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Le guitariste portugais Pedro Jóia, et le luthiste marocain Youssef Madani joindront leurs talents pour un concert à la Villa des arts de Rabat. Le spectacle organisé par la Fondation ONA et l'Ambassade du Portugal débutera à 20 heures à la Villa des arts, le 14 juillet.
Lors de cette soirée, les deux artistes feront fusionner les sons de leurs instruments à cordes. Le lauréat du Centre pédagogique régional de Rabat en section éducation musicale et le professeur de guitare classique du Conservatoire régional de Loures, comptent montrer que la musique est un art capable de briser toutes les frontières.
Rencontre : Débat sur le droit à l'eau à Casablanca
La Villa des arts de Casablanca accueillera l'écrivaine Houria Tazi Sadeq le mardi 10 juillet à 18h00. Les présents pourront débattre du contenu de son livre «Du droit de l'eau au droit à l'eau au Maroc et ailleurs», mais également faire connaissance avec Mme Tazi Sadeq. Dans cet ouvrage, l'auteur fait un plaidoyer pour le droit à l'eau saine.
Ce droit est à son sens un moyen primordial pour garantir une justice sociale. Elle y aborde la question de l'eau dans sa complexité et dans une approche globale qui ne fait pas uniquement cas du Maroc, mais également de plusieurs pays de part et d'autre de la planète. L'accès à l'eau saine n'est, en effet, toujours pas généralisé dans le monde…
Election : Les sept «nouvelles» Merveilles du monde
Après un vote sur Internet de plus de 70 millions de personnes, on désignera, samedi, les 7 (nouvelles) Merveilles du Monde élues par un public international. Parmi les 21 sites pré-selectionnés, les dix qui sont en liste pour l'élection sont l'Acropole d'Athènes, l'ancienne cité maya de Chichen-Itza au Mexique, Le Colisée de Rome, la Tour Eiffel à Paris, la Grande Muraille de Chine, les ruines incas du Machu Picchu au Pérou, la cité troglodyte de Petra en Jordanie, les statues de l'Ile de Pâques, les alignements de Stonehenge en Grande Bretagne, et le mausolée du Taj Mahal en Inde.
L'idée de cette « élection » internationale vient du cinéaste suisse Bernard Weber après la destruction en Afghanistan par les Talibans en 2001 des bouddhas géants de Bamiyan. C'est selon lui, un moyen original de rapprocher les peuples à travers la culture.
Cinéma : Les salles de cinéma de Dakar ferment leurs portes
Après la ville de Rabat, c'est Dakar, la capitale du Sénégal qui voit ses salles de cinéma fermer les unes après les autres. Cette crise est principalement due à la concurrence déloyale des DVD piratés, ainsi qu'au mauvais état des salles qui encouragent peu les spectateurs à y entrer.
Certaines salles ont pourtant trouvé un moyen de retarder leur fermeture. Elles diffusent, en direct, des matches de football. Cependant, cette solution n'est que provisoire et elle ne pourra pas empêcher la clôture définitive des salles de cinéma. Ce qui est le plus inquiétant, c'est de savoir qu'au début des années 80, le Sénégal comptait 78 cinémas, contre 18 à l'heure actuelle.
Lors de cette soirée, les deux artistes feront fusionner les sons de leurs instruments à cordes. Le lauréat du Centre pédagogique régional de Rabat en section éducation musicale et le professeur de guitare classique du Conservatoire régional de Loures, comptent montrer que la musique est un art capable de briser toutes les frontières.
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La Villa des arts de Casablanca accueillera l'écrivaine Houria Tazi Sadeq le mardi 10 juillet à 18h00. Les présents pourront débattre du contenu de son livre «Du droit de l'eau au droit à l'eau au Maroc et ailleurs», mais également faire connaissance avec Mme Tazi Sadeq. Dans cet ouvrage, l'auteur fait un plaidoyer pour le droit à l'eau saine.
Ce droit est à son sens un moyen primordial pour garantir une justice sociale. Elle y aborde la question de l'eau dans sa complexité et dans une approche globale qui ne fait pas uniquement cas du Maroc, mais également de plusieurs pays de part et d'autre de la planète. L'accès à l'eau saine n'est, en effet, toujours pas généralisé dans le monde…
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L'idée de cette « élection » internationale vient du cinéaste suisse Bernard Weber après la destruction en Afghanistan par les Talibans en 2001 des bouddhas géants de Bamiyan. C'est selon lui, un moyen original de rapprocher les peuples à travers la culture.
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Certaines salles ont pourtant trouvé un moyen de retarder leur fermeture. Elles diffusent, en direct, des matches de football. Cependant, cette solution n'est que provisoire et elle ne pourra pas empêcher la clôture définitive des salles de cinéma. Ce qui est le plus inquiétant, c'est de savoir qu'au début des années 80, le Sénégal comptait 78 cinémas, contre 18 à l'heure actuelle.
