La branche d'Al-Qaïda au Mahgreb (ex-GSPC) a revendiqué mercredi la responsabilité de l'attentat suicide dans lequel 10 militaires ont été tués en Algérie et 35 autres blessés, a rapporté la chaîne satellitaire qatarie Al-Jazira.
Une déclaration signée du "Mouvement d'Al-Qaïda dans les pays du Maghreb islamique" a été brièvement diffusée par la chaîne, qui a aussi montré des images d'un communiqué mis en ligne sur Internet. "L'explosion a tué plus de 70 soldats tandis que des dizaines d'autres apostats ont été blessés", a déclaré un porte-parole. L'authenticité de cette revendication n'a pu être vérifiée dans l'immédiat.
Un camion frigorifique chargé d'explosifs de forte puissance, conduit par un kamikaze âgé d'une vingtaine d'années, a été lancé à toute vitesse contre une caserne de l'armée à Lakhdaria, à 100 km au sud-est d'Alger, selon des témoins.
Le kamikaze a également été tué. Al-Qaïda au Maghreb, la branche du réseau terroriste d'Oussama ben Laden dans les pays d'Afrique du Nord, est le nom pris fin janvier par l'ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) algérien.
Cette organisation avait aussi revendiqué les attentats du 11 avril contre le Palais du gouvernement à Alger et un commissariat de Bab Ezzouar, dans la banlieue est, qui avaient fait 30 morts et plus de 200 blessés. Le groupe avait alors publié sur un site Internet islamiste les photos des kamikazes.
Il compte de 500 à 800 hommes qui agissent en Algérie et dans la zone du Sahel, en Mauritanie, au Mali et au Niger, selon les services de renseignement français. Par ailleurs, deux gendarmes ont été blessés mercredi dans un autre attentat à la bombe contre un barrage routier à Tigzirt, près de Tizi Ouzou (Kabylie, 110 km à l'est d'Alger), a-t-on appris de source sécuritaire.
Deux bombes artisanales, actionnées à distance, ont explosé à quelques minutes d'intervalles près de ce barrage de contrôle de la gendarmerie, selon les mêmes sources.
Une déclaration signée du "Mouvement d'Al-Qaïda dans les pays du Maghreb islamique" a été brièvement diffusée par la chaîne, qui a aussi montré des images d'un communiqué mis en ligne sur Internet. "L'explosion a tué plus de 70 soldats tandis que des dizaines d'autres apostats ont été blessés", a déclaré un porte-parole. L'authenticité de cette revendication n'a pu être vérifiée dans l'immédiat.
Un camion frigorifique chargé d'explosifs de forte puissance, conduit par un kamikaze âgé d'une vingtaine d'années, a été lancé à toute vitesse contre une caserne de l'armée à Lakhdaria, à 100 km au sud-est d'Alger, selon des témoins.
Le kamikaze a également été tué. Al-Qaïda au Maghreb, la branche du réseau terroriste d'Oussama ben Laden dans les pays d'Afrique du Nord, est le nom pris fin janvier par l'ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) algérien.
Cette organisation avait aussi revendiqué les attentats du 11 avril contre le Palais du gouvernement à Alger et un commissariat de Bab Ezzouar, dans la banlieue est, qui avaient fait 30 morts et plus de 200 blessés. Le groupe avait alors publié sur un site Internet islamiste les photos des kamikazes.
Il compte de 500 à 800 hommes qui agissent en Algérie et dans la zone du Sahel, en Mauritanie, au Mali et au Niger, selon les services de renseignement français. Par ailleurs, deux gendarmes ont été blessés mercredi dans un autre attentat à la bombe contre un barrage routier à Tigzirt, près de Tizi Ouzou (Kabylie, 110 km à l'est d'Alger), a-t-on appris de source sécuritaire.
Deux bombes artisanales, actionnées à distance, ont explosé à quelques minutes d'intervalles près de ce barrage de contrôle de la gendarmerie, selon les mêmes sources.
