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Les sanctions à l'égard des deux joueurs de l'OCS impliqués dans les événements regrettables survenus dimanche dernier (8 avril 2007) au stade d'honneur d'Oujda sont dures.
La commission centrale de discipline du GNFE I n'a pas été indulgente envers Imad El Omary, 25 ans, demi centre, radié à vie et Kaled Zouine, 27 ans, milieu offensif, suspendu pour une période de 2 ans. Le milieu sportif safiot condamne rigoureusement ce genre de comportement non sportif, mais considère la sanction comme étant cruelle.
Pour en savoir un peu plus sur ce verdict et ses retombées, nous avons recueilli l'avis et les sentiments du président de l'OCS et de certains joueurs.
Ahmed Ghaïbi, président a déclaré que l'OCS, en tant que club, condamne vigoureusement les événements anti-sportifs survenus à Oujda, car, il considère que ce genre de comportement porte considérablement atteinte à l'image de marque du football national. Le devoir des dirigeants et des joueurs les interpelle à positiver autant soit peu le fair-play à l'intérieur des stades et non l'inverse.
Convaincu du comportement non tolérable de Imad El Omary, le comité est disposé à prendre les mesures qui s'imposent à l'encontre de ce genre d'acte. Et, pour terminer, il fait part à l'opinion publique de ce que les jugements prononcés par la CCD ne se sont pas basés sur des faits consignés sur les rapports aussi bien de l'arbitre que du commissaire du match, mais plutôt sur des séquences audiovisuelles.
Se fier à des séquences télévisées est en soi un pas de positif franchi par le GNF, mais à condition que ce travail ne soit pas soumis à une quelconque censure ou encore à des montages nettement dirigés. Pour Khaled Zouine, les événements regrettables survenus à Oujda ont pour origine l'arbitrage. En effet, le référé a complètement faussé la partie par sa partialité plus que flagrante.
Ceci paraissait pour les joueurs comme pure provocation. Laquelle a fini par devenir la goutte qui a fait déborder le vase à la fin de ce match si démentiel. Il estime que la seule erreur commise de sa part, c'est d'avoir saisi violemment la plaque en bois du 4e arbitre avant de l'envoyer dans les airs. Ce geste incontrôlé a été commis de sa part au moment où il a aperçu son ami et coéquipier Zouhair Afifi, gardien de but, allongé à terre à la suite d'une série de coups.
C'est pourquoi, il estime que la sanction qu'il vient d'écoper, lui qui est marié, chargé de famille et bientôt père de famille, est à la fois trop injuste et préjudiciable. L'acte commis de sa part ne mérite point une telle sanction. Il souhaite que bureau fédéral révise son cas tout en tenant compte de sa situation sociale et de son avenir de footballeur, profession qui est pour lui le gain pain et l'unique ressource.
L'autre joueur, El Omary, n'a pu être contacté, ni dans son domicile ni au téléphone. La sentence aura été pour lui très dure à supporter. Demi centre, âgé de 25 ans, El Omary, joueur connu par son tempérament calme et paisible, s'est toujours distingué de par son humilité, sa discipline et sa courtoisie. En visionnant le film de l'événement, il doit sûrement être choqué par sa radiation à vie.
La commission centrale de discipline du GNFE I n'a pas été indulgente envers Imad El Omary, 25 ans, demi centre, radié à vie et Kaled Zouine, 27 ans, milieu offensif, suspendu pour une période de 2 ans. Le milieu sportif safiot condamne rigoureusement ce genre de comportement non sportif, mais considère la sanction comme étant cruelle.
Pour en savoir un peu plus sur ce verdict et ses retombées, nous avons recueilli l'avis et les sentiments du président de l'OCS et de certains joueurs.
Ahmed Ghaïbi, président a déclaré que l'OCS, en tant que club, condamne vigoureusement les événements anti-sportifs survenus à Oujda, car, il considère que ce genre de comportement porte considérablement atteinte à l'image de marque du football national. Le devoir des dirigeants et des joueurs les interpelle à positiver autant soit peu le fair-play à l'intérieur des stades et non l'inverse.
Convaincu du comportement non tolérable de Imad El Omary, le comité est disposé à prendre les mesures qui s'imposent à l'encontre de ce genre d'acte. Et, pour terminer, il fait part à l'opinion publique de ce que les jugements prononcés par la CCD ne se sont pas basés sur des faits consignés sur les rapports aussi bien de l'arbitre que du commissaire du match, mais plutôt sur des séquences audiovisuelles.
Se fier à des séquences télévisées est en soi un pas de positif franchi par le GNF, mais à condition que ce travail ne soit pas soumis à une quelconque censure ou encore à des montages nettement dirigés. Pour Khaled Zouine, les événements regrettables survenus à Oujda ont pour origine l'arbitrage. En effet, le référé a complètement faussé la partie par sa partialité plus que flagrante.
Ceci paraissait pour les joueurs comme pure provocation. Laquelle a fini par devenir la goutte qui a fait déborder le vase à la fin de ce match si démentiel. Il estime que la seule erreur commise de sa part, c'est d'avoir saisi violemment la plaque en bois du 4e arbitre avant de l'envoyer dans les airs. Ce geste incontrôlé a été commis de sa part au moment où il a aperçu son ami et coéquipier Zouhair Afifi, gardien de but, allongé à terre à la suite d'une série de coups.
C'est pourquoi, il estime que la sanction qu'il vient d'écoper, lui qui est marié, chargé de famille et bientôt père de famille, est à la fois trop injuste et préjudiciable. L'acte commis de sa part ne mérite point une telle sanction. Il souhaite que bureau fédéral révise son cas tout en tenant compte de sa situation sociale et de son avenir de footballeur, profession qui est pour lui le gain pain et l'unique ressource.
L'autre joueur, El Omary, n'a pu être contacté, ni dans son domicile ni au téléphone. La sentence aura été pour lui très dure à supporter. Demi centre, âgé de 25 ans, El Omary, joueur connu par son tempérament calme et paisible, s'est toujours distingué de par son humilité, sa discipline et sa courtoisie. En visionnant le film de l'événement, il doit sûrement être choqué par sa radiation à vie.
