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Les amateurs de films à thématiques engagées ont rendez-vous, du 12 au 19 mars, avec la 20e édition du Festival international de films de Fribourg (FIFF), qui a dévoilé, mardi, son programme.
«Qu'ils viennent du Brésil, d'Iran ou des Philippines, qu'ils soient présentés en compétition ou en cycles à thèmes, les films proposés évoquent autant l'évolution complexe du monde réel et politique que l'évolution subtile de la production du 7e art», ont indiqué les organisateurs de cet événement.
Plusieurs films seront présentés en hommage à Helena Ignez, grande dame du nouveau cinéma brésilien des années 60 mais aussi «reine» du cinéma alternatif au Brésil.
Un «panorama» du festival sera consacré cette année au cinéma iranien. Sous le titre «L'Iran s'en va-t-en guerre», il met en scène le conflit entre l'Iran et l'Irak (1980-1988).
Le choix du cinéma iranien est dû, selon les promoteurs de la manifestation, au fait qu'après s'être inspiré, dans un premier temps des productions occidentales, et notamment des westerns, ce cinéma s'est forgé progressivement un genre autonome et s'est imposé sur la scène internationale.
Un second «panorama» a pour objet le cinéma numérique philippin qui a permis, après des années de torpeur, au 7e art aux Philippines de connaître un nouveau décollage grâce aux nouvelles technologies utilisées par une jeune génération de réalisateurs pour offrir une vision peu orthodoxe et critique de la société philippine.
Les événements phares de la sélection seront les compétitions de films de fiction (10 films pour le Regard d'Or) et documentaires (9 films).
«Qu'ils viennent du Brésil, d'Iran ou des Philippines, qu'ils soient présentés en compétition ou en cycles à thèmes, les films proposés évoquent autant l'évolution complexe du monde réel et politique que l'évolution subtile de la production du 7e art», ont indiqué les organisateurs de cet événement.
Plusieurs films seront présentés en hommage à Helena Ignez, grande dame du nouveau cinéma brésilien des années 60 mais aussi «reine» du cinéma alternatif au Brésil.
Un «panorama» du festival sera consacré cette année au cinéma iranien. Sous le titre «L'Iran s'en va-t-en guerre», il met en scène le conflit entre l'Iran et l'Irak (1980-1988).
Le choix du cinéma iranien est dû, selon les promoteurs de la manifestation, au fait qu'après s'être inspiré, dans un premier temps des productions occidentales, et notamment des westerns, ce cinéma s'est forgé progressivement un genre autonome et s'est imposé sur la scène internationale.
Un second «panorama» a pour objet le cinéma numérique philippin qui a permis, après des années de torpeur, au 7e art aux Philippines de connaître un nouveau décollage grâce aux nouvelles technologies utilisées par une jeune génération de réalisateurs pour offrir une vision peu orthodoxe et critique de la société philippine.
Les événements phares de la sélection seront les compétitions de films de fiction (10 films pour le Regard d'Or) et documentaires (9 films).
