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Aïn Diab, est devenue un exemple des plages propres au Maroc. Lors de la journée «Plages propres », la Fondation Mohammed VI pour la protection de l'environnement a loué le progrès accompli au niveau de cette plage, qui, a pu décrocher le label Pavillon bleu en 2005. En optant pour les critères d'hygiène, de propreté et de sécurité, Aïn Diab est redevenue une destination très fréquentée en été de par sa proximité des Casablancais.
Ainsi, des jeunes maîtres-nageurs s'éparpillent sur tout le rivage pour assurer la sécurité des surfeurs et des amateurs de brasse. Toutefois, la Fondation Mohammed VI a appelé à la continuité de ces grandes manœuvres. Objectifs, assurer aux estivants un littoral de qualité et maintenir la certification label Pavillon bleu obtenu en 2005. Dans ce sens, l'accent a été mis sur la qualité des eaux de baignade qui est un atout incontournable pour accroître le nombre d'estivants.
La navigation de plaisance est aussi un volet important à prendre en considération dans cette opération de mise à niveau littorale. Les responsables de la ville sont ainsi appelés à remettre en équation plusieurs critères dont celui de la propreté, l'aménagement, les infrastructures, la sécurité, le transport en commun et auxquels s'ajoute la bonne qualité des eaux pour hisser la plage au niveau balnéaire européen, favorisant ainsi le développement du tourisme dans la région. Certes, le challenge a été déjà gagné une fois, mais le plus dur, c'est de le maintenir pour que le rivage Aïn Diab entre dans la cour des grands et offre à la ville blanche une plage digne du nom.
Dans ce cadre, la commune urbaine, en collaboration avec les services de la wilaya et de la Fondation Mohammed VI, a déjà entamé les travaux de nettoiement pour accueillir les amoureux de la belle saison en toute beauté. Une remise en état est également programmée pour les équipements de base tels que : les blocs sanitaires, l'éclairage public et les douches. D'autre part, les sponsors de la plage s'occuperont des programmes de nettoyage, de maintien de l'hygiène et de la préservation de l'environnement marin.
D'autres actions sont également prévues pour attirer, aussi bien, les baigneurs que les dégustateurs de pots au bord de la mer. Il s'agit de l'aménagement des parkings de stationnement et des voies d'accès à la plage, de l'organisation du transport et de la circulation, de l'entretien de l'éclairage public, ainsi que du renforcement de la sécurité.
La sensibilisation à l'environnement occupe aussi une grande place dans le menu d'animation culturelle et sportive. Ainsi sur la Corniche, des radios-plages diffuseront en boucle et à longueur de la journée des messages de sensibilisation à la protection de l'environnement. Ces messages visent à modifier le comportement des estivants, ce qui n'est pas toujours facile.
Font aussi partie de ce plan d'initiation à l'environnement, les directives données au comité qui assure le suivi et le contrôle sur le terrain pour appliquer les recommandations de la Fondation Mohammed VI à ce propos. Cependant, il est à signaler que plusieurs plages de la région sont encore indignes du niveau aspiré. Citons à titre d'exemple, Nouaceur, Oued Merzeg et Mohammedia qui manquent toujours d'infrastructures et d'équipements de base. Dans ce sens, les sollicitations de la préfecture de Mohammedia ont trouvé bon écho chez l'ONE.
Ce dernier n'a pas hésité à prendre en charge la plage de Zenata en y installant des blocs sanitaires, des douches et une infirmerie. De plus, il s'engage à assurer le nettoyage et la collecte des déchets. Rappelons que l'ONE est un mécène fidèle des plages marocaines depuis 1999. Les Casablancais accepteront volontiers d'autres initiatives de ce genre !
Ainsi, des jeunes maîtres-nageurs s'éparpillent sur tout le rivage pour assurer la sécurité des surfeurs et des amateurs de brasse. Toutefois, la Fondation Mohammed VI a appelé à la continuité de ces grandes manœuvres. Objectifs, assurer aux estivants un littoral de qualité et maintenir la certification label Pavillon bleu obtenu en 2005. Dans ce sens, l'accent a été mis sur la qualité des eaux de baignade qui est un atout incontournable pour accroître le nombre d'estivants.
La navigation de plaisance est aussi un volet important à prendre en considération dans cette opération de mise à niveau littorale. Les responsables de la ville sont ainsi appelés à remettre en équation plusieurs critères dont celui de la propreté, l'aménagement, les infrastructures, la sécurité, le transport en commun et auxquels s'ajoute la bonne qualité des eaux pour hisser la plage au niveau balnéaire européen, favorisant ainsi le développement du tourisme dans la région. Certes, le challenge a été déjà gagné une fois, mais le plus dur, c'est de le maintenir pour que le rivage Aïn Diab entre dans la cour des grands et offre à la ville blanche une plage digne du nom.
Dans ce cadre, la commune urbaine, en collaboration avec les services de la wilaya et de la Fondation Mohammed VI, a déjà entamé les travaux de nettoiement pour accueillir les amoureux de la belle saison en toute beauté. Une remise en état est également programmée pour les équipements de base tels que : les blocs sanitaires, l'éclairage public et les douches. D'autre part, les sponsors de la plage s'occuperont des programmes de nettoyage, de maintien de l'hygiène et de la préservation de l'environnement marin.
D'autres actions sont également prévues pour attirer, aussi bien, les baigneurs que les dégustateurs de pots au bord de la mer. Il s'agit de l'aménagement des parkings de stationnement et des voies d'accès à la plage, de l'organisation du transport et de la circulation, de l'entretien de l'éclairage public, ainsi que du renforcement de la sécurité.
La sensibilisation à l'environnement occupe aussi une grande place dans le menu d'animation culturelle et sportive. Ainsi sur la Corniche, des radios-plages diffuseront en boucle et à longueur de la journée des messages de sensibilisation à la protection de l'environnement. Ces messages visent à modifier le comportement des estivants, ce qui n'est pas toujours facile.
Font aussi partie de ce plan d'initiation à l'environnement, les directives données au comité qui assure le suivi et le contrôle sur le terrain pour appliquer les recommandations de la Fondation Mohammed VI à ce propos. Cependant, il est à signaler que plusieurs plages de la région sont encore indignes du niveau aspiré. Citons à titre d'exemple, Nouaceur, Oued Merzeg et Mohammedia qui manquent toujours d'infrastructures et d'équipements de base. Dans ce sens, les sollicitations de la préfecture de Mohammedia ont trouvé bon écho chez l'ONE.
Ce dernier n'a pas hésité à prendre en charge la plage de Zenata en y installant des blocs sanitaires, des douches et une infirmerie. De plus, il s'engage à assurer le nettoyage et la collecte des déchets. Rappelons que l'ONE est un mécène fidèle des plages marocaines depuis 1999. Les Casablancais accepteront volontiers d'autres initiatives de ce genre !
