Aux dernières nouvelles, on avance que la majorité, à peu de temps avant le vote en commission, tente l'apaisement. L'USFP, qui s'est installé en farouche défenseur de la mouture initiale, tend la main.
L'ouverture de la Une de son quotidien arabophone du lundi en donne le ton.
Laissé en cavalier seul par les autres formations composant la majorité gouvernementale, le Parti de la Rose a tenté d'enlever des épines qui risquent de toucher à son image de marque.
Du tout normal d'autant plus que la lutte anti-projet a pris des dimensions telles que les opposants, la gauche non gouvernementale en tête, l'ont jugé non démocratique.
Le risque a été donc si grand que les amis de Mohamed El Yazghi se devaient bien de se dédouaner.
En revanche, il semble que les autres composantes de la majorité, qui lançaient des signaux divergents avec cette posture d'un pied dedans, un pied dehors, ne veulent pas trop s'en mêler. L'objectif étant, visiblement, de ne pas «se mouiller». A ce niveau, les calculs sont des plus corsés et l'équatoion inextricable. L'issue proposée paraît, elle, aller en direction de «couper la poire en deux» (lire l'article de Mustafa Bentak).
Une approche qui n'est pas du goût de tout le monde. Quant au front du rejet, il reste sur ses gardes en attendant d'y voir plus clair. Avec la menace qu'il se propose de pousser plus loin la pression, notamment en brandissant l'éventuel recours à la lecture constitutionnelle.
Dans la foulée, tout en ayant la tête dans le guidon, les partis politiques marocains ont d'autres chats à fouetter.
Le cas, notamment, de la nécessité de se conformer, via des congrès extraordinaires, aux clauses de la nouvelle loi sur les partis.
Le train a été lancé et les wagons partisans suivent la cadence.
Les chefs de files, eux, tracent leur feuille de route.
La guerre des positionnements bat son plein et chacun se voit déjà en donneur du «La».
La dernière décision du parti de la Balance de reporter son congrès entre dans ce droit-fil. C'était dans l'air, estiment les observateurs.
Voilà que la rumeur se confirme. Les bruits de couloirs, faisant état d'affrontements dans les rangs du parti de l'Istiqlal (lire l'article de Karim Douichi), ont été étouffés. Abbas El Fassi a tranché. Résultat des courses ? Un double report en un, celui des divergences et celui du congrès.
L'ouverture de la Une de son quotidien arabophone du lundi en donne le ton.
Laissé en cavalier seul par les autres formations composant la majorité gouvernementale, le Parti de la Rose a tenté d'enlever des épines qui risquent de toucher à son image de marque.
Du tout normal d'autant plus que la lutte anti-projet a pris des dimensions telles que les opposants, la gauche non gouvernementale en tête, l'ont jugé non démocratique.
Le risque a été donc si grand que les amis de Mohamed El Yazghi se devaient bien de se dédouaner.
En revanche, il semble que les autres composantes de la majorité, qui lançaient des signaux divergents avec cette posture d'un pied dedans, un pied dehors, ne veulent pas trop s'en mêler. L'objectif étant, visiblement, de ne pas «se mouiller». A ce niveau, les calculs sont des plus corsés et l'équatoion inextricable. L'issue proposée paraît, elle, aller en direction de «couper la poire en deux» (lire l'article de Mustafa Bentak).
Une approche qui n'est pas du goût de tout le monde. Quant au front du rejet, il reste sur ses gardes en attendant d'y voir plus clair. Avec la menace qu'il se propose de pousser plus loin la pression, notamment en brandissant l'éventuel recours à la lecture constitutionnelle.
Dans la foulée, tout en ayant la tête dans le guidon, les partis politiques marocains ont d'autres chats à fouetter.
Le cas, notamment, de la nécessité de se conformer, via des congrès extraordinaires, aux clauses de la nouvelle loi sur les partis.
Le train a été lancé et les wagons partisans suivent la cadence.
Les chefs de files, eux, tracent leur feuille de route.
La guerre des positionnements bat son plein et chacun se voit déjà en donneur du «La».
La dernière décision du parti de la Balance de reporter son congrès entre dans ce droit-fil. C'était dans l'air, estiment les observateurs.
Voilà que la rumeur se confirme. Les bruits de couloirs, faisant état d'affrontements dans les rangs du parti de l'Istiqlal (lire l'article de Karim Douichi), ont été étouffés. Abbas El Fassi a tranché. Résultat des courses ? Un double report en un, celui des divergences et celui du congrès.
