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Dans l'optique d'un développement économique à grande vitesse à même d'étoffer le tissu industriel et de résorber le mal principal de notre pays, le chômage, une zone industrielle de plus dans la région de Casablanca ne peut qu'être la bienvenue.
Dans ce contexte, le Premier ministre, Driss Jettou, a procédé, samedi, à l'inauguration du parc industriel de Bouskoura. Il s'agit d'un complexe édifié sur une superficie de 28 ha répartis en lots de 500 m2 à 5.000 m2 entièrement viabilisés selon les normes les plus actuelles, pour accueillir une centaine d'entreprises dans plusieurs secteurs d'activité.
Ce projet, qui vient apporter sa pierre à l'édifice d'une économie forte et structurée, a été réalisé grâce à une étroite collaboration entre le gouvernement marocain et la Chambre française de commerce et d'industrie du Maroc (CFCIM). Il a nécessité un investissement de 2 milliards DH. Son financement a été assuré par un ensemble de partenaires nationaux et étrangers.
Ce sont, entre autres, la Caisse de dépôt et de gestion (CDG), la commune rurale de Bouskoura, un certain nombre de compagnies nationales d'assurances et de banques ainsi que la Caisse française des dépôts et consignations qui ont mis la main à la poche pour mener à bien les travaux de ce chantier important.
Le parc industriel en question est doté d'un espace clôturé, gardé et géré par une société de gestion et d'exploitation «SOGEPIB». Cette dernière dispose d'un capital estimé à 18 millions DH, créée à cette fin par la CFCIM. La SOGEPIB a ainsi l'obligation d'équiper la zone, de la promouvoir et de garantir la maintenance des équipements installés.
Outre les bâtiments réservés aux entreprises opérationnelles, l'espace de ce complexe industriel, conçu selon des normes de sécurité et de compatibilité conformes aux exigences internationales, comprend un restaurant d'entreprises, une agence bancaire, des centres de formation professionnelle et un centre de médecine du travail, en plus d'un commerce de fournitures destinées aux activités de services.
Dans une allocution prononcée à cette occasion, Driss Jettou a mis en exergue la grande importance que le gouvernement accorde à ce projet d'envergure qui va contribuer à la création de plus de 6.000 emplois directs et de 2.000 à 2.500 emplois indirects.
Il a souligné, en outre, que la concrétisation de ce complexe industriel symbolise sans aucun doute la solidité et l'excellence des relations entre la France et le Maroc autant sur le plan politique que sur le plan économique.
En parfait accord avec la stratégie globale de développement du tissu industriel, le Premier ministre n'a pas manqué, à cet égard, de mettre en relief la consistance des subventions affectées par le gouvernement aux zones industrielles, à travers la simplification des procédures d'acquisition des terrains industriels.
C'est une dynamique très utile qui s'inscrit dans une vision beaucoup plus globale impliquant aussi bien l'Etat, les autorité locales et le secteur privé pour œuvrer de concert afin d'affronter les difficultés liées à la mondialisation, à la libération du commerce international et à la concurrence accrue qui est devenue une hantise pour les économies émergentes.
Dans ce contexte, le Premier ministre, Driss Jettou, a procédé, samedi, à l'inauguration du parc industriel de Bouskoura. Il s'agit d'un complexe édifié sur une superficie de 28 ha répartis en lots de 500 m2 à 5.000 m2 entièrement viabilisés selon les normes les plus actuelles, pour accueillir une centaine d'entreprises dans plusieurs secteurs d'activité.
Ce projet, qui vient apporter sa pierre à l'édifice d'une économie forte et structurée, a été réalisé grâce à une étroite collaboration entre le gouvernement marocain et la Chambre française de commerce et d'industrie du Maroc (CFCIM). Il a nécessité un investissement de 2 milliards DH. Son financement a été assuré par un ensemble de partenaires nationaux et étrangers.
Ce sont, entre autres, la Caisse de dépôt et de gestion (CDG), la commune rurale de Bouskoura, un certain nombre de compagnies nationales d'assurances et de banques ainsi que la Caisse française des dépôts et consignations qui ont mis la main à la poche pour mener à bien les travaux de ce chantier important.
Le parc industriel en question est doté d'un espace clôturé, gardé et géré par une société de gestion et d'exploitation «SOGEPIB». Cette dernière dispose d'un capital estimé à 18 millions DH, créée à cette fin par la CFCIM. La SOGEPIB a ainsi l'obligation d'équiper la zone, de la promouvoir et de garantir la maintenance des équipements installés.
Outre les bâtiments réservés aux entreprises opérationnelles, l'espace de ce complexe industriel, conçu selon des normes de sécurité et de compatibilité conformes aux exigences internationales, comprend un restaurant d'entreprises, une agence bancaire, des centres de formation professionnelle et un centre de médecine du travail, en plus d'un commerce de fournitures destinées aux activités de services.
Dans une allocution prononcée à cette occasion, Driss Jettou a mis en exergue la grande importance que le gouvernement accorde à ce projet d'envergure qui va contribuer à la création de plus de 6.000 emplois directs et de 2.000 à 2.500 emplois indirects.
Il a souligné, en outre, que la concrétisation de ce complexe industriel symbolise sans aucun doute la solidité et l'excellence des relations entre la France et le Maroc autant sur le plan politique que sur le plan économique.
En parfait accord avec la stratégie globale de développement du tissu industriel, le Premier ministre n'a pas manqué, à cet égard, de mettre en relief la consistance des subventions affectées par le gouvernement aux zones industrielles, à travers la simplification des procédures d'acquisition des terrains industriels.
C'est une dynamique très utile qui s'inscrit dans une vision beaucoup plus globale impliquant aussi bien l'Etat, les autorité locales et le secteur privé pour œuvrer de concert afin d'affronter les difficultés liées à la mondialisation, à la libération du commerce international et à la concurrence accrue qui est devenue une hantise pour les économies émergentes.
