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Tout bouge, la technologie, les marchés, la concurrence, le savoir-faire…
Tout bouge et de plus en plus vite. Le surplace ou la réaction tardive, sur quelque front que ce soit, sont des attitudes périlleuses. Pourtant, les entreprises jouissant d'une forte notoriété et d'un bon capital confiance peuvent être sujettes à des périodes d'incertitude. Question de conjoncture.
Repues, ces entreprises ont tendance à s'endormir sur leurs lauriers : les critiques sont ajournées, les initiatives douloureuses remises à plus tard et les bonnes résolutions jamais prises.
Qu'arrive-t-il alors ? Au mieux, lesdites entreprises ratent des opportunités. Et quelles opportunités ! Au pire, elles déclenchent une cascade de difficultés qui finissent par avoir leur peau.
Le spectre de la liquidation apparaît à l'horizon. Les raisons ? Un manque de visibilité, une absence de stratégie ?
Un retard dans la modernisation des équipements ? Ou c'est la mise à niveau qui ne suit pas ?
Les coûts deviennent de plus en plus élevés que ceux de la concurrence ainsi que les prix. L'entreprise perd des parts de marché ou, pour les conserver, s'oblige à baisser les prix de vente, mettant doublement ses marges en péril.
Et lorsqu'elle décide enfin à combler son retard, elle doit le faire au prix d'un investissement massif, financé à coup d'emprunts élevés et coûteux. Le tout sur fond de recyclage-catastrophe, de licenciements pénibles et de conflits sociaux.
Plus grave encore, ces crises ont souvent pour effet de paralyser les responsables à un moment où l'imagination, l'action et la rigueur sont indispensables. Les réponses hâtives arrivent en ordre dispersé.
Les obstacles paraissent insurmontables. Et, plus que jamais, le temps manque. Pour sortir l'entreprise des sables mouvants, il ne reste plus qu'à appeler de nouveaux partenaires à la rescousse et mettre en place une restructuration musclée, quand il n'est pas trop tard.
Il n'est jamais trop tard car… perdre du temps, c'est tout perdre.
Tout bouge et de plus en plus vite. Le surplace ou la réaction tardive, sur quelque front que ce soit, sont des attitudes périlleuses. Pourtant, les entreprises jouissant d'une forte notoriété et d'un bon capital confiance peuvent être sujettes à des périodes d'incertitude. Question de conjoncture.
Repues, ces entreprises ont tendance à s'endormir sur leurs lauriers : les critiques sont ajournées, les initiatives douloureuses remises à plus tard et les bonnes résolutions jamais prises.
Qu'arrive-t-il alors ? Au mieux, lesdites entreprises ratent des opportunités. Et quelles opportunités ! Au pire, elles déclenchent une cascade de difficultés qui finissent par avoir leur peau.
Le spectre de la liquidation apparaît à l'horizon. Les raisons ? Un manque de visibilité, une absence de stratégie ?
Un retard dans la modernisation des équipements ? Ou c'est la mise à niveau qui ne suit pas ?
Les coûts deviennent de plus en plus élevés que ceux de la concurrence ainsi que les prix. L'entreprise perd des parts de marché ou, pour les conserver, s'oblige à baisser les prix de vente, mettant doublement ses marges en péril.
Et lorsqu'elle décide enfin à combler son retard, elle doit le faire au prix d'un investissement massif, financé à coup d'emprunts élevés et coûteux. Le tout sur fond de recyclage-catastrophe, de licenciements pénibles et de conflits sociaux.
Plus grave encore, ces crises ont souvent pour effet de paralyser les responsables à un moment où l'imagination, l'action et la rigueur sont indispensables. Les réponses hâtives arrivent en ordre dispersé.
Les obstacles paraissent insurmontables. Et, plus que jamais, le temps manque. Pour sortir l'entreprise des sables mouvants, il ne reste plus qu'à appeler de nouveaux partenaires à la rescousse et mettre en place une restructuration musclée, quand il n'est pas trop tard.
Il n'est jamais trop tard car… perdre du temps, c'est tout perdre.
