Zinédine Zidane (capitaine de l'équipe de France, au micro de TF1): « J'ai envie de dire aux Espagnols, parce qu'ils nous ont assez chambrés là-dessus, j'ai envie de leur dire que c'est pas ce match-là (sa retraite). L'aventure continue et on est content, on avait préparé ce match de la meilleure des façons. On avait envie de faire quelque chose, de montrer que peut-être le premier tour n'était pas facile, mais ce soir on a démontré qu'on avait un bon groupe et qu'on voulait aller beaucoup plus loin. (Le Brésil) C'est un bon souvenir pour nous, on essaiera de le préparer pareil, on est tous bien, on est content d'être là ensemble, et ça se voit. »
Frank Ribéry (milieu offensif de l'équipe de France) : « On n'a pas douté après le penalty et notre but avant la mi-temps nous a fait du bien. A la mi-temps (au vestiaire), on s'est dit de ne pas s'énerver et de continuer notre jeu, c'est ce qu'on a fait. Devant (le gardien de but espagnol Iker) Casillas, je savais que j'avais un peu de temps, j'ai pris des risques et je l'ai dribblé. Cela fait partie des meilleurs souvenirs de ma carrière: cela m'a donné confiance et cela m'a fait du bien, à moi et aussi à toute l'équipe. Après, j'étais plus à l'aise. J'ai continué à aller de l'avant et à provoquer. (Le but de Zidane): je suis vraiment content pour Zizou parce que c'est un de ses derniers matchs et sur le terrain il nous a fait du bien».
Iker Casillas (gardien de but de l'Espagne): « Nous ne voulions pas terminer de cette manière-là.
Nous sommes très déçus.
On perd avec un but comme ça, de manière fortuite, et on rentre à la maison.
C'est très dur parce qu'on ne méritait pas ça. »
William Gallas (défenseur français): « On monte en puissance, que ce soit en défense, au milieu ou en attaque. On commence à mieux se connaître et même si on râle lors des entraînements physiques, ça porte ses fruits. Le Brésil est une grosse équipe, qui sait jouer au ballon, mais il faut qu'on arrive au bout.
Notre objectif est d'aller jusqu'au bout le 9 juillet. On n'est pas mal.
On a fait un petit bout de chemin. Ce n'est plus la même équipe. La mentalité fait la différence. On est plus compacts dans les lignes, vraiment très solidaires. »
Xavi (milieu de terrain de
l'Espagne): « Si on était rentrés au vestiaire en menant 1-0, ça aurait été différent.
Dans le vestiaire, (le sélectionneur Luis) Aragones nous a demandé de rester tranquilles, il nous a dit qu'il nous restait 45 minutes, mais bon... ça ne nous a pas souri. »
Frank Ribéry (milieu offensif de l'équipe de France) : « On n'a pas douté après le penalty et notre but avant la mi-temps nous a fait du bien. A la mi-temps (au vestiaire), on s'est dit de ne pas s'énerver et de continuer notre jeu, c'est ce qu'on a fait. Devant (le gardien de but espagnol Iker) Casillas, je savais que j'avais un peu de temps, j'ai pris des risques et je l'ai dribblé. Cela fait partie des meilleurs souvenirs de ma carrière: cela m'a donné confiance et cela m'a fait du bien, à moi et aussi à toute l'équipe. Après, j'étais plus à l'aise. J'ai continué à aller de l'avant et à provoquer. (Le but de Zidane): je suis vraiment content pour Zizou parce que c'est un de ses derniers matchs et sur le terrain il nous a fait du bien».
Iker Casillas (gardien de but de l'Espagne): « Nous ne voulions pas terminer de cette manière-là.
Nous sommes très déçus.
On perd avec un but comme ça, de manière fortuite, et on rentre à la maison.
C'est très dur parce qu'on ne méritait pas ça. »
William Gallas (défenseur français): « On monte en puissance, que ce soit en défense, au milieu ou en attaque. On commence à mieux se connaître et même si on râle lors des entraînements physiques, ça porte ses fruits. Le Brésil est une grosse équipe, qui sait jouer au ballon, mais il faut qu'on arrive au bout.
Notre objectif est d'aller jusqu'au bout le 9 juillet. On n'est pas mal.
On a fait un petit bout de chemin. Ce n'est plus la même équipe. La mentalité fait la différence. On est plus compacts dans les lignes, vraiment très solidaires. »
Xavi (milieu de terrain de
l'Espagne): « Si on était rentrés au vestiaire en menant 1-0, ça aurait été différent.
Dans le vestiaire, (le sélectionneur Luis) Aragones nous a demandé de rester tranquilles, il nous a dit qu'il nous restait 45 minutes, mais bon... ça ne nous a pas souri. »
