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Au terme de l'exercice 2005, les indicateurs du Groupe Banques Populaires (GPB) confirment sa place au sein du secteur financier national.
Ce positionnement, fruit d'une longue histoire marquée par une stratégie volontariste, confirme également l'engagement réel du groupe dans le développement économique.
Avec plus de 2 millions de clients, un client bancaire sur deux est client du GPB. Là aussi, le Groupe occupe la place de leader tant pour les crédits immobiliers que pour les crédits à la consommation avec respectivement 34 % et 35 % de parts de marché des banques commerciales.
Côté MRE, le Groupe garde évidemment sa position de leader avec plus de 630.000 clients qui lui font confiance et une part de marché de près de 60%.Au profit des PME-PMI, le groupe consolide sa position de banquier de référence de l'entreprise en les finançant à hauteur de 60 %. Pour Nourredine Omary, P.-D.G. du Groupe, les banques se doivent d'être une force de proposition pour mieux consolider le tissu industriel.
En effet, les institutions financières se doivent de donner l'impulsion nécessaire pour que les chantiers, toutes activités confondues, soient bien menés.
Aussi, à travers sa Fondation Banque Populaire pour la création d'entreprise et son réseau régional, le Groupe maintient un appui effectif à la création d'entreprise et au développement de la culture entrepreunariale au Maroc.
Dans les activités de marché, le groupe occupe une place de leader avec 43 % en parts de marché. Cette activité est dominée par le financement du Trésor avec un encours de 39 milliards de DH en 2005. Quant aux comptes consolidés du Groupe, l'on retient des performances d'un leader bien engagé. En effet, avec une progression de 32 % ou 405 millions de DH, le résultat net a atteint 1,69 milliard de DH. Ce résultat, le plus important du secteur, découle du meilleur produit net bancaire de la place (soit 5,77 MDH à fin décembre 2005) et d'une parfaite maîtrise des charges, couplée d'une amélioration continue de la productivité, avec un coefficient d'exploitation de 45,6 %.
12,1 milliards de DH de fonds propres (une progression de 16,1 %) assurent encore une fois le leadership du Groupe dans le secteur financier national. Au profit du développement humain, le Groupe demeure la seule institution financière impliquée dans le micro-crédit avec un cumul de crédits distribués de plus de 2 milliards de DH, un encours de 300 millions de DH et un réseau de 90 branches.
Pour ce qui concerne le Crédit Populaire du Maroc (CPM), l'on note une nette progression des activités et des résultats. Aussi, les comptes sociaux du CPM affichent une très bonne tenue de l'ensemble des indicateurs du Groupe avec un résultat net dépassant 1,5 milliard de DH et une croissance soutenue des activités et du réseau. Ces réalisations confirment de nouveau la première place que le CPM occupe au sein du secteur bancaire et son rôle majeur dans l'économie nationale.
La Banque centrale Populaire a, quant à elle, enregistré un bilan qui s'est situé à 68.360 millions de DH en 2005 contre 63.715 millions de DH en 2004. Soit un accroissement de 7,3 % ou 4.645 millions de DH. Sur le marché des capitaux, son intervention s'est consolidée à fin 2005 par un niveau des emplois de 45,5 milliards de DH, permettant le maintien de son rang premier avec une part de 43 %.
L'on retient que pour l'an 2005, la BCP, seule banque marocaine soumise au rating officiel (Standard and Poor's), a vu sa notation s'améliorer de BB à BB+.
Cette notation se fonde sur le rôle central que joue le Groupe Banques Populaires dans l'économie marocaine, en tant que leader de son secteur, avec un profil financier très fort, une forte liquidité et une capitalisation élevée lui permettant de renforcer ses fondamentaux.
Des résultats très probants et des perspectives qui poussent à l'optimisme. Des objectifs à la dimension du Groupe.
En effet, le Groupe compte, pour la période 2006-2008 et même au-delà, améliorer ses performances et ce, par l'optimisation de la productivité, des résultats commerciaux et financiers et du couple risque-rentabilité.
Il tient également à s'impliquer davantage en faveur de l'économie sociale tout en développant les sources de croissance externe à travers les Fonds d'investissement et les prises de participation.
Enfin, la bonne santé financière de l'institution a permis la distribution d'un dividende de 40 DH par action contre 28 en 2004, soit une progression de 43 % et un montant de 236 millions de DH.
Ce positionnement, fruit d'une longue histoire marquée par une stratégie volontariste, confirme également l'engagement réel du groupe dans le développement économique.
Avec plus de 2 millions de clients, un client bancaire sur deux est client du GPB. Là aussi, le Groupe occupe la place de leader tant pour les crédits immobiliers que pour les crédits à la consommation avec respectivement 34 % et 35 % de parts de marché des banques commerciales.
Côté MRE, le Groupe garde évidemment sa position de leader avec plus de 630.000 clients qui lui font confiance et une part de marché de près de 60%.Au profit des PME-PMI, le groupe consolide sa position de banquier de référence de l'entreprise en les finançant à hauteur de 60 %. Pour Nourredine Omary, P.-D.G. du Groupe, les banques se doivent d'être une force de proposition pour mieux consolider le tissu industriel.
En effet, les institutions financières se doivent de donner l'impulsion nécessaire pour que les chantiers, toutes activités confondues, soient bien menés.
Aussi, à travers sa Fondation Banque Populaire pour la création d'entreprise et son réseau régional, le Groupe maintient un appui effectif à la création d'entreprise et au développement de la culture entrepreunariale au Maroc.
Dans les activités de marché, le groupe occupe une place de leader avec 43 % en parts de marché. Cette activité est dominée par le financement du Trésor avec un encours de 39 milliards de DH en 2005. Quant aux comptes consolidés du Groupe, l'on retient des performances d'un leader bien engagé. En effet, avec une progression de 32 % ou 405 millions de DH, le résultat net a atteint 1,69 milliard de DH. Ce résultat, le plus important du secteur, découle du meilleur produit net bancaire de la place (soit 5,77 MDH à fin décembre 2005) et d'une parfaite maîtrise des charges, couplée d'une amélioration continue de la productivité, avec un coefficient d'exploitation de 45,6 %.
12,1 milliards de DH de fonds propres (une progression de 16,1 %) assurent encore une fois le leadership du Groupe dans le secteur financier national. Au profit du développement humain, le Groupe demeure la seule institution financière impliquée dans le micro-crédit avec un cumul de crédits distribués de plus de 2 milliards de DH, un encours de 300 millions de DH et un réseau de 90 branches.
Pour ce qui concerne le Crédit Populaire du Maroc (CPM), l'on note une nette progression des activités et des résultats. Aussi, les comptes sociaux du CPM affichent une très bonne tenue de l'ensemble des indicateurs du Groupe avec un résultat net dépassant 1,5 milliard de DH et une croissance soutenue des activités et du réseau. Ces réalisations confirment de nouveau la première place que le CPM occupe au sein du secteur bancaire et son rôle majeur dans l'économie nationale.
La Banque centrale Populaire a, quant à elle, enregistré un bilan qui s'est situé à 68.360 millions de DH en 2005 contre 63.715 millions de DH en 2004. Soit un accroissement de 7,3 % ou 4.645 millions de DH. Sur le marché des capitaux, son intervention s'est consolidée à fin 2005 par un niveau des emplois de 45,5 milliards de DH, permettant le maintien de son rang premier avec une part de 43 %.
L'on retient que pour l'an 2005, la BCP, seule banque marocaine soumise au rating officiel (Standard and Poor's), a vu sa notation s'améliorer de BB à BB+.
Cette notation se fonde sur le rôle central que joue le Groupe Banques Populaires dans l'économie marocaine, en tant que leader de son secteur, avec un profil financier très fort, une forte liquidité et une capitalisation élevée lui permettant de renforcer ses fondamentaux.
Des résultats très probants et des perspectives qui poussent à l'optimisme. Des objectifs à la dimension du Groupe.
En effet, le Groupe compte, pour la période 2006-2008 et même au-delà, améliorer ses performances et ce, par l'optimisation de la productivité, des résultats commerciaux et financiers et du couple risque-rentabilité.
Il tient également à s'impliquer davantage en faveur de l'économie sociale tout en développant les sources de croissance externe à travers les Fonds d'investissement et les prises de participation.
Enfin, la bonne santé financière de l'institution a permis la distribution d'un dividende de 40 DH par action contre 28 en 2004, soit une progression de 43 % et un montant de 236 millions de DH.
