« Souk Laâyoune » sise au boulevard Mohammed VI à Casablanca. Pour ceux qui ne le savent pas, l'endroit est une bourse d'animaux domestiques et tous les accessoires qui les concernent. Le lieu est le repère de tous les amateurs et professionnels d'animaux de compagnie.
Sur place, les boutiques se suivent et se ressemblent. Elles présentent une gamme diversifiée d'animaux domestiques. On peut y trouver toutes les espèces et surtout rencontrer tous les passionnés qui sont à la recherche de leur animal préféré. C'est le cas de petit Réda, 9 ans. «Nous faisons un tour à Souk Laâyoune plusieurs fois par semaine pour voir s'il y a du nouveau », affirme la maman du petit collectionneur d'oiseaux.
Les nouveautés peuvent être une jolie perruche, un canari ou un rare perroquet de l'Amazonie. « Autrefois, on vendait toutes sortes d'animaux exotiques. Aujourd'hui, les choses ont changé avec les mesures répressives contre la contrebande d'animaux », explique ce vendeur d'oiseaux. Pourtant, notre petit amateur n'a pas eu de mal à trouver sa conquête. A partir de 3.000 DH, il peut obtenir un perroquet du Gabon ou du Brésil alors que le prix de ce genre d'oiseaux ne dépasse pas les 500 DH en pays d'origine, selon un connaisseur du domaine.
Le problème de grippe aviaire ne semble pas perturber la maman de Reda ni le grand flux de clients qui visitent le marché chaque week-end. « Il n'y a aucune raison d'avoir peur. A 70 DH vous pouvez faire tous les vaccins nécessaires chez le vétérinaire », explique le marchand d'oiseaux d'un ton sûr et confiant.
En effet, les marchands de Souk Laâyoune, sont tous des experts qui portent conseil à chaque fois que le client en a besoin. « Au début, je ne parvenais pas à garder mes oiseaux vivants plus d'un mois ou deux mais grâce aux conseils du vendeur, je sais maintenant quelle nourriture leur convient, quand il faut les couvrir, et même comment leur donner un bain », nous explique Reda avant de se scotcher devant une autre animalerie.
Cette fois, c'est un coq de combat qui attire l'attention de notre petit expert. « Il ne chante pas beaucoup mais c'est le meilleur », lui lance le vendeur. Présenté à 150 DH, ce coq fait la fierté de son propriétaire. « C'est un champion, il a gagné tous les combats qu'il a mené », souligne-t-il.
Autres animaux qui font la fierté de Souk Laâyoune, les petits chiots d'1 mois ou 20 jours. Des bergers allemands, chiens-loups ou caniches sont tous présentés en cage de famille.
« J'ai acheté récemment un petit chien-loup à 600 DH pour ma fille et il se porte très bien », affirme ce fidèle client de Souk Laâyoune. « Toutefois, la visite du vétérinaire est obligatoire pour éviter tout risque de maladie », ajoute-t-il. Par ailleurs, ce marché présente également des poissons de tout genre, des tortues, des hamsters et même des petits chats adoptés par des lapines. En outre, il représente un espace de distraction pour les Casablancais.
Durant les week-ends, les alentours de Souk Laâyoune se transforment en une bourse d'animaux de compagnie où tout amateur peut se transformer en vendeur expert. « La majorité des personnes qui trouvent ou élèvent des animaux viennent ici en fin de semaine pour les revendre et se faire un peu d'argent », affirme un propriétaire d'animalerie.
Même notre petit connaisseur, Reda, y vient de temps à autre pour échanger ses petits oiseaux contre un canari ou même un canard. Et pour la petite histoire, il ne pourra pas enrichir sa collection avec le perroquet d'Amazonie. « Trop cher ! », affirme la maman.
Sur place, les boutiques se suivent et se ressemblent. Elles présentent une gamme diversifiée d'animaux domestiques. On peut y trouver toutes les espèces et surtout rencontrer tous les passionnés qui sont à la recherche de leur animal préféré. C'est le cas de petit Réda, 9 ans. «Nous faisons un tour à Souk Laâyoune plusieurs fois par semaine pour voir s'il y a du nouveau », affirme la maman du petit collectionneur d'oiseaux.
Les nouveautés peuvent être une jolie perruche, un canari ou un rare perroquet de l'Amazonie. « Autrefois, on vendait toutes sortes d'animaux exotiques. Aujourd'hui, les choses ont changé avec les mesures répressives contre la contrebande d'animaux », explique ce vendeur d'oiseaux. Pourtant, notre petit amateur n'a pas eu de mal à trouver sa conquête. A partir de 3.000 DH, il peut obtenir un perroquet du Gabon ou du Brésil alors que le prix de ce genre d'oiseaux ne dépasse pas les 500 DH en pays d'origine, selon un connaisseur du domaine.
Le problème de grippe aviaire ne semble pas perturber la maman de Reda ni le grand flux de clients qui visitent le marché chaque week-end. « Il n'y a aucune raison d'avoir peur. A 70 DH vous pouvez faire tous les vaccins nécessaires chez le vétérinaire », explique le marchand d'oiseaux d'un ton sûr et confiant.
En effet, les marchands de Souk Laâyoune, sont tous des experts qui portent conseil à chaque fois que le client en a besoin. « Au début, je ne parvenais pas à garder mes oiseaux vivants plus d'un mois ou deux mais grâce aux conseils du vendeur, je sais maintenant quelle nourriture leur convient, quand il faut les couvrir, et même comment leur donner un bain », nous explique Reda avant de se scotcher devant une autre animalerie.
Cette fois, c'est un coq de combat qui attire l'attention de notre petit expert. « Il ne chante pas beaucoup mais c'est le meilleur », lui lance le vendeur. Présenté à 150 DH, ce coq fait la fierté de son propriétaire. « C'est un champion, il a gagné tous les combats qu'il a mené », souligne-t-il.
Autres animaux qui font la fierté de Souk Laâyoune, les petits chiots d'1 mois ou 20 jours. Des bergers allemands, chiens-loups ou caniches sont tous présentés en cage de famille.
« J'ai acheté récemment un petit chien-loup à 600 DH pour ma fille et il se porte très bien », affirme ce fidèle client de Souk Laâyoune. « Toutefois, la visite du vétérinaire est obligatoire pour éviter tout risque de maladie », ajoute-t-il. Par ailleurs, ce marché présente également des poissons de tout genre, des tortues, des hamsters et même des petits chats adoptés par des lapines. En outre, il représente un espace de distraction pour les Casablancais.
Durant les week-ends, les alentours de Souk Laâyoune se transforment en une bourse d'animaux de compagnie où tout amateur peut se transformer en vendeur expert. « La majorité des personnes qui trouvent ou élèvent des animaux viennent ici en fin de semaine pour les revendre et se faire un peu d'argent », affirme un propriétaire d'animalerie.
Même notre petit connaisseur, Reda, y vient de temps à autre pour échanger ses petits oiseaux contre un canari ou même un canard. Et pour la petite histoire, il ne pourra pas enrichir sa collection avec le perroquet d'Amazonie. « Trop cher ! », affirme la maman.
