L'image des membres des Forces Armées Royales (FAR) défilant le 14 juillet 1999 sur l'avenue des Champs Elysées à Paris, avec en tête du bataillon, une femme (le médecin capitaine, Leïla Sfendla) a, forcément, marqué les esprits et donné la preuve que l'armée marocaine a opéré sa mue et peut désormais se conjuguer au féminin.
C'est en 1963 que la gente féminine fit son entrée à l'armée qui faisait partie de ces professions exclusivement masculines. Les femmes étaient, en effet désormais, présentes au sein de cette institution en tant que médecins, infirmières, assistantes sociales, techniciennes de l'Armée de l'Air, des transmissions ou membre du personnel administratif.
La nomination, le 6 mars 1982, par feu S.M. Hassan II de S.A.R. la Princesse Lalla Meryem, Présidente des services et œuvres sociales des Forces Armées Royales allait conférer une nouvelle dimension à la présence de la femme au sein des FAR où elle occupe aujourd'hui des grades supérieurs.
L'image qu'on donnait habituellement au militaire, celle d'un guerrier avec l'arme à la main a cédé la place à celle d'hommes et de femmes au service de leur nation, pas uniquement par le port d'armes, mais également par le biais de plusieurs tâches qui peuvent être assurées aussi bien par des hommes que par des femmes, car la maîtrise des technologies s'est imposée comme un besoin essentiel au sein de l'armée, autant que la force physique, chose qui a ouvert de nouvelles perspectives de carrière pour la femme.
En fait, la présence renforcée de la femme au sein de l'armée marocaine, qui fête cette année son cinquantenaire, est le fruit d'actions suivies et régulières d'une Monarchie moderniste pour qui la condition féminine est au centre des préoccupations, mais également le produit d'une prise en compte adaptée à l'évolution de la société et d'une reconnaissance publique du rôle de la femme.
Cette dernière a pu ainsi investir des domaines professionnels exclusivement masculins et s'est imposée et a apporté une grande valeur ajoutée au sein des Forces Armées Royales. Sa participation active à des opérations extérieures, notamment humanitaires, dans un cadre multinational ne cesse de prendre de l'ampleur.
La femme marocaine, devenue partie intégrante de l'armée continue à assumer parallèlement son rôle d'épouse et de mère de famille.
La présence de la femme au sein de l'armée est somme toute logique, car elle a de tout temps, été aux côtés de l'homme dans le combat qu'il a mené à travers l'Histoire du Maroc, mais également parce qu'elle a pu prouver que sa participation aux conflits armés et à la défense des valeurs sacrées du Royaume peut revêtir différents aspects, et pas seulement celui de porter l'arme.
L'apport de la femme à l'armée est désormais incontestable surtout dans les services spécialisés où la présence féminine est importante tels : les service de santé ou social où elle occupe les plus hauts rangs. La mutation opérée par les FAR, qui s'ouvrent de plus en plus sur l'extérieur et offrent de plus en plus de perspectives aux femmes désireuses de se frayer un chemin dans un monde majoritairement masculin, offre à la femme l'opportunité de s'imposer et d'apporter une présence de qualité dans les différents services de l'armée.
C'est en 1963 que la gente féminine fit son entrée à l'armée qui faisait partie de ces professions exclusivement masculines. Les femmes étaient, en effet désormais, présentes au sein de cette institution en tant que médecins, infirmières, assistantes sociales, techniciennes de l'Armée de l'Air, des transmissions ou membre du personnel administratif.
La nomination, le 6 mars 1982, par feu S.M. Hassan II de S.A.R. la Princesse Lalla Meryem, Présidente des services et œuvres sociales des Forces Armées Royales allait conférer une nouvelle dimension à la présence de la femme au sein des FAR où elle occupe aujourd'hui des grades supérieurs.
L'image qu'on donnait habituellement au militaire, celle d'un guerrier avec l'arme à la main a cédé la place à celle d'hommes et de femmes au service de leur nation, pas uniquement par le port d'armes, mais également par le biais de plusieurs tâches qui peuvent être assurées aussi bien par des hommes que par des femmes, car la maîtrise des technologies s'est imposée comme un besoin essentiel au sein de l'armée, autant que la force physique, chose qui a ouvert de nouvelles perspectives de carrière pour la femme.
En fait, la présence renforcée de la femme au sein de l'armée marocaine, qui fête cette année son cinquantenaire, est le fruit d'actions suivies et régulières d'une Monarchie moderniste pour qui la condition féminine est au centre des préoccupations, mais également le produit d'une prise en compte adaptée à l'évolution de la société et d'une reconnaissance publique du rôle de la femme.
Cette dernière a pu ainsi investir des domaines professionnels exclusivement masculins et s'est imposée et a apporté une grande valeur ajoutée au sein des Forces Armées Royales. Sa participation active à des opérations extérieures, notamment humanitaires, dans un cadre multinational ne cesse de prendre de l'ampleur.
La femme marocaine, devenue partie intégrante de l'armée continue à assumer parallèlement son rôle d'épouse et de mère de famille.
La présence de la femme au sein de l'armée est somme toute logique, car elle a de tout temps, été aux côtés de l'homme dans le combat qu'il a mené à travers l'Histoire du Maroc, mais également parce qu'elle a pu prouver que sa participation aux conflits armés et à la défense des valeurs sacrées du Royaume peut revêtir différents aspects, et pas seulement celui de porter l'arme.
L'apport de la femme à l'armée est désormais incontestable surtout dans les services spécialisés où la présence féminine est importante tels : les service de santé ou social où elle occupe les plus hauts rangs. La mutation opérée par les FAR, qui s'ouvrent de plus en plus sur l'extérieur et offrent de plus en plus de perspectives aux femmes désireuses de se frayer un chemin dans un monde majoritairement masculin, offre à la femme l'opportunité de s'imposer et d'apporter une présence de qualité dans les différents services de l'armée.
