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Un match décisif où aucun des deux protagonistes ne part favori. L'avance des Congolais enregistrée au match «aller» est mince certes (1-0), mais cela n'excuse aucunement un optimisme démesuré, trompeur. A moins d'avoir la mémoire courte, l'équipe des FAR a été prenable, à maintes fois, au Complexe Prince Moulay Abdallah même. Une équipe imprévisible qui risquerait de vous décevoir au moment où l'on s'attend le moins et vice versa.
A l'image d'ailleurs de son gardien, Tarek Jermouni, un géant qui réussit le principal mais échoue parfois sur l'élémentaire. La dernière de ses maladresses date juste d'une semaine, devant le WAC. Il en est de même pour une autre pièce maîtresse de l'édifice militaire, Youssef Rabeh en l'occurrence. Un joueur qui a intérêt à garder la tête sur les épaules. C'est dire l'ampleur du travail psychologique qui attend le coach Jaouad Milani. Celui-ci doit mettre en confiance son commando, sans verser toutefois dans l'excès. Car, est-il besoin de le souligner, les Congolais ont juré de ne pas revenir bredouilles de Rabat.
Ils y croient comme fer car étant conscients de leur atout physique et surtout de leur grande motivation nourrie par des mesures incitatives sur le plan matériel puisque, paraît-il, ils ont reçu la promesse d'une prime historique pour un club de ce pays ami. Ajouter à cela l'expérience de l'ossature du team composée de joueurs internationaux. Le Raja en a fait les frais dans un passé récent quand il a été écarté par ce même adversaire au titre de cette même épreuve.
Les Militaires devront donc s'armer de patience et de prudence. Ils devront également supporter la pression des gradins, trop exigeants.
D'ailleurs, d'aucuns auront constaté la désaffection des supporters de l'équipe rbatie ces derniers temps, non content des résultats et surtout de la manière de jouer. Les fans savent pertinemment que leur favori a perdu de gros calibres partis monnayer leur talent sous d'autres cieux, mais ils n'en tiennent pas compte. L'entraîneur Milani s'évertue tant bien que mal à recoller les morceaux et tout indique qu'il y parviendra si on le … laisserait faire.
Le match de ce soir devra nous édifier sur le chemin parcouru dans ce sens.
A l'image d'ailleurs de son gardien, Tarek Jermouni, un géant qui réussit le principal mais échoue parfois sur l'élémentaire. La dernière de ses maladresses date juste d'une semaine, devant le WAC. Il en est de même pour une autre pièce maîtresse de l'édifice militaire, Youssef Rabeh en l'occurrence. Un joueur qui a intérêt à garder la tête sur les épaules. C'est dire l'ampleur du travail psychologique qui attend le coach Jaouad Milani. Celui-ci doit mettre en confiance son commando, sans verser toutefois dans l'excès. Car, est-il besoin de le souligner, les Congolais ont juré de ne pas revenir bredouilles de Rabat.
Ils y croient comme fer car étant conscients de leur atout physique et surtout de leur grande motivation nourrie par des mesures incitatives sur le plan matériel puisque, paraît-il, ils ont reçu la promesse d'une prime historique pour un club de ce pays ami. Ajouter à cela l'expérience de l'ossature du team composée de joueurs internationaux. Le Raja en a fait les frais dans un passé récent quand il a été écarté par ce même adversaire au titre de cette même épreuve.
Les Militaires devront donc s'armer de patience et de prudence. Ils devront également supporter la pression des gradins, trop exigeants.
D'ailleurs, d'aucuns auront constaté la désaffection des supporters de l'équipe rbatie ces derniers temps, non content des résultats et surtout de la manière de jouer. Les fans savent pertinemment que leur favori a perdu de gros calibres partis monnayer leur talent sous d'autres cieux, mais ils n'en tiennent pas compte. L'entraîneur Milani s'évertue tant bien que mal à recoller les morceaux et tout indique qu'il y parviendra si on le … laisserait faire.
Le match de ce soir devra nous édifier sur le chemin parcouru dans ce sens.
