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Première plateforme au Maroc, le projet de technopole d'Agadir, le plus grand d'Afrique, regroupe, sur un espace de 6 hectares, l'enseignement universitaire, la recherche scientifique et l'entrepreneuriat. Le coût du projet est de l'ordre de 100 millions de dirhams. Avec une capacité d'accueil de 2.500 étudiants, cette technopole sera répartie en trois pôles distincts.
Le pôle enseignement sera constitué de quatre écoles et instituts qui assureront des formations en management, ingénierie, tourisme et en génie agroalimentaire. Pour loger ces étudiants, il est prévu la construction d'une résidence universitaire d'une capacité d'accueil de 1.000 personnes, ainsi qu'un centre sportif et un autre commercial.
Le pôle de la recherche scientifique gravitera principalement autour d'un palais des congrès qui inclut un hôtel de 30 chambres, trois salles de conférence d'une capacité d'accueil de 350 personnes chacune et trois salles de commission d'une capacité de 60 personnes. Il aura pour mission l'organisation de conférences, de forums et d'expositions à caractère scientifique, de congrès, de festivals et de manifestations culturelles et la promotion de la recherche scientifique en collaboration avec les écoles du complexe.
Le pôle de l'entrepreunariat et de la création d'entreprises sera érigé sur un technoparc de 3.000 m2 qui sera un lieu de prédilection pour les porteurs de projets. Il leur permettra de bénéficier d'un incubateur d'une capacité de 10 projets, une pépinière d'entreprises (capacité 30), un hôtel d'entreprise (capacité 26), un espace offshoring de 200 postes de travail et un espace industriel (capacité de 3 mini-usines). De plus, pour les projets nécessitant une structure plus complexe, le technoparc offrira aux promoteurs une plateforme agricole et une autre touristique pour la mise sur pied de leurs entreprises.
D'une superficie couverte de 35.000 m2, ce grand projet, objet d'un partenariat entre plusieurs organismes, sera fin prêt en 2009., est lancé par Mawrid Group (Consortium maroco-canadien de développement et d'éducation), fondateur de l'ISIAM (Institut supérieur d'informatique appliquée et de management), de l'école polytechnique d'Agadir, de l'école de tourisme et de technologie hôtelière de la même ville, ainsi que l'école polyvalente.
Se grefferont très bientôt à ces instituts, l'école de génie agroalimentaire et l'école de l'industrie agricole. Son président fondateur, Aziz Bouslikhane, insiste sur le fait que son groupe " développe des campus d'enseignement basé sur une seule et même devise : former pour entreprendre". Fondée sur la convergence des synergies pour entreprendre, pour créer de l'emploi et pour promouvoir les compétences, la philosophie du Groupe vise le développement économique durable à travers la promotion de l'esprit d'entrepreneuriat.
Selon les promoteurs de ce projet de technopole, "ce dernier s'inscrit d'abord dans le cadre d'une volonté, maintes fois exprimée par le groupe Mawrid, de doter ses écoles et instituts d'une formation de qualité, de calibre international, et de rehausser les standards nationaux en matière d'éducation et de formation en misant.
à la fois sur des partenariats avec des institutions internationales d'enseignement et sur une collaboration concertée avec le tissu industriel et tous les acteurs du milieu". De plus, la structure du groupe comporte un incubateur d'entreprises unique, qui agit à titre de catalyseur à la fois pour les lauréats de sa structure d'enseignement et pour les porteurs externes de projets afin de concrétiser leur idée d'entreprise.
L'incubateur d'entreprises, membre du RMIE (Regroupement marocain des incubateurs d'entreprises) a reçu jusqu'à maintenant 280 plans d'affaires, a accompagné 30 projets et héberge quatre entreprises.
En plus de la création de 400 emplois en 2012, la dimension sociale de la technopole prendra une ampleur considérable en soutenant et accueillant sur son espace le Centre national de développement et d'alphabétisation (CNDA). N
Concept étudié et adapté
Le concept de technopole tel que imaginé par Mawrid n'est pas un simple calque sur des modèles nord-américains, mais une réponse adaptée et étudiée aux défis imposés par le contexte actuel au Maroc, voire en Afrique. D'ailleurs, ce projet, dont la grandeur est à la hauteur de ses ambitions, vise à concrétiser une approche globale qui allie l'enseignement supérieur et la recherche scientifique à la création d'entreprises. La technopole d'Agadir permettra de répondre à la demande sans cesse croissante pour un enseignement supérieur de qualité. Ainsi, il aura une capacité d'accueil de 2.500 étudiants. De plus, ce projet vise à accroître la coopération Sud-Sud, en augmentant le nombre de pays africains représentés par les étudiants des différentes composantes de l'enseignement supérieur, à abriter une soixantaine d'entreprises installées au technoparc, ainsi que la création de 400 emplois permanents. Les instituts du groupe abritent déjà le plus grand effectif d'étudiants africains au Maroc. Ils représentent 47% de l'effectif total et plus de 15 nationalités. La Côte d'Ivoire (14%), le Sénégal (10%) et le Mali (9%) sont les pays subsahariens les plus représentés.
Le pôle enseignement sera constitué de quatre écoles et instituts qui assureront des formations en management, ingénierie, tourisme et en génie agroalimentaire. Pour loger ces étudiants, il est prévu la construction d'une résidence universitaire d'une capacité d'accueil de 1.000 personnes, ainsi qu'un centre sportif et un autre commercial.
Le pôle de la recherche scientifique gravitera principalement autour d'un palais des congrès qui inclut un hôtel de 30 chambres, trois salles de conférence d'une capacité d'accueil de 350 personnes chacune et trois salles de commission d'une capacité de 60 personnes. Il aura pour mission l'organisation de conférences, de forums et d'expositions à caractère scientifique, de congrès, de festivals et de manifestations culturelles et la promotion de la recherche scientifique en collaboration avec les écoles du complexe.
Le pôle de l'entrepreunariat et de la création d'entreprises sera érigé sur un technoparc de 3.000 m2 qui sera un lieu de prédilection pour les porteurs de projets. Il leur permettra de bénéficier d'un incubateur d'une capacité de 10 projets, une pépinière d'entreprises (capacité 30), un hôtel d'entreprise (capacité 26), un espace offshoring de 200 postes de travail et un espace industriel (capacité de 3 mini-usines). De plus, pour les projets nécessitant une structure plus complexe, le technoparc offrira aux promoteurs une plateforme agricole et une autre touristique pour la mise sur pied de leurs entreprises.
D'une superficie couverte de 35.000 m2, ce grand projet, objet d'un partenariat entre plusieurs organismes, sera fin prêt en 2009., est lancé par Mawrid Group (Consortium maroco-canadien de développement et d'éducation), fondateur de l'ISIAM (Institut supérieur d'informatique appliquée et de management), de l'école polytechnique d'Agadir, de l'école de tourisme et de technologie hôtelière de la même ville, ainsi que l'école polyvalente.
Se grefferont très bientôt à ces instituts, l'école de génie agroalimentaire et l'école de l'industrie agricole. Son président fondateur, Aziz Bouslikhane, insiste sur le fait que son groupe " développe des campus d'enseignement basé sur une seule et même devise : former pour entreprendre". Fondée sur la convergence des synergies pour entreprendre, pour créer de l'emploi et pour promouvoir les compétences, la philosophie du Groupe vise le développement économique durable à travers la promotion de l'esprit d'entrepreneuriat.
Selon les promoteurs de ce projet de technopole, "ce dernier s'inscrit d'abord dans le cadre d'une volonté, maintes fois exprimée par le groupe Mawrid, de doter ses écoles et instituts d'une formation de qualité, de calibre international, et de rehausser les standards nationaux en matière d'éducation et de formation en misant.
à la fois sur des partenariats avec des institutions internationales d'enseignement et sur une collaboration concertée avec le tissu industriel et tous les acteurs du milieu". De plus, la structure du groupe comporte un incubateur d'entreprises unique, qui agit à titre de catalyseur à la fois pour les lauréats de sa structure d'enseignement et pour les porteurs externes de projets afin de concrétiser leur idée d'entreprise.
L'incubateur d'entreprises, membre du RMIE (Regroupement marocain des incubateurs d'entreprises) a reçu jusqu'à maintenant 280 plans d'affaires, a accompagné 30 projets et héberge quatre entreprises.
En plus de la création de 400 emplois en 2012, la dimension sociale de la technopole prendra une ampleur considérable en soutenant et accueillant sur son espace le Centre national de développement et d'alphabétisation (CNDA). N
Concept étudié et adapté
Le concept de technopole tel que imaginé par Mawrid n'est pas un simple calque sur des modèles nord-américains, mais une réponse adaptée et étudiée aux défis imposés par le contexte actuel au Maroc, voire en Afrique. D'ailleurs, ce projet, dont la grandeur est à la hauteur de ses ambitions, vise à concrétiser une approche globale qui allie l'enseignement supérieur et la recherche scientifique à la création d'entreprises. La technopole d'Agadir permettra de répondre à la demande sans cesse croissante pour un enseignement supérieur de qualité. Ainsi, il aura une capacité d'accueil de 2.500 étudiants. De plus, ce projet vise à accroître la coopération Sud-Sud, en augmentant le nombre de pays africains représentés par les étudiants des différentes composantes de l'enseignement supérieur, à abriter une soixantaine d'entreprises installées au technoparc, ainsi que la création de 400 emplois permanents. Les instituts du groupe abritent déjà le plus grand effectif d'étudiants africains au Maroc. Ils représentent 47% de l'effectif total et plus de 15 nationalités. La Côte d'Ivoire (14%), le Sénégal (10%) et le Mali (9%) sont les pays subsahariens les plus représentés.
