Le DEA posait les principes d'une politique de l'immigration qui garantissait aux immigrants arabes en Europe, l'égalité économique avec les nationaux.
Le dialogue euro-arabe devait exprimer une volonté politique conjointe, c'est-à-dire la nécessité d'une entente politique entre l'Europe et le monde arabe comme base aux accords économiques, ainsi l'obligation du côté européen de comprendre les intérêts politiques autant qu'économiques du monde arabe.
La coopération économique euro-arabe doit résulter d'une volonté politique. Elle doit donc reconnaître les intérêts politiques de cette coopération.
Dans le domaine économique, le dialogue avait pour but d'établir les conditions fondamentales du développement du monde arabe dans son ensemble et à réduire le fossé technologique qui sépare les pays arabes des pays européens.
Parmi les domaines demandés en matière de coopération, on cite la coopération dans la technologie nucléaire, la finance, la banque et la gestion des capitaux, la recherche scientifique, le développement technologique, la formation technique et professionnelle, l'utilisation de l'énergie nucléaire.
Dans cette corrélation entre secteur économique et politique, on constate, tout d'abord, la différence de niveaux entre les perspectives de la communauté européenne et celles de la Ligue arabe.
La CE recherche le rendement économique, le profil, par une stratégie d'expansion sur les marchés pétroliers, commerciaux, industriels. Son action se caractérise uniquement par un pragmatisme affairiste de gestionnaires technocrates qui élaborent des programmes d'assistance et de développement régionaux, ainsi que des ventes massives d'armes, d'équipements nucléaires et industriels. Le côté arabe, par contre, exploite l'économie comme le moyen radical d'instrumentaliser la CE dans une stratégie politique à long terme visant Israël, l'Europe et l'Amérique.
La coopération et la solidarité euro-arabe devaient se réaliser à travers les organisations internationales et les conférences internationales.
Reconnaissant la contribution historique de la culture arabe au développement européen. Soulignant l'apport que les pays européens peuvent encore attendre de la culture arabe, notamment dans le domaine des valeurs humaines.
Le principal objectif de la coopération dans les domaines de la culture et de la civilisation était la consolidation et l'approfondissement des bases de la compréhension culturelle et du rapprochement intellectuel entre les deux régions.
En Europe même, la stratégie arabe se développa principalement dans les directions suivantes : c'est-à-dire obtenir la parité économique et industrielle avec l'Occident par le transfert des technologies modernes, notamment nucléaire et militaire, ainsi à travers l'imposition de la marque politique, culturelle et religieuse arabe dans l'espace européen par une immigration qui demeurait politiquement et culturellement attachée aux pays d'origine.
On peut sans hésiter affirmer que le dialogue euro-arabe transforma en trente quatre ans (1973-2006) la civilisation européenne, donnant naissance à une culture hybride. Les civilisations se sont toujours engagées au dialogue.
L'histoire cependant dans le passé comme au présent, est trop souvent perçue comme un inventaire des antagonismes et des guerres, ils s'imposent donc deux approches méthodologiques : la recherche historique des éléments de dialogue, suivie par une réécriture de l'histoire comme l'histoire de dialogue et le départ d'une approche ethnocentrique de la culture et de la civilisation, en vue d'une nouvelle approche donnant préférence au transfert des connaissances et aux principes dans l'intérêt mutuel.
Le dialogue euro-arabe devait exprimer une volonté politique conjointe, c'est-à-dire la nécessité d'une entente politique entre l'Europe et le monde arabe comme base aux accords économiques, ainsi l'obligation du côté européen de comprendre les intérêts politiques autant qu'économiques du monde arabe.
La coopération économique euro-arabe doit résulter d'une volonté politique. Elle doit donc reconnaître les intérêts politiques de cette coopération.
Dans le domaine économique, le dialogue avait pour but d'établir les conditions fondamentales du développement du monde arabe dans son ensemble et à réduire le fossé technologique qui sépare les pays arabes des pays européens.
Parmi les domaines demandés en matière de coopération, on cite la coopération dans la technologie nucléaire, la finance, la banque et la gestion des capitaux, la recherche scientifique, le développement technologique, la formation technique et professionnelle, l'utilisation de l'énergie nucléaire.
Dans cette corrélation entre secteur économique et politique, on constate, tout d'abord, la différence de niveaux entre les perspectives de la communauté européenne et celles de la Ligue arabe.
La CE recherche le rendement économique, le profil, par une stratégie d'expansion sur les marchés pétroliers, commerciaux, industriels. Son action se caractérise uniquement par un pragmatisme affairiste de gestionnaires technocrates qui élaborent des programmes d'assistance et de développement régionaux, ainsi que des ventes massives d'armes, d'équipements nucléaires et industriels. Le côté arabe, par contre, exploite l'économie comme le moyen radical d'instrumentaliser la CE dans une stratégie politique à long terme visant Israël, l'Europe et l'Amérique.
La coopération et la solidarité euro-arabe devaient se réaliser à travers les organisations internationales et les conférences internationales.
Reconnaissant la contribution historique de la culture arabe au développement européen. Soulignant l'apport que les pays européens peuvent encore attendre de la culture arabe, notamment dans le domaine des valeurs humaines.
Le principal objectif de la coopération dans les domaines de la culture et de la civilisation était la consolidation et l'approfondissement des bases de la compréhension culturelle et du rapprochement intellectuel entre les deux régions.
En Europe même, la stratégie arabe se développa principalement dans les directions suivantes : c'est-à-dire obtenir la parité économique et industrielle avec l'Occident par le transfert des technologies modernes, notamment nucléaire et militaire, ainsi à travers l'imposition de la marque politique, culturelle et religieuse arabe dans l'espace européen par une immigration qui demeurait politiquement et culturellement attachée aux pays d'origine.
On peut sans hésiter affirmer que le dialogue euro-arabe transforma en trente quatre ans (1973-2006) la civilisation européenne, donnant naissance à une culture hybride. Les civilisations se sont toujours engagées au dialogue.
L'histoire cependant dans le passé comme au présent, est trop souvent perçue comme un inventaire des antagonismes et des guerres, ils s'imposent donc deux approches méthodologiques : la recherche historique des éléments de dialogue, suivie par une réécriture de l'histoire comme l'histoire de dialogue et le départ d'une approche ethnocentrique de la culture et de la civilisation, en vue d'une nouvelle approche donnant préférence au transfert des connaissances et aux principes dans l'intérêt mutuel.
