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C'est fait. Le gouvernement vient de signer sa deuxième grande sortie devant les parlementaires. Pendant plus d'une heure et demie, le ministre de l'Economie et des Finances a décliné les grandes lignes du projet de la loi de finances, devant pratiquement la moitié des députés qui ont répondu présent à l'occasion. C'est que, après la déclaration de politique générale du Premier ministre, où il avait insisté sur la dimension 116iale de l'action de l'Exécutif, l'attente était grande pour voir la déclinaison des orientations promises en affectations budgétaires.
C'est justement à cet exercice de rapprochement auquel s'est attelé Salaheddine Mezouar en fixant la vingtaine de pages synthétiques du projet de loi. Il allait sans dire que l'accent devait être mis sur les aspects relevant du domaine 116ial. Ainsi, l'on apprendra, presque sans surprise, puisque c'est devenu la règle depuis le gouvernement de l'alternance consensuelle, que les volets relevant des secteurs 116iaux se verront consacrer plus de 50% du budget général.
Il est clair que sur ce front, les secteurs de l'éducation 110nale et de la santé sont plutôt bien lotis. En effet, par rapport à l'exercice passé, les crédits alloués à l'éducation ont été revus à la hausse de presque 10%, alors que ceux réservés à la santé ont été augmentés de plus de 10%. L'Exécutif s'est également engagé à appuyer davantage l'effort de l'INDH qui se verra allouer, au titre de l'exercice prochain 1,2 milliard de dirhams.
Mais, passé le moment d'écoute, les membres de la commission ad hoc au Parlement ont commencé à plancher sur le contenu du projet de la loi de finances.
C'est justement à cet exercice de rapprochement auquel s'est attelé Salaheddine Mezouar en fixant la vingtaine de pages synthétiques du projet de loi. Il allait sans dire que l'accent devait être mis sur les aspects relevant du domaine 116ial. Ainsi, l'on apprendra, presque sans surprise, puisque c'est devenu la règle depuis le gouvernement de l'alternance consensuelle, que les volets relevant des secteurs 116iaux se verront consacrer plus de 50% du budget général.
Il est clair que sur ce front, les secteurs de l'éducation 110nale et de la santé sont plutôt bien lotis. En effet, par rapport à l'exercice passé, les crédits alloués à l'éducation ont été revus à la hausse de presque 10%, alors que ceux réservés à la santé ont été augmentés de plus de 10%. L'Exécutif s'est également engagé à appuyer davantage l'effort de l'INDH qui se verra allouer, au titre de l'exercice prochain 1,2 milliard de dirhams.
Mais, passé le moment d'écoute, les membres de la commission ad hoc au Parlement ont commencé à plancher sur le contenu du projet de la loi de finances.
