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C'est à 10 heures précises que l'ancien président bolivien Jorge Fernando Quiroga Ramirez est arrivé à l'école des Oudayas de Rabat, qui compte sept bureaux de vote relevant de la circonscription de Chellah, sous les regards curieux des électeurs qui sont venus, vendredi matin, voter massivement.
Cet expert de haut niveau s'est enquis en premier lieu du déroulement de l'opération de vote en vérifiant minutieusement la procédure auprès des membres des bureaux et en essayant de connaître les habitudes de vote au Maroc. Ensuite, lors d'un point de presse, il a signalé que le processus électoral se déroulait normalement, expliquant qu'en principe, selon son expérience dans nombre de pays, il faut rassembler les observations de toutes les équipes avant de pouvoir se prononcer. "J'ai appris d'après mon expérience d'observation des élections dans nombre de pays qu'on ne peut pas se faire une idée ou une impression claire et objective après seulement la visite de quelques bureaux de vote.
Il faut attendre la fin de la journée", a-t-il souligné. Cet observateur de grande renommée 111110nale a félicité, par ailleurs, le Maroc d'avoir pensé à inviter des observateurs étrangers afin de consolider le processus démocratique : "C'est une procédure importante pour connaître la démocratie dans les pays. L'observation des élections constitue une grande valeur. Le fait de permettre à des organismes 111110naux d'observer les élections signifie que le pays est ouvert".
Après la fin de la journée, toutes les équipes des observateurs qui ont été mandatées dans les différentes régions sont retournées à Rabat.
Un point de presse est prévu ce samedi après-midi pour présenter une évaluation préliminaire relative au déroulement du vote et à la période préélectorale. Un rapport détaillé et final sera présenté par la délégation dans les semaines à venir, tandis que le CCDH compte finaliser son rapport dans un ou deux mois, selon son président Ahmed Herzenni.
Mais avant, une évaluation préliminaire sera faite mardi prochain à l'instar de ce que font toutes les missions d'observation. Il signale que contrairement aux rumeurs, le tissu as116iatif, dont le nombre d'observateurs avoisine les 3000, effectue sa mission d'observation d'une manière normale partout au Maroc.
"Nous avons des équipes qui suivent tout ce qui se passe, que ce soit sur le terrain ou au niveau de la presse écrite et audiovisuelle. Nous nous contentons de l'observation.
Les fraudes incombent à la justice. Quand l'opération sera terminée, nous allons rassembler toutes les observations pour les analyser, afin de faire un rapport final", a-t-il dit.
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Des experts de haut niveau sont venus de 19 pays, notamment des États-Unis, du Canada, d'Égypte, d'Indonésie, de Palestine, de France…
Ils ont assisté à toutes les étapes du processus électoral dans douze régions du Royaume, avant de publier leur premier rapport aujourd'hui 8 septembre.
Il est à noter qu'une mission d'évaluation préélectorale avait eu lieu du 9 au 15 août dernier.
Les membres de cette mission avaient rencontré des représentants du gouvernement, du CCDH, et des partis politiques pour faire une pré-évaluation du contexte politique et réglementaire des élections.
Cet expert de haut niveau s'est enquis en premier lieu du déroulement de l'opération de vote en vérifiant minutieusement la procédure auprès des membres des bureaux et en essayant de connaître les habitudes de vote au Maroc. Ensuite, lors d'un point de presse, il a signalé que le processus électoral se déroulait normalement, expliquant qu'en principe, selon son expérience dans nombre de pays, il faut rassembler les observations de toutes les équipes avant de pouvoir se prononcer. "J'ai appris d'après mon expérience d'observation des élections dans nombre de pays qu'on ne peut pas se faire une idée ou une impression claire et objective après seulement la visite de quelques bureaux de vote.
Il faut attendre la fin de la journée", a-t-il souligné. Cet observateur de grande renommée 111110nale a félicité, par ailleurs, le Maroc d'avoir pensé à inviter des observateurs étrangers afin de consolider le processus démocratique : "C'est une procédure importante pour connaître la démocratie dans les pays. L'observation des élections constitue une grande valeur. Le fait de permettre à des organismes 111110naux d'observer les élections signifie que le pays est ouvert".
Après la fin de la journée, toutes les équipes des observateurs qui ont été mandatées dans les différentes régions sont retournées à Rabat.
Un point de presse est prévu ce samedi après-midi pour présenter une évaluation préliminaire relative au déroulement du vote et à la période préélectorale. Un rapport détaillé et final sera présenté par la délégation dans les semaines à venir, tandis que le CCDH compte finaliser son rapport dans un ou deux mois, selon son président Ahmed Herzenni.
Mais avant, une évaluation préliminaire sera faite mardi prochain à l'instar de ce que font toutes les missions d'observation. Il signale que contrairement aux rumeurs, le tissu as116iatif, dont le nombre d'observateurs avoisine les 3000, effectue sa mission d'observation d'une manière normale partout au Maroc.
"Nous avons des équipes qui suivent tout ce qui se passe, que ce soit sur le terrain ou au niveau de la presse écrite et audiovisuelle. Nous nous contentons de l'observation.
Les fraudes incombent à la justice. Quand l'opération sera terminée, nous allons rassembler toutes les observations pour les analyser, afin de faire un rapport final", a-t-il dit.
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Missions d'observation
Le Maroc vit une première expérience du genre en matière d'observation des élections.Des experts de haut niveau sont venus de 19 pays, notamment des États-Unis, du Canada, d'Égypte, d'Indonésie, de Palestine, de France…
Ils ont assisté à toutes les étapes du processus électoral dans douze régions du Royaume, avant de publier leur premier rapport aujourd'hui 8 septembre.
Il est à noter qu'une mission d'évaluation préélectorale avait eu lieu du 9 au 15 août dernier.
Les membres de cette mission avaient rencontré des représentants du gouvernement, du CCDH, et des partis politiques pour faire une pré-évaluation du contexte politique et réglementaire des élections.
