Connexion
Le chorégraphe Kamel Ouali a délaissé momentanément la Star Academy pour faire danser des robots au Futuroscope de Poitiers, qui a investi 7 millions d'euros dans cette nouvelle attraction baptisée la «Danse avec les robots».
Les visiteurs sont invités à s'asseoir dans des nacelles fixées au bout de 10 bras articulés issus de l'industrie automobile qui «dansent» au rythme de la mélodie choisie (raï, rock'n roll ou valse) pendant 90 secondes. Les robots mesurent près de sept mètres de haut.
«Le défi de créer une chorégraphie pour des robots m'a beaucoup enthousiasmé. J'aime travailler dans des univers différents», a expliqué à la presse Kamel Ouali. «Ils sont plus obéissants que les élèves de la Star Ac' et ils ne sont jamais fatigués», a-t-il souligné.
Au plafond de la salle, un écran diffuse cinq clips mettant en scène le chorégraphe et sa troupe de danseurs en rythme avec le ballet des robots. «Le talent et la notoriété de Kamel Ouali apportent au concept technologique de départ la dimension artistique mais aussi pluri-générationnelle recherchée», a ajouté Dominique Hummel, président du directoire du Futuroscope.
Créé en 1987, le Futuroscope s'est lancé en février sur le thème très à la mode des robots, avec notamment un «zoo des robots». Il vise 1,5 million de visiteurs en 2006, son point d'équilibre, contre 1,434 million en 2005.
Les visiteurs sont invités à s'asseoir dans des nacelles fixées au bout de 10 bras articulés issus de l'industrie automobile qui «dansent» au rythme de la mélodie choisie (raï, rock'n roll ou valse) pendant 90 secondes. Les robots mesurent près de sept mètres de haut.
«Le défi de créer une chorégraphie pour des robots m'a beaucoup enthousiasmé. J'aime travailler dans des univers différents», a expliqué à la presse Kamel Ouali. «Ils sont plus obéissants que les élèves de la Star Ac' et ils ne sont jamais fatigués», a-t-il souligné.
Au plafond de la salle, un écran diffuse cinq clips mettant en scène le chorégraphe et sa troupe de danseurs en rythme avec le ballet des robots. «Le talent et la notoriété de Kamel Ouali apportent au concept technologique de départ la dimension artistique mais aussi pluri-générationnelle recherchée», a ajouté Dominique Hummel, président du directoire du Futuroscope.
Créé en 1987, le Futuroscope s'est lancé en février sur le thème très à la mode des robots, avec notamment un «zoo des robots». Il vise 1,5 million de visiteurs en 2006, son point d'équilibre, contre 1,434 million en 2005.
