Le groupe culte algérien ''Raina Rai'' et marocain ''Darga'' ont mis, samedi soir, le public casablancais en transe lors d'une soirée musicale fiévreuse, où la Place Mohammed V s'est transformée en un gigantesque concert.
Des centaines de Casablancais et d'étrangers avides de sensations musicales ont envahi la grande place pour vibrer au rythme d'une musique maghrébine festive et débridée.
Le groupe algérien, un des pionniers mais aussi une véritable école de musique maghrébine, a puisé dans son répertoire musical ancien de 20 ans et interprété ses nouveaux tubes : ''Taila'', ''Ya Zina'', ''Rani Mhayer'', ''Hagda'', ''Raina Hak''. Des morceaux chantés en choeur par un public qui les apprend par coeur.
La formation marocaine d'origine casablancaise ''Darga'', qui avait cédé la scène au groupe algérien, a, quant à elle, joué sa musique world maghrébine, en chantant ''Casablanca'', ''Chômage'', ''Abdelkrim El Khattabi'' ainsi que des thèmes de tolérance et de la paix.
Ce groupe de scène, qui se veut porte-parole de la jeunesse maghrébine et trouve son inspiration aux confins du reggae, raga, ska, dub, chaabi, ragada, funk, jazz, prône une vision de métissage où s'entrecroisent une multitude de rythmiques traditionnelles et modernes, profanes et sacrées, urbaines et rurales, et où gnaoui et reggae constituent le carrefour de leurs optiques musicales.
Organisée dans le cadre de la 1ère édition du festival ''Théâtre et Cultures'' (19-24 janvier), cette soirée s'était ouverte sur des morceaux de groupe espagnol ''Enric Hernanez'' connu par une nouvelle sonorité de musique pop, bolero, bossa nova et merengue, parsemée de poésie espagnole et catalane.
Des centaines de Casablancais et d'étrangers avides de sensations musicales ont envahi la grande place pour vibrer au rythme d'une musique maghrébine festive et débridée.
Le groupe algérien, un des pionniers mais aussi une véritable école de musique maghrébine, a puisé dans son répertoire musical ancien de 20 ans et interprété ses nouveaux tubes : ''Taila'', ''Ya Zina'', ''Rani Mhayer'', ''Hagda'', ''Raina Hak''. Des morceaux chantés en choeur par un public qui les apprend par coeur.
La formation marocaine d'origine casablancaise ''Darga'', qui avait cédé la scène au groupe algérien, a, quant à elle, joué sa musique world maghrébine, en chantant ''Casablanca'', ''Chômage'', ''Abdelkrim El Khattabi'' ainsi que des thèmes de tolérance et de la paix.
Ce groupe de scène, qui se veut porte-parole de la jeunesse maghrébine et trouve son inspiration aux confins du reggae, raga, ska, dub, chaabi, ragada, funk, jazz, prône une vision de métissage où s'entrecroisent une multitude de rythmiques traditionnelles et modernes, profanes et sacrées, urbaines et rurales, et où gnaoui et reggae constituent le carrefour de leurs optiques musicales.
Organisée dans le cadre de la 1ère édition du festival ''Théâtre et Cultures'' (19-24 janvier), cette soirée s'était ouverte sur des morceaux de groupe espagnol ''Enric Hernanez'' connu par une nouvelle sonorité de musique pop, bolero, bossa nova et merengue, parsemée de poésie espagnole et catalane.
