Du 21 juin au 1er juillet, le public cinéphile Rbati sera bien servi. Une programmation des plus riches de films marocains et internationaux est prévue pour la 13e édition du Festival international du cinéma d'auteur. Les organisateurs veulent faire de cette manifestation une rencontre internationale et un espace ouvert pour le dialogue et l'échange, lui-même porteur de grandes valeurs culturelles et identitaires.
Pour décrocher le Prix Hassan II, une vingtaine de pays seront en lice pour la compétition officielle, dont le président du jury est le réalisateur M'jid Rchich. Le Maroc participera avec deux films réalisés respectivement par Farida Bourkia et Omar Chraïbi. Des hommages sont prévus pour la circonstance : le premier pour le célèbre acteur égyptien, Adil Imame, un autre pour le talentueux Ahmed Bouânani, en plus de deux consécrations pour les réalisateurs Nuri Bilge Celan (Turquie) et Philippe Fauc (France).
Les organisateurs aspirent, également mettre l'accent sur le cinéma maghrébin, en présentant un panorama de nouvelles projections venues d'Algérie, de Tunisie et du Maroc, avec une fenêtre sur le cinéma mondial, en projetant certains films internationaux que le public marocain n'a pas eu l'occasion de voir. Le choix de cette année s'est porté sur l'Iran, la Pologne, le Mexique, l'Albanie, l'Irak, la Chine, le Japon, la Roumanie et le Mali.
Le film documentaire n'échappe pas à cette session, puisqu'il y a toute une panoplie de projections. Un moyen de référence pour inculquer au citoyen les bases de la démocratie.
Cette diversité ne sera que bénéfique pour une ville qui se veut, dans le futur, une cité culturelle et touristique par excellence. «Rabat a donc besoin de plusieurs festivals pour pouvoir développer ce qui existe déjà», précise Hassan Amrani, wali de Rabat-Salé-Zemmour-Zaërs, lors de la conférence de presse à laquelle ont assisté : Omar Bahraoui, maire de Rabat, Abdelhak Mantrech, président du festival et Hamadi Guiroum, directeur du festival.
L'événement sera rehaussé par l'invitation des présidents et directeurs des festivals internationaux du monde arabe qui se réuniront le 24 juin à Rabat pour discuter et échanger leurs idées, chacun à travers sa propre expérience dans le secteur cinématographique.
Ce festival constitue, ainsi, une lueur de lumière pour tout ce qui se passe de désolant concernant le monde du cinéma au Maroc, se manifestant dans la fermeture progressive des salles obscures et la prolifération de la piraterie des films, ayant tué le grand écran à petit feu.
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Vu son écho positif, les organisateurs ont voulu lui donner plus d'importance en créant une compétition cinéphile pour le Prix Hassan II, tout en continuant à chercher sa vraie identité pour se donner plus de punch et de valeur.
Ils se sont fixés en fin de compte sur le thème de cinéma d'auteur, comme vision différente dans la créativité cinématographique.
Ce genre de cinéma constitue ainsi pour le festival un espace d'ouverture sur différentes expériences mondiales et représente un forum de rencontres de ces sensibilités et visions, dans le but de pouvoir dialoguer et ressortir avec des résultats fructueux.
Cet événement est aussi une aubaine pour que notre public puisse accumuler une culture cinéphile et être au courant de ce qui se passe ailleurs.
Pour décrocher le Prix Hassan II, une vingtaine de pays seront en lice pour la compétition officielle, dont le président du jury est le réalisateur M'jid Rchich. Le Maroc participera avec deux films réalisés respectivement par Farida Bourkia et Omar Chraïbi. Des hommages sont prévus pour la circonstance : le premier pour le célèbre acteur égyptien, Adil Imame, un autre pour le talentueux Ahmed Bouânani, en plus de deux consécrations pour les réalisateurs Nuri Bilge Celan (Turquie) et Philippe Fauc (France).
Les organisateurs aspirent, également mettre l'accent sur le cinéma maghrébin, en présentant un panorama de nouvelles projections venues d'Algérie, de Tunisie et du Maroc, avec une fenêtre sur le cinéma mondial, en projetant certains films internationaux que le public marocain n'a pas eu l'occasion de voir. Le choix de cette année s'est porté sur l'Iran, la Pologne, le Mexique, l'Albanie, l'Irak, la Chine, le Japon, la Roumanie et le Mali.
Le film documentaire n'échappe pas à cette session, puisqu'il y a toute une panoplie de projections. Un moyen de référence pour inculquer au citoyen les bases de la démocratie.
Cette diversité ne sera que bénéfique pour une ville qui se veut, dans le futur, une cité culturelle et touristique par excellence. «Rabat a donc besoin de plusieurs festivals pour pouvoir développer ce qui existe déjà», précise Hassan Amrani, wali de Rabat-Salé-Zemmour-Zaërs, lors de la conférence de presse à laquelle ont assisté : Omar Bahraoui, maire de Rabat, Abdelhak Mantrech, président du festival et Hamadi Guiroum, directeur du festival.
L'événement sera rehaussé par l'invitation des présidents et directeurs des festivals internationaux du monde arabe qui se réuniront le 24 juin à Rabat pour discuter et échanger leurs idées, chacun à travers sa propre expérience dans le secteur cinématographique.
Ce festival constitue, ainsi, une lueur de lumière pour tout ce qui se passe de désolant concernant le monde du cinéma au Maroc, se manifestant dans la fermeture progressive des salles obscures et la prolifération de la piraterie des films, ayant tué le grand écran à petit feu.
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Rendez-vous incontournable
Le cinéma a toujours fait partie des activités du Festival international de Rabat depuis sa création en 1995.Vu son écho positif, les organisateurs ont voulu lui donner plus d'importance en créant une compétition cinéphile pour le Prix Hassan II, tout en continuant à chercher sa vraie identité pour se donner plus de punch et de valeur.
Ils se sont fixés en fin de compte sur le thème de cinéma d'auteur, comme vision différente dans la créativité cinématographique.
Ce genre de cinéma constitue ainsi pour le festival un espace d'ouverture sur différentes expériences mondiales et représente un forum de rencontres de ces sensibilités et visions, dans le but de pouvoir dialoguer et ressortir avec des résultats fructueux.
Cet événement est aussi une aubaine pour que notre public puisse accumuler une culture cinéphile et être au courant de ce qui se passe ailleurs.
