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Par quelque côté qu'on l'aborde, Tanger est aujourd'hui une cité mirage. Ce qui s'y passe, happe forcément le regard et ne laisse aucunement indifférent. On n'a pas besoin de données ou de chiffres pour convaincre ou non d'un changement qui a valeur de métamorphose, alors que se multiplient sous nos yeux les chantiers à dimension diversifiée, alors que sont prises également des initiatives porteuses et s'affirme inexorablement l'identité de la ville dont la vocation régionale et internationale n'est plus à démontrer.
L'impulsion Royale à la ville du Détroit, depuis maintenant sept ans, n'a de cesse de transformer la configuration et le visage de Tanger qui, autrefois recluse dans l'aphonie, bénéficie des plus significatifs investissements et affiche sa renaissance. Le développement de Tanger n'est pas un mythe. Il procède d'une vision globale qui conjugue l'urgence d'un enracinement dans la modernité et la volonté de renforcer une vocation de « free zone ».
L'Etat joue le rôle du pourvoyeur institutionnel, il met en œuvre l'ambitieux programme « Emergence » qui, au-delà des simples ciblages sectoriels, incarne à présent l'ossature d'un réel take-off des provinces du Nord. Les secteurs public et privé ne sont pas en reste pour mettre la main à l'édifice, et la CDG qui est l'un des tout premiers « bras armés » de la stratégie de développement de l'Etat, promeut désormais la fameuse MedZ (Med Zone) qui est à la région ce qu'une veine jugulaire est à un corps.
Parler d'une nouvelle dynamique, c'est sacrifier à un euphémisme simpliste. La relance de Tanger , et ce n'est pas le moindre trait, s'articule sur une cohérence infrastructurelle, économique, humaine et culturelle. C'est dans la même vision qu'elle se porte candidate pour accueillir l'Exposition universelle de 2012 et qu'elle se lance dans un vaste programme de modernisation.
Zone franche, offshoring, Tanger Med, peu importent les aphorismes qui ne peuvent, au demeurant, résumer le vaste chantier multiforme qui émerge où la ville décline d'énormes potentialités à tous égards et s'apprête à concrétiser son enracinement dans l'économie mondiale, comme le furent à quelques différences notables Barcelone en son temps, aujourd'hui certaines villes en Chine ou Dubaï…
Le développement se traduit dans les faits, parce qu'il allie une bonne gouvernance, une audacieuse et pertinente mise en œuvre d'investissements et des projets idoines. Sans doute, n'est-il pas exagéré d'affirmer à l'aune de cette renaissance que Tanger est à présent le phare scintillant du Maroc nouveau, la plate-forme accueillante des vocations.
L'impulsion Royale à la ville du Détroit, depuis maintenant sept ans, n'a de cesse de transformer la configuration et le visage de Tanger qui, autrefois recluse dans l'aphonie, bénéficie des plus significatifs investissements et affiche sa renaissance. Le développement de Tanger n'est pas un mythe. Il procède d'une vision globale qui conjugue l'urgence d'un enracinement dans la modernité et la volonté de renforcer une vocation de « free zone ».
L'Etat joue le rôle du pourvoyeur institutionnel, il met en œuvre l'ambitieux programme « Emergence » qui, au-delà des simples ciblages sectoriels, incarne à présent l'ossature d'un réel take-off des provinces du Nord. Les secteurs public et privé ne sont pas en reste pour mettre la main à l'édifice, et la CDG qui est l'un des tout premiers « bras armés » de la stratégie de développement de l'Etat, promeut désormais la fameuse MedZ (Med Zone) qui est à la région ce qu'une veine jugulaire est à un corps.
Parler d'une nouvelle dynamique, c'est sacrifier à un euphémisme simpliste. La relance de Tanger , et ce n'est pas le moindre trait, s'articule sur une cohérence infrastructurelle, économique, humaine et culturelle. C'est dans la même vision qu'elle se porte candidate pour accueillir l'Exposition universelle de 2012 et qu'elle se lance dans un vaste programme de modernisation.
Zone franche, offshoring, Tanger Med, peu importent les aphorismes qui ne peuvent, au demeurant, résumer le vaste chantier multiforme qui émerge où la ville décline d'énormes potentialités à tous égards et s'apprête à concrétiser son enracinement dans l'économie mondiale, comme le furent à quelques différences notables Barcelone en son temps, aujourd'hui certaines villes en Chine ou Dubaï…
Le développement se traduit dans les faits, parce qu'il allie une bonne gouvernance, une audacieuse et pertinente mise en œuvre d'investissements et des projets idoines. Sans doute, n'est-il pas exagéré d'affirmer à l'aune de cette renaissance que Tanger est à présent le phare scintillant du Maroc nouveau, la plate-forme accueillante des vocations.
