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Une simulation d'audience a été organisée, vendredi à Rabat, dans le cadre des préparatifs des candidats marocains au concours africain de "procès fictif" des droits de l'Homme, prévu du 28 août au 2 septembre à Addis Abeba.
Lors de cette audience, Khadija Charrat et Youssef Benchikhi, deux étudiants de la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de l'Université Hassan II de Mohammedia, qui représentent le Maroc lors de cette 15e édition, ont présenté leurs plaidoiries relatives à un cas fictif de violation du droit humanitaire international devant d'imminents professionnels du droit agissant en tant que juges.
Il s'agit d'un cas qui traite de l'allégation qu'un Etat africain fictif qui aurait violé la loi internationale des droits de l'Homme en échouant à protéger la santé de ses citoyens.
Les candidats marocains ont suivi un programme de formation de deux mois dans le but d'acquérir les techniques adéquates pour la rédaction des mémoires écrits et de préparer leurs arguments pour mener à bien leurs plaidoiries durant la compétition, a affirmé Marc Sacks, membre de l'American Bar Association (ABA), institution qui exécute le programme de formation du procès fictif des droits de l'Homme, en partenariat avec la Faculté de droit de Mohammedia.
La formation a été axée sur deux points essentiels ayant trait aux droits de l'Homme et à l'organisation des juridictions compétentes dans ce domaine au sein du continent africain, ainsi qu'à la question du sida en tant que problème majeur sur lequel bute le développement en Afrique, a ajouté ce consultant légal dans le cadre programme de développement judiciaire.
Outre les candidats marocains, la 15e édition du concours africain de "procès fictif" des droits de l'Homme sera marquée par la participation d'autres étudiants représentant 70 facultés de quelque 40 pays africains.
Un "procès fictif" est une simulation d'audience d'une cour durant laquelle les étudiants ont l'occasion d'acquérir et développer des techniques pratiques de plaidoirie en formulant des arguments concernant un ensemble de faits fictifs, à la fois sous forme de mémoires écrits et de plaidoiries verbales.
L'ABA, qui constitue la voix indépendante et non gouvernementale de la profession juridique aux Etats-Unis, œuvre notamment à promouvoir l'administration de la justice et les programmes assistant les avocats et les juges dans leurs missions, assure la formation juridique continue et tente d'accroître la conscience publique à travers le monde quant à l'importance de l'Etat de droit.
Lors de cette audience, Khadija Charrat et Youssef Benchikhi, deux étudiants de la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de l'Université Hassan II de Mohammedia, qui représentent le Maroc lors de cette 15e édition, ont présenté leurs plaidoiries relatives à un cas fictif de violation du droit humanitaire international devant d'imminents professionnels du droit agissant en tant que juges.
Il s'agit d'un cas qui traite de l'allégation qu'un Etat africain fictif qui aurait violé la loi internationale des droits de l'Homme en échouant à protéger la santé de ses citoyens.
Les candidats marocains ont suivi un programme de formation de deux mois dans le but d'acquérir les techniques adéquates pour la rédaction des mémoires écrits et de préparer leurs arguments pour mener à bien leurs plaidoiries durant la compétition, a affirmé Marc Sacks, membre de l'American Bar Association (ABA), institution qui exécute le programme de formation du procès fictif des droits de l'Homme, en partenariat avec la Faculté de droit de Mohammedia.
La formation a été axée sur deux points essentiels ayant trait aux droits de l'Homme et à l'organisation des juridictions compétentes dans ce domaine au sein du continent africain, ainsi qu'à la question du sida en tant que problème majeur sur lequel bute le développement en Afrique, a ajouté ce consultant légal dans le cadre programme de développement judiciaire.
Outre les candidats marocains, la 15e édition du concours africain de "procès fictif" des droits de l'Homme sera marquée par la participation d'autres étudiants représentant 70 facultés de quelque 40 pays africains.
Un "procès fictif" est une simulation d'audience d'une cour durant laquelle les étudiants ont l'occasion d'acquérir et développer des techniques pratiques de plaidoirie en formulant des arguments concernant un ensemble de faits fictifs, à la fois sous forme de mémoires écrits et de plaidoiries verbales.
L'ABA, qui constitue la voix indépendante et non gouvernementale de la profession juridique aux Etats-Unis, œuvre notamment à promouvoir l'administration de la justice et les programmes assistant les avocats et les juges dans leurs missions, assure la formation juridique continue et tente d'accroître la conscience publique à travers le monde quant à l'importance de l'Etat de droit.
