Il n'y a pas de fumée sans feu : les critiques formulées par la presse sont souvent bien fondées, même si dans certains articles se glissent quelques inexactitudes.
Pour le public, il y a les bons et les méchants. Et une entreprise classée par les médias dans la seconde catégorie est d'autant plus vulnérable que chaque organe de presse a tendance à s'acharner contre elle pour obtenir un scoop ou pour présenter une affaire sous un angle original. L'on doit bien s'avouer qu'on est plus attentif aux histoires de crise qu'à celles de réussite que la plupart des businessmen préfèrent raconter autour d'eux.
Par ailleurs, la manière dont les patrons d'une entreprise sur la sellette gèrent les informations données à la presse et leur comportement vis-à-vis des médias peuvent être parfois aussi déterminants pour leurs affaires que la façon dont ils régissent leur société.
Ils sont dans une situation de crise. Ils prennent alors conseil soit auprès de leur service communication, poste occupé généralement par un ancien journaliste, ou auprès d'un avocat. Les avis divergent alors quant à la prise de décision. Communiquer ou pas, et comment ?
Le conseil prodigué par le journaliste a tendance à ne pas aggraver ou à ternir l'image du manager et partant, celle de l'entreprise en situation de crise.
Car pour la plupart des entrepreneurs, une crise est bel et bien synonyme de problèmes.
Une crise, il est vrai, rompt la routine quotidienne et, sous la pression des évènements, oblige à prendre des décisions. Et qui peut dire d'avance comment les choses tourneront ?
Mais une situation de crise n'a pas que des aspects négatifs.
Loin de là.Pour tirer parti de ses côtés positifs, il y en a toujours, il faut pouvoir les voir pour en tirer des conclusions.
Et au plus fort d'une crise, dans les tourbillons et la cendre, l'on reconnaît aisément le bon stratège.
C'est vrai sur un champ de bataille, cela l'est également dans les affaires.
Pour le public, il y a les bons et les méchants. Et une entreprise classée par les médias dans la seconde catégorie est d'autant plus vulnérable que chaque organe de presse a tendance à s'acharner contre elle pour obtenir un scoop ou pour présenter une affaire sous un angle original. L'on doit bien s'avouer qu'on est plus attentif aux histoires de crise qu'à celles de réussite que la plupart des businessmen préfèrent raconter autour d'eux.
Par ailleurs, la manière dont les patrons d'une entreprise sur la sellette gèrent les informations données à la presse et leur comportement vis-à-vis des médias peuvent être parfois aussi déterminants pour leurs affaires que la façon dont ils régissent leur société.
Ils sont dans une situation de crise. Ils prennent alors conseil soit auprès de leur service communication, poste occupé généralement par un ancien journaliste, ou auprès d'un avocat. Les avis divergent alors quant à la prise de décision. Communiquer ou pas, et comment ?
Le conseil prodigué par le journaliste a tendance à ne pas aggraver ou à ternir l'image du manager et partant, celle de l'entreprise en situation de crise.
Car pour la plupart des entrepreneurs, une crise est bel et bien synonyme de problèmes.
Une crise, il est vrai, rompt la routine quotidienne et, sous la pression des évènements, oblige à prendre des décisions. Et qui peut dire d'avance comment les choses tourneront ?
Mais une situation de crise n'a pas que des aspects négatifs.
Loin de là.Pour tirer parti de ses côtés positifs, il y en a toujours, il faut pouvoir les voir pour en tirer des conclusions.
Et au plus fort d'une crise, dans les tourbillons et la cendre, l'on reconnaît aisément le bon stratège.
C'est vrai sur un champ de bataille, cela l'est également dans les affaires.
