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Besiktas, qui a essuyé la plus grosse défaite de l'histoire de la Ligue des Champions (8-0) à Liverpool lors de la 4e journée, veut se racheter devant ses supporteurs ce soir à Istanbul face à Marseille (Groupe A).
"Nous ne pensons qu'à battre Marseille, et pas à autre chose. Ces dernières semaines nous avons enregistré une série de mauvais résultats mais nous pouvons recommencer à zéro", a déclaré le gardien de but de l'équipe stambouliote, Rustu Recber qui n'avait pas joué en raison d'une blessure lors de la grande débâcle à Anfield Road.
Liverpool a, en effet, signé le 6 novembre la plus large victoire de l'histoire de l'épreuve (depuis sa création en 1992/93) en atomisant Besiktas. Le club turc avait pourtant créé la surprise en battant les Reds sur son terrain lors du match aller (2-1). Humilié, le président du club turc, Yildirim Demirren, qui aurait dans un premier temps pensé à quitter son poste, a exhorté les joueurs à "nettoyer cette honte" et de réaliser l'exploit de battre les Français afin d'entretenir l'espoir de se qualifier pour les 8e de finale.
Nous qualifions, nous pourrons nous faire pardonner par nos supporteurs qui n'ont jamais renoncé à nous soutenir", espère-t-il. En difficulté en championnat, où il est en quatrième position loin derrière son rival d'Istanbul Galatasaray, Besiktas mise sur son parcours européen mais la tâche s'annonce très difficile. Les Turcs n'ont plus droit à l'erreur et doivent battre Marseille à Istanbul mais aussi le FC Porto pour s'assurer mathématiquement d'une place en 8e de finale.
Le capitaine de Besiktas a affirmé que l'enjeu pour l'équipe, revigorée après une victoire à l'arraché en championnat dimanche (1-0) face à Gençlerbirligi, était surtout émotionnel : "Nous allons lutter pour notre honneur", a-t-il dit. Côté effectif, Mehmet Yozgatli, Serdar Kurtulus et Ibrahim Kas n'ont pas participé dimanche à un entraînement où les derniers préparatifs ont été testés par l'encadrement technique. Ces joueurs qui souffrent de blessures légères sont toujours traités par les médecins de l'équipe et devraient en principe être opérationnels.
Les joueurs de l'équipe turque se sont entraînés lundi soir à huis clos. L'entraîneur belge de l'OM Eric Gerets a retrouvé, pour sa part, la métropole turque où il a offert à Galatasaray son dernier titre de champion en 2006.
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L'Espagnol reproche à George Gillett et Tom Hicks, qui ont acheté le club la saison passée, leur peu d'empressement à acquérir le milieu Javier Mascherano, actuellement prêté, et à acheter d'autres joueurs, comme le défenseur du Racing Santander, Ezequiel Marcelo Garay. "Il est vraiment temps pour «Rafa» d'arrêter de parler de nouveaux joueurs et d'entraîner ceux que nous avons. Nous lui avons dit de se concentrer sur ses matches et rien d'autre", lâche Hicks. Lui et son associé ont dépensé 70 millions d'euros cet été, pour acheter Fernando Torres, Ryan Babel, Yossi Benayoun, Andreï Voronine et Lucas Leiva.
Benitez a d'abord répondu par la moquerie à la vexation patronale. Habitué aux costumes élégants, il s'est présenté en survêtement devant la presse samedi après la victoire à Newcastle, répétant comme un mantra : "Je m'occupe de l'entraînement et de rien d'autre". Puis l'insubordination s'est faite méprisante : "Ils ne comprennent pas comment fonctionne le mercato d'hiver en Europe. Ce n'est pas un système de draft" comme dans les sports américains.
"Nous ne pensons qu'à battre Marseille, et pas à autre chose. Ces dernières semaines nous avons enregistré une série de mauvais résultats mais nous pouvons recommencer à zéro", a déclaré le gardien de but de l'équipe stambouliote, Rustu Recber qui n'avait pas joué en raison d'une blessure lors de la grande débâcle à Anfield Road.
Liverpool a, en effet, signé le 6 novembre la plus large victoire de l'histoire de l'épreuve (depuis sa création en 1992/93) en atomisant Besiktas. Le club turc avait pourtant créé la surprise en battant les Reds sur son terrain lors du match aller (2-1). Humilié, le président du club turc, Yildirim Demirren, qui aurait dans un premier temps pensé à quitter son poste, a exhorté les joueurs à "nettoyer cette honte" et de réaliser l'exploit de battre les Français afin d'entretenir l'espoir de se qualifier pour les 8e de finale.
Nous qualifions, nous pourrons nous faire pardonner par nos supporteurs qui n'ont jamais renoncé à nous soutenir", espère-t-il. En difficulté en championnat, où il est en quatrième position loin derrière son rival d'Istanbul Galatasaray, Besiktas mise sur son parcours européen mais la tâche s'annonce très difficile. Les Turcs n'ont plus droit à l'erreur et doivent battre Marseille à Istanbul mais aussi le FC Porto pour s'assurer mathématiquement d'une place en 8e de finale.
Le capitaine de Besiktas a affirmé que l'enjeu pour l'équipe, revigorée après une victoire à l'arraché en championnat dimanche (1-0) face à Gençlerbirligi, était surtout émotionnel : "Nous allons lutter pour notre honneur", a-t-il dit. Côté effectif, Mehmet Yozgatli, Serdar Kurtulus et Ibrahim Kas n'ont pas participé dimanche à un entraînement où les derniers préparatifs ont été testés par l'encadrement technique. Ces joueurs qui souffrent de blessures légères sont toujours traités par les médecins de l'équipe et devraient en principe être opérationnels.
Les joueurs de l'équipe turque se sont entraînés lundi soir à huis clos. L'entraîneur belge de l'OM Eric Gerets a retrouvé, pour sa part, la métropole turque où il a offert à Galatasaray son dernier titre de champion en 2006.
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Divorce annoncé entre Benitez et ses boss
Raphaël Benitez accuse ses patrons de ne rien comprendre au football, ils lui répondent de se taire et d'entraîner : avant le match de Ligue des champions contre Porto mercredi, le divorce est consommé entre l'entraîneur de Liverpool Rafael Benitez et ses patrons d'Amérique.L'Espagnol reproche à George Gillett et Tom Hicks, qui ont acheté le club la saison passée, leur peu d'empressement à acquérir le milieu Javier Mascherano, actuellement prêté, et à acheter d'autres joueurs, comme le défenseur du Racing Santander, Ezequiel Marcelo Garay. "Il est vraiment temps pour «Rafa» d'arrêter de parler de nouveaux joueurs et d'entraîner ceux que nous avons. Nous lui avons dit de se concentrer sur ses matches et rien d'autre", lâche Hicks. Lui et son associé ont dépensé 70 millions d'euros cet été, pour acheter Fernando Torres, Ryan Babel, Yossi Benayoun, Andreï Voronine et Lucas Leiva.
Benitez a d'abord répondu par la moquerie à la vexation patronale. Habitué aux costumes élégants, il s'est présenté en survêtement devant la presse samedi après la victoire à Newcastle, répétant comme un mantra : "Je m'occupe de l'entraînement et de rien d'autre". Puis l'insubordination s'est faite méprisante : "Ils ne comprennent pas comment fonctionne le mercato d'hiver en Europe. Ce n'est pas un système de draft" comme dans les sports américains.
