Surfer sur Internet n'est pas du tout sans risque pour les enfants et les adolescents. Internet est devenu le passe-temps favori des mineurs. Ils y consacrent, au minimum, deux heures par jour. Cependant, c'est le tchatche qui fait fureur.
De nombreux sites web disposent de forums de discussion et de messageries instantanées, qui peuvent induire l'adolescent en erreur. L'on se souvient de cette jeune française, âgée de 14 ans, qui est venue au Maroc, après avoir eu une discussion sur Internet, pour rejoindre son ami internaute, en emportant avec elle la carte bleue de ses parents. Une fois arrivée, elle n'a pu rencontrer son ami. Perdue, elle croise un employé de l'aéroport qui la viole et lui pique tout son argent. Après avoir subi toutes ces violences, elle réussit à s'échapper pour alerter la police.
L'histoire de la jeune fille met en lumière l'influence de certains blagueurs sur la candeur des plus jeunes. Internet a permis une prolifération des réseaux de pédophilie, de prostitution, de proxénétisme, d'arnaque de tout genre, sous prétexte d'apporter parfois aux victimes, en l'occurrence les jeunes, une solution à leur pauvreté. Parfois, des pédophiles peuvent discuter avec l'adolescent en jouant le rôle de l'ami virtuel. L'enfant discute naïvement et rentre ainsi dans le jeu de l'adulte qui cherche à profiter de l'innocence de son interlocuteur pour parvenir à ses fins.
Profitant de l'anonymat, quelques internautes mal attentionnés, trouvent, avec Internet, un moyen de mettre en confiance l'autre correspondant pour le piéger. Pour les "ados" timides de nature, le tchat est une belle occasion de rencontre. Des propos mensongers circulent, parfois, sur Internet. Voulant effectuer de simples recherches scolaires, l'enfant peut également être victime d'endoctrinement ou d'incitation à la débauche. Aussi, la cybercriminalité pose-t-elle des défis jusqu'ici inconnus du système judiciaire.
Le phénomène prend de l'ampleur au point de tirer la sonnette d'alarme sur le danger qui guette non seulement les ados mais aussi les parents qui doivent être vigilants, en interdisant à leurs enfants de surfer seuls sur Internet et en limitant le temps des sessions Internet.
Il faut noter que ce moyen de communication est très peu utilisé par les enfants pour faire leurs devoirs.
Ils passent plus de temps à naviguer pour trouver des jeux, des tchats. Ibtissam, 16 ans, lycéenne, déclare : «dès que je rentre du lycée, je vais directement dans ma chambre pour effectuer quelques recherches sur Internet ; mais aussi pour discuter avec mes camarades de classe via la messagerie instantanée (MSN).
Il m'arrive que je dorme très tard le soir».
Au Maroc, le marché d'Internet évolue en dents de scie. La connexion via l'ADSL compte 242 000 lignes, soit une augmentation de 30,3%. Le Maroc qui applique essentiellement des normes de droits latins, revendique une assistance qui l'aidera à intégrer dans son système de nouveaux concepts juridiques. La question qui s'impose en ce moment est : quelle est la façon adéquate pour éradiquer ce fléau ?
De nombreux sites web disposent de forums de discussion et de messageries instantanées, qui peuvent induire l'adolescent en erreur. L'on se souvient de cette jeune française, âgée de 14 ans, qui est venue au Maroc, après avoir eu une discussion sur Internet, pour rejoindre son ami internaute, en emportant avec elle la carte bleue de ses parents. Une fois arrivée, elle n'a pu rencontrer son ami. Perdue, elle croise un employé de l'aéroport qui la viole et lui pique tout son argent. Après avoir subi toutes ces violences, elle réussit à s'échapper pour alerter la police.
L'histoire de la jeune fille met en lumière l'influence de certains blagueurs sur la candeur des plus jeunes. Internet a permis une prolifération des réseaux de pédophilie, de prostitution, de proxénétisme, d'arnaque de tout genre, sous prétexte d'apporter parfois aux victimes, en l'occurrence les jeunes, une solution à leur pauvreté. Parfois, des pédophiles peuvent discuter avec l'adolescent en jouant le rôle de l'ami virtuel. L'enfant discute naïvement et rentre ainsi dans le jeu de l'adulte qui cherche à profiter de l'innocence de son interlocuteur pour parvenir à ses fins.
Profitant de l'anonymat, quelques internautes mal attentionnés, trouvent, avec Internet, un moyen de mettre en confiance l'autre correspondant pour le piéger. Pour les "ados" timides de nature, le tchat est une belle occasion de rencontre. Des propos mensongers circulent, parfois, sur Internet. Voulant effectuer de simples recherches scolaires, l'enfant peut également être victime d'endoctrinement ou d'incitation à la débauche. Aussi, la cybercriminalité pose-t-elle des défis jusqu'ici inconnus du système judiciaire.
Le phénomène prend de l'ampleur au point de tirer la sonnette d'alarme sur le danger qui guette non seulement les ados mais aussi les parents qui doivent être vigilants, en interdisant à leurs enfants de surfer seuls sur Internet et en limitant le temps des sessions Internet.
Il faut noter que ce moyen de communication est très peu utilisé par les enfants pour faire leurs devoirs.
Ils passent plus de temps à naviguer pour trouver des jeux, des tchats. Ibtissam, 16 ans, lycéenne, déclare : «dès que je rentre du lycée, je vais directement dans ma chambre pour effectuer quelques recherches sur Internet ; mais aussi pour discuter avec mes camarades de classe via la messagerie instantanée (MSN).
Il m'arrive que je dorme très tard le soir».
Au Maroc, le marché d'Internet évolue en dents de scie. La connexion via l'ADSL compte 242 000 lignes, soit une augmentation de 30,3%. Le Maroc qui applique essentiellement des normes de droits latins, revendique une assistance qui l'aidera à intégrer dans son système de nouveaux concepts juridiques. La question qui s'impose en ce moment est : quelle est la façon adéquate pour éradiquer ce fléau ?
