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Avec un nombre de visiteurs se situant, quotidiennement, entre 22.000 et 30.000, le Siagrim (Salon international de l'agriculture du Maroc) aura incontestablement tenu ses promesses. Revêtant une consonance tout à la fois inédite et particulière, l'édition 2006 de ce “show agricole”, avec ses dimensions nationale et internationale, a bel et bien fini par détenir ses lettres de noblesse.
Qu'il s'agisse du grand public ou des participants, s'il est un maître mot que l'on pouvait recueillir çà et là, c'est bien celui de “réussite”. Dès lors, c'est le cas de le dire, et pour un coup d'essai, les organisateurs peuvent se targuer d'avoir réalisé là un coup de maître.
“C'est une réussite à plusieurs titres”, fait valoir Moha Marghi, secrétaire général au ministère de l'Agriculture, du Développement rural et des Pêches maritimes. Tout d'abord, indique-t-il, par le nombre d'exposants qui a dépassé toutes les prévisions mais aussi par la diversité des exposants et par les espaces dédiés à tous les créneaux de l'activité primaire. Mais au-delà même de ces atouts, c'est cet afflux massif des visiteurs qui attire l'attention.
Pour M. Marghi, “pour la première fois, les visiteurs ayant effectué le déplacement, non seulement ont été nombreux, mais aussi se sont intéressés aux produits exposés, demandent des explications et cherchent à savoir”.
Selon lui, cette édition se démarque des rencontres initiées jusque-là et dédiées au secteur, “car il y a aussi les professionnels, les investisseurs venus en force des différentes régions du Royaume mais également des opérateurs étrangers venus s'enquérir de tout ce qui se fait et tout ce qui a été réalisé au Maroc dans le domaine agricole”.
Au demeurant, “le Siagrim n'a rien à envier aux rencontres internationales initiées sous d'autres cieux et plus particulièrement dans les pays en développement” ; l'allusion est certainement faite, ici, au Salon de Paris, en l'occurrence. Il faut dire aussi que cette manifestation, dans sa première édition, a ratissé large en matière de participation étrangère.
Pratiquement tout un chapiteau abrite une trentaine d'entreprises étrangères exposant toute une panoplie d'équipements et cela va du matériel agricole aux nouvelles technologies en passant par les nouvelles méthodes de management des exploitations agricoles.
Somme toute, renchérit le secrétaire général du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, “ce Salon est une véritable richesse”. Pour lui, le Siagrim aura eu surtout cette particularité de pouvoir démontrer que “cette délocalisation (du Salon NDLR) dans une région agricole prouve qu'il y a un potentiel, qu'il est bel et bien là offrant de surcroît de belles perspectives pour le secteur, non seulement pour la région mais aussi et surtout pour toute l'agriculture marocaine”.
Maintenant, ces résultats obtenus et qui ont dépassé toutes les espérances interpellent opérateurs privés et pouvoirs publics à la concrétisation d'un nouveau challenge.
Pour M. Marghi, “ceci incite les uns et les autres à se préparer d'ores et déjà à la seconde édition du Siagri ”.
Un avis que partagent tous les exposants. “Franchement, on ne s'attendait pas à cette grande réussite (…) nous sommes particulièrement surpris et satisfaits des résultats obtenus jusque-là”. Pour une jeune responsable d'une PME agricole qui s'est spécialisée dans la production de produits exotiques dans la région du Souss, cette manifestation a permis à son entreprise de toucher le consommateur marocain en lui proposant de nouveaux produits.
Pour elle, cela incite à aller de l'avant en développant nos produits et sans conteste, “nous rééditerons notre participation à la prochaine édition avec cependant un stand plus consistant”. Idem pour le top management de l'entreprise de conserves qui estime que cette participation au Siagrim a permis de mieux faire connaître l'ensemble des produits de cette entreprise basée dans la banlieue de Meknès. Même son de cloche chez une autre PME spécialisée dans le traitement et la production de l'huile à base d'olives sauvages.
Pour une responsable de cette entreprise basée dans la région de Khénifra, cette manifestation a été une aubaine et devrait consolider la principale activité de cette unité, à savoir la sous-traitance.
“C'est une participation fructueuse d'autant que notre stand n'aura pas désempli” estiment, pour leur part, des représentants du groupe Amhal, avant d'ajouter, eux aussi, que le salon de Meknès s'avère désormais un rendez-vous incontournable pour les sociétés soucieuses de tirer vers le haut la qualité du “Label Maroc”. Sans conteste, augurent-ils, “nos responsables viendront l'an prochain en force, en proposant de nouveaux produits”.
Qu'il s'agisse du grand public ou des participants, s'il est un maître mot que l'on pouvait recueillir çà et là, c'est bien celui de “réussite”. Dès lors, c'est le cas de le dire, et pour un coup d'essai, les organisateurs peuvent se targuer d'avoir réalisé là un coup de maître.
“C'est une réussite à plusieurs titres”, fait valoir Moha Marghi, secrétaire général au ministère de l'Agriculture, du Développement rural et des Pêches maritimes. Tout d'abord, indique-t-il, par le nombre d'exposants qui a dépassé toutes les prévisions mais aussi par la diversité des exposants et par les espaces dédiés à tous les créneaux de l'activité primaire. Mais au-delà même de ces atouts, c'est cet afflux massif des visiteurs qui attire l'attention.
Pour M. Marghi, “pour la première fois, les visiteurs ayant effectué le déplacement, non seulement ont été nombreux, mais aussi se sont intéressés aux produits exposés, demandent des explications et cherchent à savoir”.
Selon lui, cette édition se démarque des rencontres initiées jusque-là et dédiées au secteur, “car il y a aussi les professionnels, les investisseurs venus en force des différentes régions du Royaume mais également des opérateurs étrangers venus s'enquérir de tout ce qui se fait et tout ce qui a été réalisé au Maroc dans le domaine agricole”.
Au demeurant, “le Siagrim n'a rien à envier aux rencontres internationales initiées sous d'autres cieux et plus particulièrement dans les pays en développement” ; l'allusion est certainement faite, ici, au Salon de Paris, en l'occurrence. Il faut dire aussi que cette manifestation, dans sa première édition, a ratissé large en matière de participation étrangère.
Pratiquement tout un chapiteau abrite une trentaine d'entreprises étrangères exposant toute une panoplie d'équipements et cela va du matériel agricole aux nouvelles technologies en passant par les nouvelles méthodes de management des exploitations agricoles.
Somme toute, renchérit le secrétaire général du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, “ce Salon est une véritable richesse”. Pour lui, le Siagrim aura eu surtout cette particularité de pouvoir démontrer que “cette délocalisation (du Salon NDLR) dans une région agricole prouve qu'il y a un potentiel, qu'il est bel et bien là offrant de surcroît de belles perspectives pour le secteur, non seulement pour la région mais aussi et surtout pour toute l'agriculture marocaine”.
Maintenant, ces résultats obtenus et qui ont dépassé toutes les espérances interpellent opérateurs privés et pouvoirs publics à la concrétisation d'un nouveau challenge.
Pour M. Marghi, “ceci incite les uns et les autres à se préparer d'ores et déjà à la seconde édition du Siagri ”.
Un avis que partagent tous les exposants. “Franchement, on ne s'attendait pas à cette grande réussite (…) nous sommes particulièrement surpris et satisfaits des résultats obtenus jusque-là”. Pour une jeune responsable d'une PME agricole qui s'est spécialisée dans la production de produits exotiques dans la région du Souss, cette manifestation a permis à son entreprise de toucher le consommateur marocain en lui proposant de nouveaux produits.
Pour elle, cela incite à aller de l'avant en développant nos produits et sans conteste, “nous rééditerons notre participation à la prochaine édition avec cependant un stand plus consistant”. Idem pour le top management de l'entreprise de conserves qui estime que cette participation au Siagrim a permis de mieux faire connaître l'ensemble des produits de cette entreprise basée dans la banlieue de Meknès. Même son de cloche chez une autre PME spécialisée dans le traitement et la production de l'huile à base d'olives sauvages.
Pour une responsable de cette entreprise basée dans la région de Khénifra, cette manifestation a été une aubaine et devrait consolider la principale activité de cette unité, à savoir la sous-traitance.
“C'est une participation fructueuse d'autant que notre stand n'aura pas désempli” estiment, pour leur part, des représentants du groupe Amhal, avant d'ajouter, eux aussi, que le salon de Meknès s'avère désormais un rendez-vous incontournable pour les sociétés soucieuses de tirer vers le haut la qualité du “Label Maroc”. Sans conteste, augurent-ils, “nos responsables viendront l'an prochain en force, en proposant de nouveaux produits”.
