L'Institut national de la recherche agronomique (INRA) fait de plus en plus appel à la coopération aussi bien nationale qu'internationale pour mener ses travaux de recherche. En effet, l'Institut a conclu, au cours de l'année dernière, pas moins de 50 conventions portant sur 35 millions de DH répartis sur la durée d'exécution des différents projets en question, soit une évolution en nombre d'environ 20 % par rapport à 2004, 35 % et 60 % respectivement en comparaison avec les années 2003 et 2002.
En ce qui concerne la coopération bilatérale, elle a enregistré des « développements significatifs », selon le rapport annuel de l'INRA, relatif à l'année 2005.
Ainsi, le département de l'Agriculture des Etats-Unis finance un projet de recherche-développement sur les plantes aromatiques et médicinales (PAM). Le projet en question a pour objectifs la conservation, la gestion et l'utilisation durable des PAM au Maroc ainsi que le développement de leur culture, notamment dans les zones céréalières, menacées par l'entrée en vigueur des accords de libre-échange entre le Maroc et les Etats-Unis.
L'INRA est également lié par des relations de partenariat avec l'Argentine, étant donné que la recherche agronomique est l'une des composantes essentielles de l'accord conclu entre les deux pays, le Brésil, avec lequel des contacts ont été noués, notamment dans le domaine de l'agriculture de conservation et aussi avec le Pérou et le Chili…
Au niveau du continent européen, la France fait figure du partenaire de premier plan de l'INRA, essentiellement à travers les projets PRAD (Programme de coopération entre la France et le Maroc dans le domaine de la recherche agronomique pour le développement), qui sont au nombre de onze, dont quatre nouveaux projets.
Ces derniers portent sur l'analyse de la structure génétique des populations de la tavelure du pommier, la transformation et la valorisation des dattes de faible valeur marchande, l'analyse de la diversité génétique du germoplasme de mandariniers et la physiologie et la biochimie des fruits en post récolte et développement de nouvelles approches industrielles pour une meilleure conservation de ces produits.
L'Espagne, via l'Andalousie, fait également partie des pays qui sont concernés par le partenariat avec l'INRA, avec deux projets qui sont en cours d'exécution. Il s'agit de la caractérisation des principales variétés et porte-greffes d'amandiers et évaluation de leur niveau d'adaptation aux conditions édapho-climatiques de culture, et de la caractérisation et amélioration des systèmes de production caprins et leur environnement.
Pour la coopération avec l'Allemagne, elle s'est concrétisée par un projet portant sur le renforcement du laboratoire d'agronomie du CRRA (Centre régional de la recherche agronomique) de Rabat.
En ce qui concerne les pays d'Asie, l'Agence japonaise de coopération internationale (JICA) a mis à la disposition de l'INRA deux experts volontaires seniors : un spécialiste de la gestion des parcours qui est installé au CRRA de Tanger pour une période de deux ans et un phytopathologiste travaillant au Domaine expérimental d'El Menzeh.
De même, l'INRA et CLIMA (Australie) ont signé un accord pour relancer leur collaboration scientifique et l'échange de matériel végétal et germoplasme.
Au niveau du continent africain, il s'agit notamment du Sénégal. Ainsi, dans le cadre de l'expérimentation des céréales dans ce pays, l'INRA a fait don à l'ISRA de semences de certaines de ses créations variétales de blé tendre.
Sur le plan national, l'INRA a développé des partenariats avec les institutions universitaires, par des conventions cadres signées avec les universités Ibn Tofaïl à Kénitra, Cadi Ayyad à Marrakech et la faculté des sciences de l'Université Mohammed V Agdal à Rabat. De même, il collabore avec des organismes de développement.
Ainsi, dans le cadre du Programme fédérateur de recherche-développement (PROFERD), financé par la Direction de l'enseignement de la recherche et du développement (DERD), cinq projets de recherche dont trois nouveaux sont mis en œuvre. L'INRA collabore également avec la Direction de la production végétale (DPV) et avec les Directions provinciales de l'agriculture (DPA).
L'Institut fait également appel au partenariat avec le secteur privé et avec les organismes à caractère non agricole.
En ce qui concerne la coopération bilatérale, elle a enregistré des « développements significatifs », selon le rapport annuel de l'INRA, relatif à l'année 2005.
Ainsi, le département de l'Agriculture des Etats-Unis finance un projet de recherche-développement sur les plantes aromatiques et médicinales (PAM). Le projet en question a pour objectifs la conservation, la gestion et l'utilisation durable des PAM au Maroc ainsi que le développement de leur culture, notamment dans les zones céréalières, menacées par l'entrée en vigueur des accords de libre-échange entre le Maroc et les Etats-Unis.
L'INRA est également lié par des relations de partenariat avec l'Argentine, étant donné que la recherche agronomique est l'une des composantes essentielles de l'accord conclu entre les deux pays, le Brésil, avec lequel des contacts ont été noués, notamment dans le domaine de l'agriculture de conservation et aussi avec le Pérou et le Chili…
Au niveau du continent européen, la France fait figure du partenaire de premier plan de l'INRA, essentiellement à travers les projets PRAD (Programme de coopération entre la France et le Maroc dans le domaine de la recherche agronomique pour le développement), qui sont au nombre de onze, dont quatre nouveaux projets.
Ces derniers portent sur l'analyse de la structure génétique des populations de la tavelure du pommier, la transformation et la valorisation des dattes de faible valeur marchande, l'analyse de la diversité génétique du germoplasme de mandariniers et la physiologie et la biochimie des fruits en post récolte et développement de nouvelles approches industrielles pour une meilleure conservation de ces produits.
L'Espagne, via l'Andalousie, fait également partie des pays qui sont concernés par le partenariat avec l'INRA, avec deux projets qui sont en cours d'exécution. Il s'agit de la caractérisation des principales variétés et porte-greffes d'amandiers et évaluation de leur niveau d'adaptation aux conditions édapho-climatiques de culture, et de la caractérisation et amélioration des systèmes de production caprins et leur environnement.
Pour la coopération avec l'Allemagne, elle s'est concrétisée par un projet portant sur le renforcement du laboratoire d'agronomie du CRRA (Centre régional de la recherche agronomique) de Rabat.
En ce qui concerne les pays d'Asie, l'Agence japonaise de coopération internationale (JICA) a mis à la disposition de l'INRA deux experts volontaires seniors : un spécialiste de la gestion des parcours qui est installé au CRRA de Tanger pour une période de deux ans et un phytopathologiste travaillant au Domaine expérimental d'El Menzeh.
De même, l'INRA et CLIMA (Australie) ont signé un accord pour relancer leur collaboration scientifique et l'échange de matériel végétal et germoplasme.
Au niveau du continent africain, il s'agit notamment du Sénégal. Ainsi, dans le cadre de l'expérimentation des céréales dans ce pays, l'INRA a fait don à l'ISRA de semences de certaines de ses créations variétales de blé tendre.
Sur le plan national, l'INRA a développé des partenariats avec les institutions universitaires, par des conventions cadres signées avec les universités Ibn Tofaïl à Kénitra, Cadi Ayyad à Marrakech et la faculté des sciences de l'Université Mohammed V Agdal à Rabat. De même, il collabore avec des organismes de développement.
Ainsi, dans le cadre du Programme fédérateur de recherche-développement (PROFERD), financé par la Direction de l'enseignement de la recherche et du développement (DERD), cinq projets de recherche dont trois nouveaux sont mis en œuvre. L'INRA collabore également avec la Direction de la production végétale (DPV) et avec les Directions provinciales de l'agriculture (DPA).
L'Institut fait également appel au partenariat avec le secteur privé et avec les organismes à caractère non agricole.
