Le Mondial-2006 de football s'apparente à une galerie d'art mobile avec des œuvres tatouées sur certains des quelque 700 joueurs, dessins, messages ou clins d'œil personnels.
Le plus connu de ces porteurs d'encre est sans nul doute le capitaine anglais David Beckham : six tatouages comprenant les trois prénoms de ses enfants (Brooklyn, Romeo et Cruz) et celui de son épouse Victoria sur un bras et en langue hindie, même si, selon des experts, il est mal écrit puisqu'il contient une lettre de trop.
Sous le prénom de la Spice Girl, on peut lire une phrase en latin (At Amem et Foveam) signifiant «Ce que j'aime et adore».
Sur un bras, il a son numéro fétiche (quand il était à Manchester United et en sélection), le 7, en chiffres romains (VII), accompagné du mot d'ordre latin «Perfectio in Spirotu» (perfection spirituelle).
«J'ai de cette manière mes enfants avec moi, et pas seulement dans mon cœur, quand je ne suis pas à la maison, explique Beckham. Entre leurs noms, j'ai un ange-gardien dans le dos pour qu'il fasse attention à eux. Mon père avait trois tatouages, et j'y pensais depuis que j'étais petit.»
Chez les Argentins, le milieu de terrain Lucho Gonzalez porte dix tatouages hétéroclites, de la signature de Maradona au prénom de sa femme (Pamela) en idéogrammes chinois, en passant par un rosaire sur la jambe gauche et un Jésus sur la droite, sans oublier les initiales de sa famille Maman et Dieu Fabrizio Coloccini a lui aussi inscrit sa famille dans sa chair, à savoir sa mère, décédée et dont le visage orne la poitrine du défenseur albiceleste, à côté du cœur.
L'arrière espagnol Sergio Ramos a fait inscrire les noms de ses parents sur ses avant-bras, tandis qu'un lutin décore son dos. Son compatriote Fernando Torres, en bon émule de Beckham, arbore une formule indienne sur un bras.
Famille, et religion : l'attaquant brésilien Adriano aura toujours de la lecture sur lui avec, le long de son avant-bras droit, la prière «Jésus vit avec moi, Jésus est avec moi, j'ai Jésus avec moi, personne ne peut rien contre moi».
Le Serbe Mateja Kezman s'est fait dessiner une image de Jésus-Christ sur son bras droit. Les motifs sur la peau de l'attaquant anglais Wayne Rooney semblent plus originaux, avec une croix celtique et le mot «then» (alors) sur le dos.
Un ami à lui s'y est fait tatouer «OK» : les deux compères forment ainsi ensemble la phrase «OK, then» (alors ça va).
Autre message personnel, celui de l'Equatorien Ivan «Spiderman» Kaviedes, avec un bras gauche avertissant en anglais «si vous ne me connaissez pas, ne me jugez pas». Côté animalier, le capitaine ukrainien Andrei Shevchenko se promène avec un dragon sur une épaule, tandis que le Suédois Freddie Ljungberg arbore un grand félin sur le ventre.
D'autres tatouages sommeillent sans doute sous les maillots, qui se révèleront peut-être au fil de la compétition...
Le plus connu de ces porteurs d'encre est sans nul doute le capitaine anglais David Beckham : six tatouages comprenant les trois prénoms de ses enfants (Brooklyn, Romeo et Cruz) et celui de son épouse Victoria sur un bras et en langue hindie, même si, selon des experts, il est mal écrit puisqu'il contient une lettre de trop.
Sous le prénom de la Spice Girl, on peut lire une phrase en latin (At Amem et Foveam) signifiant «Ce que j'aime et adore».
Sur un bras, il a son numéro fétiche (quand il était à Manchester United et en sélection), le 7, en chiffres romains (VII), accompagné du mot d'ordre latin «Perfectio in Spirotu» (perfection spirituelle).
«J'ai de cette manière mes enfants avec moi, et pas seulement dans mon cœur, quand je ne suis pas à la maison, explique Beckham. Entre leurs noms, j'ai un ange-gardien dans le dos pour qu'il fasse attention à eux. Mon père avait trois tatouages, et j'y pensais depuis que j'étais petit.»
Chez les Argentins, le milieu de terrain Lucho Gonzalez porte dix tatouages hétéroclites, de la signature de Maradona au prénom de sa femme (Pamela) en idéogrammes chinois, en passant par un rosaire sur la jambe gauche et un Jésus sur la droite, sans oublier les initiales de sa famille Maman et Dieu Fabrizio Coloccini a lui aussi inscrit sa famille dans sa chair, à savoir sa mère, décédée et dont le visage orne la poitrine du défenseur albiceleste, à côté du cœur.
L'arrière espagnol Sergio Ramos a fait inscrire les noms de ses parents sur ses avant-bras, tandis qu'un lutin décore son dos. Son compatriote Fernando Torres, en bon émule de Beckham, arbore une formule indienne sur un bras.
Famille, et religion : l'attaquant brésilien Adriano aura toujours de la lecture sur lui avec, le long de son avant-bras droit, la prière «Jésus vit avec moi, Jésus est avec moi, j'ai Jésus avec moi, personne ne peut rien contre moi».
Le Serbe Mateja Kezman s'est fait dessiner une image de Jésus-Christ sur son bras droit. Les motifs sur la peau de l'attaquant anglais Wayne Rooney semblent plus originaux, avec une croix celtique et le mot «then» (alors) sur le dos.
Un ami à lui s'y est fait tatouer «OK» : les deux compères forment ainsi ensemble la phrase «OK, then» (alors ça va).
Autre message personnel, celui de l'Equatorien Ivan «Spiderman» Kaviedes, avec un bras gauche avertissant en anglais «si vous ne me connaissez pas, ne me jugez pas». Côté animalier, le capitaine ukrainien Andrei Shevchenko se promène avec un dragon sur une épaule, tandis que le Suédois Freddie Ljungberg arbore un grand félin sur le ventre.
D'autres tatouages sommeillent sans doute sous les maillots, qui se révèleront peut-être au fil de la compétition...
