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La victoire du DHJ au détriment de l'OCS par un but à zéro, dimanche, au stade El Abdi, pour le compte de la 1re journée, vient confirmer la pertinence des choix et des recrutements effectués cette saison par l'entraîneur Abderrahim Talib, soutenu en cela par les dirigeants du club.
Ces initiatives, opérées à partir du mois de juillet dernier, consistent, selon le président du club doukkali, à redorer le blason du Difaâ tout en instaurant un climat serein et sain. Avant la rencontre, Talib a déclaré à ses poulains : « Cet après-midi, il faudra être patient, tenir et avoir l'esprit d'équipe et de la dynamique du groupe, car je suis sûr et certain que M. Aziz Amri va essayer de nous mettre la pression d'entrée afin que nous n'ayons pas confiance en nos capacités.
En plus, je veux que ce derby régional soit une fête du football.»
La conviction de Talib était donc qu'en opposant une résistance farouche tout en s'installant dans le camp des Abdis, il pourrait de tenir la solution miracle. Et, franchement, l'affiche fiévreuse qui collait jadis à toute confrontation entre Doukkalis et Abdis s'est passée dans une ambiance folklorique indescriptible. Les supporters des deux équipes n'ont ménagé aucun effort pour encourager leurs préférés.
Mais des deux côtés, on veillait à ce que l'esprit sportif prévale.
En ce qui concerne la rencontre, les coéquipiers du maestro Réda ont d'entrée de jeu pris le matche à leur compte. Ils voulaient à tout prix sauter précocement le verrou adverse. Cependant, ils y allèrent na¿vement. Ainsi, ils ratèrent des buts tout faits par précipitation et manque de cadrage des tirs (1re, 7e, 21e, 22e, 23e,2 8e et 36e min).
Et juste avant que l'arbitre Maâzouz renvoie les deux équipes aux vestiaires, Benhalib trompa la vigilance des défenseurs safiots et servit impeccablement le jeune Selmaji.
Ce dernier logea calmement le ballon dans les filets de Jalil. En seconde période, l'OCS changeait de visage et sa ligne d'attaque devint entreprenante.
Mais comme la défense jdidie était hermétiquement cadenassée grâce aux interventions minutieuses de Aïny, Abdelouahed Abdessamad et Sassa, les attaquants safiots n'ont pu inscrire le but d'égalisation malgré leur courage et leur détermination. L'OCS domina outrageusement les dernières minutes de la partie, opérant tantôt par les ailes, tantôt par le centre.
Mais rien ne lui réussit. Amri devra chercher un finisseur de classe s'il veut que la machine de son équipe carbure bien.
Un grand bravo pour les deux équipes qui ont sué sang et eau durant tout ce derby pour donner un spectacle plaisant.
Notons aussi que s'il est un match à classer dans le registre de l'esprit sportif, c'est bien le derby régional Doukkali-Abdi, étant donné qu'à la fin de la rencontre, les Safiots ont été les premiers à féliciter Talib et ses poulains sous les applaudissements des supporters Doukkalis et Abdis.
Ces initiatives, opérées à partir du mois de juillet dernier, consistent, selon le président du club doukkali, à redorer le blason du Difaâ tout en instaurant un climat serein et sain. Avant la rencontre, Talib a déclaré à ses poulains : « Cet après-midi, il faudra être patient, tenir et avoir l'esprit d'équipe et de la dynamique du groupe, car je suis sûr et certain que M. Aziz Amri va essayer de nous mettre la pression d'entrée afin que nous n'ayons pas confiance en nos capacités.
En plus, je veux que ce derby régional soit une fête du football.»
La conviction de Talib était donc qu'en opposant une résistance farouche tout en s'installant dans le camp des Abdis, il pourrait de tenir la solution miracle. Et, franchement, l'affiche fiévreuse qui collait jadis à toute confrontation entre Doukkalis et Abdis s'est passée dans une ambiance folklorique indescriptible. Les supporters des deux équipes n'ont ménagé aucun effort pour encourager leurs préférés.
Mais des deux côtés, on veillait à ce que l'esprit sportif prévale.
En ce qui concerne la rencontre, les coéquipiers du maestro Réda ont d'entrée de jeu pris le matche à leur compte. Ils voulaient à tout prix sauter précocement le verrou adverse. Cependant, ils y allèrent na¿vement. Ainsi, ils ratèrent des buts tout faits par précipitation et manque de cadrage des tirs (1re, 7e, 21e, 22e, 23e,2 8e et 36e min).
Et juste avant que l'arbitre Maâzouz renvoie les deux équipes aux vestiaires, Benhalib trompa la vigilance des défenseurs safiots et servit impeccablement le jeune Selmaji.
Ce dernier logea calmement le ballon dans les filets de Jalil. En seconde période, l'OCS changeait de visage et sa ligne d'attaque devint entreprenante.
Mais comme la défense jdidie était hermétiquement cadenassée grâce aux interventions minutieuses de Aïny, Abdelouahed Abdessamad et Sassa, les attaquants safiots n'ont pu inscrire le but d'égalisation malgré leur courage et leur détermination. L'OCS domina outrageusement les dernières minutes de la partie, opérant tantôt par les ailes, tantôt par le centre.
Mais rien ne lui réussit. Amri devra chercher un finisseur de classe s'il veut que la machine de son équipe carbure bien.
Un grand bravo pour les deux équipes qui ont sué sang et eau durant tout ce derby pour donner un spectacle plaisant.
Notons aussi que s'il est un match à classer dans le registre de l'esprit sportif, c'est bien le derby régional Doukkali-Abdi, étant donné qu'à la fin de la rencontre, les Safiots ont été les premiers à féliciter Talib et ses poulains sous les applaudissements des supporters Doukkalis et Abdis.
