Tous les deux sont venus pour le tournage du film «Body of lies» dont le premier coup de manivelle a été donné lundi dernier. Derrière cette nouvelle aventure du cinéma américain au Maroc, on retrouve encore une fois Ridley Scott.
Après «Gladiator» en 2000, «La chute du faucon noir» en 2002 et «Le royaume du paradis» en 2006, le réalisateur est de retour au Maroc pour le tournage de son dernier opus. Sur ses nombreuses expériences, Ridley Scott avait déclaré lors d'une conférence de presse donnée à Paris «J'ai déjà filmé «Gladiator» au Maroc. Puis, l'année suivante, j'y suis retourné avec 12 hélicoptères Black Hawk et 120 rangers chargés de les surveiller pour les besoins de "La chute du faucon noir".
Tout ce cortège parcourait quotidiennement Rabat et tout s'est merveilleusement bien passé.
« Lorsque j'ai annoncé que je voulais filmer "Le royaume du Paradis" au Maroc, j'ai été reçu par le Roi qui m'a assuré son soutien et ses encouragements.»
D'après le réalisateur, le bon déroulement des tournages précédents, ainsi que les facilités administratives et le soutien dont il a bénéficié l'ont poussé à revenir travailler au Maroc.
"Body of lies" sera ainsi le quatrième film de Ridley Scott tourné au Royaume.
Le thriller politique est en fait une adaptation du roman "Pénétration" de David Ignatus. L'intrigue est celle d'un ancien journaliste qui est devenu un agent de la CIA.
Roger Ferris incarné par Leonardo DiCaprio se rend en Jordanie pour traquer l'un des leaders d'Al-Qaïda. Pour atteindre son but, ce dernier fait équipe avec un patron de la CIA, Ed Hoffman 111prété par Russell Crowe.
Les deux agents piègent le dangereux terroriste en propageant une fausse rumeur selon laquelle le poseur de bombe est de mèche avec les Américains…
Le héros du Titanic qui plonge dans ce film au coeur du Moyen-Orient se retrouve pour la première fois devant la caméra de Ridley Scott. Après Martin Scorsese dans «Gangs of New York», «Aviator» et «Les infiltrés», Steven Spielberg dans «Attrape moi si tu peux», James Cameron dans «Titanic», Woody Allen dans «Celebrity»…c'est au tour du grand Ridley Scott de le guider sur le plateau. Habitué aux grosses pointures de Hollywood, Leonardo DiCaprio est désormais le chouchou des grands cinéastes. Dans ce film, il partage l'affiche avec Russell Crowe qui est devenu au fil des années l'acteur fétiche du cinéaste anglo-américain.
Depuis son rôle de Maximus dans «Gladiator», qui a valu au comédien l'Oscar du meilleur acteur et au cinéaste celui du meilleur film, les deux hommes ne se quittent plus.
Ils ont travaillé ensemble sur le tournage d'«Une grande année» puis d' «American gangsters» qui sortira en décembre prochain et collaboreront après «Body of lies» dans Nottingham, un Robin des Bois nouvelle génération dans lequel l'acteur incarnerait le shérif de Nottingham.
Les deux agents de la CIA ne se donnent cependant pas la réplique pour la première fois, puisqu'ils avaient déjà joué ensemble, il y a treize ans, dans le western «Mort ou vif»
avec Sharon Stone.
Pour leur dernier film, Crowe a été sollicité dès que Dicaprio a signé en avril dernier mais il a tenu, avant de s'engager formellement, à ce que le scénariste Steven Zaillian, retravaille le script proposé par William Monahan, le scénariste oscarisé des «Infiltrés».
Produit par Warner Bros, le film s'est vu allouer un gros budget. Après Rabat, «Body of lies» sera tourné en seconde partie à Ouarzazate avant de partir en Europe, à Washington et au Moyen-Orient.
Il verra par ailleurs la participation de quelque 1.500 figurants et acteurs. Avec cette méga production, le Maroc confirme sa place de terre de prédilection pour les cinéastes américains.
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Depuis son début, le tournage du film est entouré de secrets. Toutes les informations sont et restent confidentielles.
En effet, un grand mutisme règne autour du film, de son casting, ainsi que les conditions et les lieux de tournage. Aucune rencontre ni conférence de presse n'ont été accordées jusqu'à l'instant à la presse marocaine, contrairement à d'autres pays où les acteurs parlent ouvertement aux journalistes.
Les mesures de sécurité sont draconiennes et les plateaux de tournage sont impénétrables. Ces mesures ne seraient-elles pas des conditions imposées par les producteurs pour le bon déroulement du travail ?
Après «Gladiator» en 2000, «La chute du faucon noir» en 2002 et «Le royaume du paradis» en 2006, le réalisateur est de retour au Maroc pour le tournage de son dernier opus. Sur ses nombreuses expériences, Ridley Scott avait déclaré lors d'une conférence de presse donnée à Paris «J'ai déjà filmé «Gladiator» au Maroc. Puis, l'année suivante, j'y suis retourné avec 12 hélicoptères Black Hawk et 120 rangers chargés de les surveiller pour les besoins de "La chute du faucon noir".
Tout ce cortège parcourait quotidiennement Rabat et tout s'est merveilleusement bien passé.
« Lorsque j'ai annoncé que je voulais filmer "Le royaume du Paradis" au Maroc, j'ai été reçu par le Roi qui m'a assuré son soutien et ses encouragements.»
D'après le réalisateur, le bon déroulement des tournages précédents, ainsi que les facilités administratives et le soutien dont il a bénéficié l'ont poussé à revenir travailler au Maroc.
"Body of lies" sera ainsi le quatrième film de Ridley Scott tourné au Royaume.
Le thriller politique est en fait une adaptation du roman "Pénétration" de David Ignatus. L'intrigue est celle d'un ancien journaliste qui est devenu un agent de la CIA.
Roger Ferris incarné par Leonardo DiCaprio se rend en Jordanie pour traquer l'un des leaders d'Al-Qaïda. Pour atteindre son but, ce dernier fait équipe avec un patron de la CIA, Ed Hoffman 111prété par Russell Crowe.
Les deux agents piègent le dangereux terroriste en propageant une fausse rumeur selon laquelle le poseur de bombe est de mèche avec les Américains…
Le héros du Titanic qui plonge dans ce film au coeur du Moyen-Orient se retrouve pour la première fois devant la caméra de Ridley Scott. Après Martin Scorsese dans «Gangs of New York», «Aviator» et «Les infiltrés», Steven Spielberg dans «Attrape moi si tu peux», James Cameron dans «Titanic», Woody Allen dans «Celebrity»…c'est au tour du grand Ridley Scott de le guider sur le plateau. Habitué aux grosses pointures de Hollywood, Leonardo DiCaprio est désormais le chouchou des grands cinéastes. Dans ce film, il partage l'affiche avec Russell Crowe qui est devenu au fil des années l'acteur fétiche du cinéaste anglo-américain.
Depuis son rôle de Maximus dans «Gladiator», qui a valu au comédien l'Oscar du meilleur acteur et au cinéaste celui du meilleur film, les deux hommes ne se quittent plus.
Ils ont travaillé ensemble sur le tournage d'«Une grande année» puis d' «American gangsters» qui sortira en décembre prochain et collaboreront après «Body of lies» dans Nottingham, un Robin des Bois nouvelle génération dans lequel l'acteur incarnerait le shérif de Nottingham.
Les deux agents de la CIA ne se donnent cependant pas la réplique pour la première fois, puisqu'ils avaient déjà joué ensemble, il y a treize ans, dans le western «Mort ou vif»
avec Sharon Stone.
Pour leur dernier film, Crowe a été sollicité dès que Dicaprio a signé en avril dernier mais il a tenu, avant de s'engager formellement, à ce que le scénariste Steven Zaillian, retravaille le script proposé par William Monahan, le scénariste oscarisé des «Infiltrés».
Produit par Warner Bros, le film s'est vu allouer un gros budget. Après Rabat, «Body of lies» sera tourné en seconde partie à Ouarzazate avant de partir en Europe, à Washington et au Moyen-Orient.
Il verra par ailleurs la participation de quelque 1.500 figurants et acteurs. Avec cette méga production, le Maroc confirme sa place de terre de prédilection pour les cinéastes américains.
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Silence, on tourne !
Pour une fois, cette expression souvent répétée par les réalisateurs lors des tournages de leur film s'applique véritablement dans le cas de «Body of lies».Depuis son début, le tournage du film est entouré de secrets. Toutes les informations sont et restent confidentielles.
En effet, un grand mutisme règne autour du film, de son casting, ainsi que les conditions et les lieux de tournage. Aucune rencontre ni conférence de presse n'ont été accordées jusqu'à l'instant à la presse marocaine, contrairement à d'autres pays où les acteurs parlent ouvertement aux journalistes.
Les mesures de sécurité sont draconiennes et les plateaux de tournage sont impénétrables. Ces mesures ne seraient-elles pas des conditions imposées par les producteurs pour le bon déroulement du travail ?
