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Mais comme ils n'ont pas encore 21 ans, les règlements de la Fédération internationale de football (FIFA) sont on ne peut plus claires : les jeunes joueurs de l'équipe nationale juniors qui ne seraient pas originaires d'un pays hôte peuvent opter pour leur pays d'origine en équipe nationale seniors.
Afalay et Issati, les deux «Néerlandais» du PSV Eindhoven n'ont jamais caché leur préférence pour le «Club Maroc».
Afalay, un défenseur de charme, mais intraitable sur le porteur de ballon, a déjà défendu les couleurs de l'équipe nationale du Maroc lors du dernier championnat du monde juniors aux Pays-Bas en 2005. Il a atteint, en compagnie de ses coéquipiers marocains, le stade des demi-finales. Les démarches du DTN, Fethi Jamal, ont été concluantes auprès de Adil Chihi qui a, finalement, opté pour l'équipe du Maroc.
Issati, lui, est un inamovible milieu de terrain offensif. Grâce à une vista hors pair, il pourvoit ses attaquants en ballons distillés. Il est, également, un buteur patenté du PSV. Ses qualités intrinsèques ont fait de lui un titulaire à part entière au sein d'un groupe où l'adversité est féroce.
Sa venue au sein du Onze national sera d'un apport indéniable. Les deux joueurs du PSV n'ont pas laissé passer l'occasion de démontrer toute l'étendue de leur talent lors du championnat hollandais de football. Ils ont carrément étrillé le Sparta de Rotterdam par un score fleuve : 7 buts à 0 !! Les démarches auprès d'Afalay sont en cours pour le convaincre de poursuivre son aventure avec son pays d'origine. Mais, cette fois, en compagnie de l'équipe nationale «A».
Toutefois, le choix de ces joueurs ne se fait pas sans une certaine pression de la part des entraîneurs de leurs clubs. Certains ont posé aux sportifs marocains une ligne à ne pas dépasser. Une fois, Guss Hidding, l'ex-entraîneur de
«l'Oranje Machine » avait forcé les joueurs à opter pour la Hollande, sinon ils auraient perdu leur titularisation au sein du club. Mais les joueurs d'origine marocaine, encouragés par leurs familles, choisissent sans hésiter de défendre les couleurs du pays de leurs ancêtres.
Le dernier en date est le jeune capitaine de l'équipe réserve du club français de Lens. Il s'appelle Adil Hermache. Ses déclarations à une chaîne locale sont très édifiantes : «Je suis marocain et fier de l'être !» Sans commentaires ! Des «Hermaches», des «Bassir» attachés à leurs racines et talentueux de surcroît, le Vieux Continent en grouille. Il suffit pour nos responsables d'aller les dénicher. L'équipe nationale du Maroc n'en sera que gagnante !
Afalay et Issati, les deux «Néerlandais» du PSV Eindhoven n'ont jamais caché leur préférence pour le «Club Maroc».
Afalay, un défenseur de charme, mais intraitable sur le porteur de ballon, a déjà défendu les couleurs de l'équipe nationale du Maroc lors du dernier championnat du monde juniors aux Pays-Bas en 2005. Il a atteint, en compagnie de ses coéquipiers marocains, le stade des demi-finales. Les démarches du DTN, Fethi Jamal, ont été concluantes auprès de Adil Chihi qui a, finalement, opté pour l'équipe du Maroc.
Issati, lui, est un inamovible milieu de terrain offensif. Grâce à une vista hors pair, il pourvoit ses attaquants en ballons distillés. Il est, également, un buteur patenté du PSV. Ses qualités intrinsèques ont fait de lui un titulaire à part entière au sein d'un groupe où l'adversité est féroce.
Sa venue au sein du Onze national sera d'un apport indéniable. Les deux joueurs du PSV n'ont pas laissé passer l'occasion de démontrer toute l'étendue de leur talent lors du championnat hollandais de football. Ils ont carrément étrillé le Sparta de Rotterdam par un score fleuve : 7 buts à 0 !! Les démarches auprès d'Afalay sont en cours pour le convaincre de poursuivre son aventure avec son pays d'origine. Mais, cette fois, en compagnie de l'équipe nationale «A».
Toutefois, le choix de ces joueurs ne se fait pas sans une certaine pression de la part des entraîneurs de leurs clubs. Certains ont posé aux sportifs marocains une ligne à ne pas dépasser. Une fois, Guss Hidding, l'ex-entraîneur de
«l'Oranje Machine » avait forcé les joueurs à opter pour la Hollande, sinon ils auraient perdu leur titularisation au sein du club. Mais les joueurs d'origine marocaine, encouragés par leurs familles, choisissent sans hésiter de défendre les couleurs du pays de leurs ancêtres.
Le dernier en date est le jeune capitaine de l'équipe réserve du club français de Lens. Il s'appelle Adil Hermache. Ses déclarations à une chaîne locale sont très édifiantes : «Je suis marocain et fier de l'être !» Sans commentaires ! Des «Hermaches», des «Bassir» attachés à leurs racines et talentueux de surcroît, le Vieux Continent en grouille. Il suffit pour nos responsables d'aller les dénicher. L'équipe nationale du Maroc n'en sera que gagnante !
