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Le football mohammedien traverse une étape cruciale de son histoire. Les deux représentants de la cite balnéaire, en l'occurrence le SCCM et l'USM, ont brillé cette saison par leur absence sur la scène nationale et n'ont remporté aucun titre depuis longtemps. Les résultats peu probants ne militent ni en faveur du Chabab, ni de l'USM qui continuent à végéter en bas du tableau préoccupant sérieusement leurs supporters.
La grande déception est incontestablement l'équipe du Chabab qui a perdu de son éclat et de sa crédibilité se faisant piétiner à domicile plusieurs fois. A ceci s'ajoute le désintéressement du public qui a pesé de tout son poids sur cette équipe fébrile même dans ses fondements.
Le comité du SCCM s'est retranché dans sa forteresse, multipliant les erreurs, aggravé par une mauvaise gestion, le désaccord de certains membres de comité qui avaient refusé de cautionner des décisions prises unilatéralement, les malentendus, l'absence de transparence dans certaines dépenses, les mauvais recrutements des entraîneurs et de certains joueurs qui se sont avérés négatifs et ont affecté les finances du club.
Les bonnes paroles et l'optimisme du début de saison se sont estompés pour laisser place à la réalité amère, celle d'une formation du SCCM au passé élogieux, aujourd'hui face au doute. L'équipe, victime de certains de ses dirigeants, a été incapable de maîtriser la matière footballistique et encore moins les valeurs du sport. A moins d'un miracle, le SCCM est une équipe relégable. A qui incombe la responsabilité de cette déconfiture du SCCM ? Une situation qui exige des justifications sur un bilan désastreux.
Certains fidèles supporters du SCCM souhaitent une assemblée générale extraordinaire pour éclaircir l'opinion publique sportive sur les origines de cette énigmatique défaillance.
Aujourd'hui, pour de multiples raisons, beaucoup des choses ont changé. Le SCCM, confronté à des problèmes extra sportifs, paie un lourd tribut.
Le SCCM a besoin d'un renouveau, de nouveaux dirigeants sincères, désintéressés et connaisseurs pour redorer le blason d'une équipe ternie.
La promotion du sport mohammedien passe incontestablement par le renforcement des potentialités de la ville dans le domaine du football pour éviter les erreurs du passé.
La grande déception est incontestablement l'équipe du Chabab qui a perdu de son éclat et de sa crédibilité se faisant piétiner à domicile plusieurs fois. A ceci s'ajoute le désintéressement du public qui a pesé de tout son poids sur cette équipe fébrile même dans ses fondements.
Le comité du SCCM s'est retranché dans sa forteresse, multipliant les erreurs, aggravé par une mauvaise gestion, le désaccord de certains membres de comité qui avaient refusé de cautionner des décisions prises unilatéralement, les malentendus, l'absence de transparence dans certaines dépenses, les mauvais recrutements des entraîneurs et de certains joueurs qui se sont avérés négatifs et ont affecté les finances du club.
Les bonnes paroles et l'optimisme du début de saison se sont estompés pour laisser place à la réalité amère, celle d'une formation du SCCM au passé élogieux, aujourd'hui face au doute. L'équipe, victime de certains de ses dirigeants, a été incapable de maîtriser la matière footballistique et encore moins les valeurs du sport. A moins d'un miracle, le SCCM est une équipe relégable. A qui incombe la responsabilité de cette déconfiture du SCCM ? Une situation qui exige des justifications sur un bilan désastreux.
Certains fidèles supporters du SCCM souhaitent une assemblée générale extraordinaire pour éclaircir l'opinion publique sportive sur les origines de cette énigmatique défaillance.
Aujourd'hui, pour de multiples raisons, beaucoup des choses ont changé. Le SCCM, confronté à des problèmes extra sportifs, paie un lourd tribut.
Le SCCM a besoin d'un renouveau, de nouveaux dirigeants sincères, désintéressés et connaisseurs pour redorer le blason d'une équipe ternie.
La promotion du sport mohammedien passe incontestablement par le renforcement des potentialités de la ville dans le domaine du football pour éviter les erreurs du passé.
