est de 2.326 millions de dirhams, en progression de 12,2 % par rapport à la même période, indique un communiqué émanant de l'entreprise internationale.
Une performance qui s'explique par la hausse du chiffre d'affaires (+12 %) et par une maîtrise des charges dans un contexte de poursuite de la forte croissance des parcs mobiles (+339.000 clients sur le trimestre) et ADSL (+54 000, +225 % par rapport à fin mars 2005), et en dépit de la comptabilisation d'une charge liée à un plan de départs volontaires chez Mauritel SA.
En neutralisant cet impact, la croissance du résultat d'exploitation est de 13% au premier trimestre. Il était donc attendu de voir Maroc Telecom continuer sur sa trajectoire haussière. Les résultats boursiers renforcent ce constat. Car, depuis son introduction en Bourse tant à Paris qu'à Casablanca en décembre 2004, l'action Maroc Telecom s'est envolée de 90 %.
Rappelons que le cours d'introduction était de 68,25 % dans la capitale économique et de 6,16 euros sur Euronex et à fin mars dernier, l'action cotait à 135,10 DH et 12 euros. Par ailleurs, l'on retient que les forts taux de progression enregistrés par le secteur des télécoms au cours des dernières années ne remettent nullement en cause la capacité de pénétration du marché. Actuellement, le taux d'équipement du marché est pressenti à 60 % dans les années à venir.
La démocratisation de l'accès aux services de téléphonie et l'enrichissement à travers de nouvelles technologies devraient constituer les principales locomotives de croissance dudit marché.
Quant à la libéralisation du fixe, Maroc Telecom est très bien outillé pour affronter la concurrence.
Fort d'une riche expérience lors de la libéralisation du mobile, Maroc Telecom va pouvoir défendre activement ses marchés naturels et profiter d'un effet d'entraînement pour renforcer son parcs d'abonnés sur le fixe.
Enfin, l'on table sur des prévisions de croissance de 6 à 8 % du chiffre d'affaires et de 12 à 14 % du résultat d'exploitation pour fin 2006.
Une performance qui s'explique par la hausse du chiffre d'affaires (+12 %) et par une maîtrise des charges dans un contexte de poursuite de la forte croissance des parcs mobiles (+339.000 clients sur le trimestre) et ADSL (+54 000, +225 % par rapport à fin mars 2005), et en dépit de la comptabilisation d'une charge liée à un plan de départs volontaires chez Mauritel SA.
En neutralisant cet impact, la croissance du résultat d'exploitation est de 13% au premier trimestre. Il était donc attendu de voir Maroc Telecom continuer sur sa trajectoire haussière. Les résultats boursiers renforcent ce constat. Car, depuis son introduction en Bourse tant à Paris qu'à Casablanca en décembre 2004, l'action Maroc Telecom s'est envolée de 90 %.
Rappelons que le cours d'introduction était de 68,25 % dans la capitale économique et de 6,16 euros sur Euronex et à fin mars dernier, l'action cotait à 135,10 DH et 12 euros. Par ailleurs, l'on retient que les forts taux de progression enregistrés par le secteur des télécoms au cours des dernières années ne remettent nullement en cause la capacité de pénétration du marché. Actuellement, le taux d'équipement du marché est pressenti à 60 % dans les années à venir.
La démocratisation de l'accès aux services de téléphonie et l'enrichissement à travers de nouvelles technologies devraient constituer les principales locomotives de croissance dudit marché.
Quant à la libéralisation du fixe, Maroc Telecom est très bien outillé pour affronter la concurrence.
Fort d'une riche expérience lors de la libéralisation du mobile, Maroc Telecom va pouvoir défendre activement ses marchés naturels et profiter d'un effet d'entraînement pour renforcer son parcs d'abonnés sur le fixe.
Enfin, l'on table sur des prévisions de croissance de 6 à 8 % du chiffre d'affaires et de 12 à 14 % du résultat d'exploitation pour fin 2006.
