Il a également présenté la Symphonie «Paris» en ré majeur (1778) de Mozart. Une soirée toute en musique et détente qui a permis aux artistes et aux différentes personnalités de lier connaissance. On se serait cru dans un salon mauresque en Espagne avec les hommes mis sur leur trente et un et les femmes en robes du soir. La plus belle tenue reste celle d'une Japonaise qui portait l'habit traditionnel et qui avait l'air magique.
Si magique qu'on s'attendait à ce qu'elle disparaisse comme dans un rêve. Mais plus magiques encore sont les lieux qui abritent ces festivités. Des lieux, à la hauteur de la ville qui les accueille, qui retrouve ses lettres de noblesse et sa splendeur d'antan.
Fès sera donc le théâtre de la spiritualité le temps d'un festival qui raconte l'histoire de la tolérance et de l'union des peuples à travers le chant, le dikr, les conférences sur les valeurs spirituelles et le pardon. Cette édition débute sous les meilleurs signes avec l'intervention de sommités internationales telles que Elizabeth Guigou et Francisco de Bourbon pour lancer la première conférence du «Forum de Fès» sous le thème «Valeurs spirituelles et économiques».
Une rencontre qui a eu lieu au Musée Batha, véritable bijou architectural. La journée s'est poursuivie ensuite par un concert de chants spirituels syriens avec Omar Sermini et Hassan Haffar.
Ce dernier est muezzin, conteur et poète et sa présence même à ce festival est un événement particulier et une grande marque d'estime. La soirée nous entraînera dans le monde du Flamenco avec Esperanza Fernandez, artiste de renommée internationale.
Accompagnée de son frère Paco, elle fera vibrer le cœur et le corps des amoureux de la musique. S'ensuivra ensuite une rencontre avec l'art parlé sous la forme d'une conversation musicale entre Keyvan Chemirani, Ali Reza Ghorbani, Sudha Ragunathan et Nahawa Doumbia. Iran, Inde et Mali réuniront leurs voix pour chanter la paix sous le ciel de «Bab Makina».
Un festival qui s'est également déroulé dans la ville pour le plus grand plaisir des Fassis, venus nombreux. Des fanfares, donc en provenance de la base aérienne de Salé pour donner le coup d'envoi des festivités, suivies de l'ensemble marocain des Mouachchahats de Salah Morsi. Un spectacle haut en couleur qui, en cette période de grande chaleur, était une bonne occasion pour les familles de sortir dans la rue.
Si magique qu'on s'attendait à ce qu'elle disparaisse comme dans un rêve. Mais plus magiques encore sont les lieux qui abritent ces festivités. Des lieux, à la hauteur de la ville qui les accueille, qui retrouve ses lettres de noblesse et sa splendeur d'antan.
Fès sera donc le théâtre de la spiritualité le temps d'un festival qui raconte l'histoire de la tolérance et de l'union des peuples à travers le chant, le dikr, les conférences sur les valeurs spirituelles et le pardon. Cette édition débute sous les meilleurs signes avec l'intervention de sommités internationales telles que Elizabeth Guigou et Francisco de Bourbon pour lancer la première conférence du «Forum de Fès» sous le thème «Valeurs spirituelles et économiques».
Une rencontre qui a eu lieu au Musée Batha, véritable bijou architectural. La journée s'est poursuivie ensuite par un concert de chants spirituels syriens avec Omar Sermini et Hassan Haffar.
Ce dernier est muezzin, conteur et poète et sa présence même à ce festival est un événement particulier et une grande marque d'estime. La soirée nous entraînera dans le monde du Flamenco avec Esperanza Fernandez, artiste de renommée internationale.
Accompagnée de son frère Paco, elle fera vibrer le cœur et le corps des amoureux de la musique. S'ensuivra ensuite une rencontre avec l'art parlé sous la forme d'une conversation musicale entre Keyvan Chemirani, Ali Reza Ghorbani, Sudha Ragunathan et Nahawa Doumbia. Iran, Inde et Mali réuniront leurs voix pour chanter la paix sous le ciel de «Bab Makina».
Un festival qui s'est également déroulé dans la ville pour le plus grand plaisir des Fassis, venus nombreux. Des fanfares, donc en provenance de la base aérienne de Salé pour donner le coup d'envoi des festivités, suivies de l'ensemble marocain des Mouachchahats de Salah Morsi. Un spectacle haut en couleur qui, en cette période de grande chaleur, était une bonne occasion pour les familles de sortir dans la rue.
