Connexion
L'Université Sidi Mohammed Ben Abdellah de Fès a mis en place, pour la nouvelle rentrée, une Ecole nationale des sciences appliquées (ENSAF). La création de l'ENSAF s'inscrit dans le cadre de la diversification des formations dispensées et de la dynamisation de l'environnement socio-économique et industriel de la région.
Sa vocation, selon Ouazzani Chahdi, président de l'université, est de former des ingénieurs d'Etat hautement qualifiés, dans les spécialités les plus ouvertes, à même de subvenir à la carence en personnel d'encadrement dans des domaines où le besoin est grandissant.
Les spécialités, pour couvrir les besoins ressentis, sont le génie industriel, le génie informatique ainsi que le génie télécommunications et réseaux. La mise en place de cette école supérieure à Fès vient renforcer les offres de formation et apporter un complément aux filières technologiques, en particulier celles de techniciens supérieurs, assurées par l'Ecole supérieure de technologie.
Elle contribuera au redressement et à la relance de l'économie locale et régionale ainsi qu'à l'émergence d'une véritable plate-forme technologique au service de l'entreprise et de son développement. C'est ainsi que l'université aspire à répondre aux multiples demandes exprimées notamment dans le cadre du projet de mise en place de la technopole de la ville de Fès, du Plan régional de développement industriel (PDRI), de l'Initiative nationale 10.000 ingénieurs et le Programme national "offshoring".
Sa vocation, selon Ouazzani Chahdi, président de l'université, est de former des ingénieurs d'Etat hautement qualifiés, dans les spécialités les plus ouvertes, à même de subvenir à la carence en personnel d'encadrement dans des domaines où le besoin est grandissant.
Les spécialités, pour couvrir les besoins ressentis, sont le génie industriel, le génie informatique ainsi que le génie télécommunications et réseaux. La mise en place de cette école supérieure à Fès vient renforcer les offres de formation et apporter un complément aux filières technologiques, en particulier celles de techniciens supérieurs, assurées par l'Ecole supérieure de technologie.
Elle contribuera au redressement et à la relance de l'économie locale et régionale ainsi qu'à l'émergence d'une véritable plate-forme technologique au service de l'entreprise et de son développement. C'est ainsi que l'université aspire à répondre aux multiples demandes exprimées notamment dans le cadre du projet de mise en place de la technopole de la ville de Fès, du Plan régional de développement industriel (PDRI), de l'Initiative nationale 10.000 ingénieurs et le Programme national "offshoring".
