Connexion
La ministre déléguée chargée des Marocains résidant à l'étranger, Nouzha Chekrouni, a affirmé que les Marocains résidant à l'étranger restent une composante essentielle du nouveau Maroc, soulignant leur contribution au développement du Royaume.
Intervenant mercredi lors d'une journée d'étude à Grenade (Espagne) sur «la migration marocaine et sa contribution à la réussite du processus de développement humain», la ministre a souligné que cette communauté peut contribuer de manière positive à la réussite de la stratégie nationale pour le développement humain, économique, social et culturel, à relever les défis de l'intégration et à faire face au phénomène de l'exode des cerveaux.
Après avoir mis en relief les objectifs de l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) qui vise essentiellement à lutter contre la pauvreté et l'exclusion et à réaliser un développement humain durable, Mme Chekrouni a souligné que cette initiative a une vision globale sur le rôle que peuvent jouer les Marocains résidant à l'étranger pour réussir le projet de développement et exploiter leurs compétences en matière de transfert de la connaissance, de l'expertise et de la technologie.
Et de mettre en exergue l'importance des décisions Royales visant le développement de la contribution des potentialités nationales résidant à l'étranger et des initiatives du forum international des compétences marocaines résidant à l'étranger visant à soutenir les projets de développement.
La communauté marocaine résidant à l'étranger, qui a fait l'objet de quatre décisions Royales «importantes et complémentaires», en l'occurrence la représentativité au sein de la Chambre des représentants, la création de circonscriptions électorales à l'étranger, le droit de vote et de candidature en faveur des nouvelles générations et la création d'un haut conseil pour la communauté, sera «à la tête des potentialités qui contribueront au développement du pays et à la défense de l'unité territoriale du Royaume», a-t-elle affirmé.
Pour sa part, le conseiller à la présidence du gouvernement andalou, Gaspar Zarrias Arribalo, a souligné l'importance impérieuse de raffermir les relations du Maroc avec l'Espagne et de diversifier les liens de partenariat et de coopération politique et culturelle dans le but de faire face aux défis à venir.
Evoquant la problématique migratoire, Zarrias Arribalo a estimé que la lutte contre ce phénomène passe par le développement durable et la coopération fructueuse entre les pays du pourtour méditerranéen, ajoutant que cette question constitue un «défi stratégique» pour les gouvernements des deux pays et l'ensemble des pays de la région.
A ce propos, il a affirmé que «le gouvernement de son pays reste “confiant” quant aux initiatives de modernisation et de réformes en cours au Maroc, qui sont, a-t-il fait valoir, des indices positifs du progrès accompli dans le Royaume et une plate-forme solide pour relever les défis et réaliser les objectifs de développement».
Abderrahim Lahjouji, chef du parti des Forces citoyennes, a, de son côté, considéré que l'approche objective qui préside à l'INDH prend appui principalement sur le principe du partenariat entre les diverses composantes et forces vives de la société marocaine, ce qui est à même de consacrer l'esprit de citoyenneté et de responsabilité.
Dans un exposé sur l'INDH, M. Lahjouji a relevé que la question socio-économique, qui figure à la tête des priorités de cette initiative, requiert le soutien de la communauté marocaine résidant à l'étranger ainsi qu'une responsabilité partagée entre le Maroc et ses partenaires européens en vue de mettre le développement au service de l'amélioration des conditions de vie de la population et lutter contre l'immigration irrégulière.
Initiée par l'association Ibn Rochd pour la coopération et le développement en collaboration avec la fondation Europe-Monde arabe, cette journée d'étude a vu la participation de nombreux chercheurs marocains et espagnols.
Intervenant mercredi lors d'une journée d'étude à Grenade (Espagne) sur «la migration marocaine et sa contribution à la réussite du processus de développement humain», la ministre a souligné que cette communauté peut contribuer de manière positive à la réussite de la stratégie nationale pour le développement humain, économique, social et culturel, à relever les défis de l'intégration et à faire face au phénomène de l'exode des cerveaux.
Après avoir mis en relief les objectifs de l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) qui vise essentiellement à lutter contre la pauvreté et l'exclusion et à réaliser un développement humain durable, Mme Chekrouni a souligné que cette initiative a une vision globale sur le rôle que peuvent jouer les Marocains résidant à l'étranger pour réussir le projet de développement et exploiter leurs compétences en matière de transfert de la connaissance, de l'expertise et de la technologie.
Et de mettre en exergue l'importance des décisions Royales visant le développement de la contribution des potentialités nationales résidant à l'étranger et des initiatives du forum international des compétences marocaines résidant à l'étranger visant à soutenir les projets de développement.
La communauté marocaine résidant à l'étranger, qui a fait l'objet de quatre décisions Royales «importantes et complémentaires», en l'occurrence la représentativité au sein de la Chambre des représentants, la création de circonscriptions électorales à l'étranger, le droit de vote et de candidature en faveur des nouvelles générations et la création d'un haut conseil pour la communauté, sera «à la tête des potentialités qui contribueront au développement du pays et à la défense de l'unité territoriale du Royaume», a-t-elle affirmé.
Pour sa part, le conseiller à la présidence du gouvernement andalou, Gaspar Zarrias Arribalo, a souligné l'importance impérieuse de raffermir les relations du Maroc avec l'Espagne et de diversifier les liens de partenariat et de coopération politique et culturelle dans le but de faire face aux défis à venir.
Evoquant la problématique migratoire, Zarrias Arribalo a estimé que la lutte contre ce phénomène passe par le développement durable et la coopération fructueuse entre les pays du pourtour méditerranéen, ajoutant que cette question constitue un «défi stratégique» pour les gouvernements des deux pays et l'ensemble des pays de la région.
A ce propos, il a affirmé que «le gouvernement de son pays reste “confiant” quant aux initiatives de modernisation et de réformes en cours au Maroc, qui sont, a-t-il fait valoir, des indices positifs du progrès accompli dans le Royaume et une plate-forme solide pour relever les défis et réaliser les objectifs de développement».
Abderrahim Lahjouji, chef du parti des Forces citoyennes, a, de son côté, considéré que l'approche objective qui préside à l'INDH prend appui principalement sur le principe du partenariat entre les diverses composantes et forces vives de la société marocaine, ce qui est à même de consacrer l'esprit de citoyenneté et de responsabilité.
Dans un exposé sur l'INDH, M. Lahjouji a relevé que la question socio-économique, qui figure à la tête des priorités de cette initiative, requiert le soutien de la communauté marocaine résidant à l'étranger ainsi qu'une responsabilité partagée entre le Maroc et ses partenaires européens en vue de mettre le développement au service de l'amélioration des conditions de vie de la population et lutter contre l'immigration irrégulière.
Initiée par l'association Ibn Rochd pour la coopération et le développement en collaboration avec la fondation Europe-Monde arabe, cette journée d'étude a vu la participation de nombreux chercheurs marocains et espagnols.
