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Le Wali de la région de l'Oriental, gouverneur de la préfecture d'Oujda-Angad, Mohamed Ibrahimi, s'est réuni, lundi soir, avec une trentaine de jeunes diplômés chômeurs des deux sexes de la région de l'Oriental, qui viennent d'être intégrés dans la vie active, à partir de 2006.
Une vingtaine d'entre eux ont reçu ainsi leurs agréments pour exercer dans le transport mixte avec accompagnement pour l'acquisition de mini bus, cinq dans le préscolaire, secteur promu à de bonnes perspectives pour le privé, trois recrutés dans la municipalité de la ville et les autres ont bénéficié de kiosques modernes aménagés par SAPRESS.
Le wali a également évoqué les possibilités d'emploi offertes par les marchés de grande surface, notamment «Marjane» d'Oujda, qui aura besoin de 300 postes de travail avant la fin de l'année et «Aswak Salam», comme par la privatisation en perspective de la gestion d'autres marchés de quartiers dans la ville. Il a souligné qu'une opération de formation est supervisée par le centre régional d'investissement (CRI) et que des contacts seront pris avec des entreprises étrangères et locales pour le recrutement d'un maximum de jeunes dans le primo emploi dans le cadre de la mise à niveau, en plus de petits projets dont l'étude est prête, et de stages prévus au sein d'entreprises.
Le wali a de même évoqué l'importance des activités génératrices de revenus (AGR), citant le cas de Figuig où l'Etat demeure le principal employeur, d'où la nécessite d'y développer le secteur privé et les coopératives ainsi que l'acheminement vers «l'externalisation» de services comme de l'ONEP et Maroc-Télécom au profit de jeunes bénéficiaires, alors qu'un programme de 62 millions de dirhams pour le développement des AGR dans la province de Figuig est prévu à partir de l'année en cours.
Il a annoncé qu'une vingtaine de secteurs offre des perspectives de création de coopératives, tels que l'exploitation de gypse, de plantes médicinales et aromatiques, de matériaux de construction, laine et produits laitiers, assurant que l'agence de développement de l'Oriental et le Ministère de l'intérieur ont réservé 5 millions de dirhams chacun pour l'encadrement des coopératives, tout comme l'Etat finance la reconstitution de cheptel avec des dons et crédits agricoles au profit de ceux venus en ville et désirant revenir à la campagne.
M. Ibrahimi a ajouté que la région de l'Oriental a décidé la création d'un fonds de promotion de l'emploi d'un montant de 15 millions de dirhams, en plus d'une enveloppe gouvernementale équivalente (soit 30 millions au total) pour la promotion des PME et d'autres facilités concernant notamment la création des SARL (sociétés à responsabilité limitée).
Le wali a particulièrement mis l'accent sur la nécessité pour les jeunes de se préparer pour des échéances importantes d'emploi dans la région de l'Oriental au cours des 5 prochaines années, notamment en rapport avec le gigantesque projet de la nouvelle station balnéaire de Saidia qui promet 50.000 emplois, dont 8000 directs, et qui recevra plus de 600.000 touristes par an, soit un créneau porteur à exploiter, à l'exemple d'Agadir et de Marrakech, où diverses activités sont florissantes par effet multiplicateur, à l'exemple des artisans qui y font d'excellents affaires.
En outre, une étude est en cours d'achèvement sur l'industrie dans l'Oriental, un secteur qui se révèle prometteur et qui aura besoin de personnel qualifié, notamment dans l'offshoring, où le Maroc est appelé à devenir un acteur important, a-t-il dit.
Le wali a souligné, à l'occasion, que les collectivités locales souffrent déjà de pléthore, puisque nombre d'employés y reçoivent des salaires s'apparentant, en fait, à des «primes de chômage» versées aux dépens de l'équipement nécessaire à ces collectivités, et que la voie est tout indiquée pour les jeunes de se préparer à ces opportunités (tourisme, industrie) en se formant notamment dans les «spécialités» liées à des secteurs prometteurs comme le tourisme (Saidia : location et achat de locaux) et l'agro-alimentaire, d'autant plus que le financement de projets en ce sens existe et que seul l'esprit d'initiative doit être de mise.
M. Ibrahimi a annoncé dans le sillage qu'une rencontre régionale sur l'emploi dans l'Oriental est bien prévue pour apporter la lumière sur ce volet et adapter les propositions du gouvernement à la réalité et le futur de cette région.
Une vingtaine d'entre eux ont reçu ainsi leurs agréments pour exercer dans le transport mixte avec accompagnement pour l'acquisition de mini bus, cinq dans le préscolaire, secteur promu à de bonnes perspectives pour le privé, trois recrutés dans la municipalité de la ville et les autres ont bénéficié de kiosques modernes aménagés par SAPRESS.
Le wali a également évoqué les possibilités d'emploi offertes par les marchés de grande surface, notamment «Marjane» d'Oujda, qui aura besoin de 300 postes de travail avant la fin de l'année et «Aswak Salam», comme par la privatisation en perspective de la gestion d'autres marchés de quartiers dans la ville. Il a souligné qu'une opération de formation est supervisée par le centre régional d'investissement (CRI) et que des contacts seront pris avec des entreprises étrangères et locales pour le recrutement d'un maximum de jeunes dans le primo emploi dans le cadre de la mise à niveau, en plus de petits projets dont l'étude est prête, et de stages prévus au sein d'entreprises.
Le wali a de même évoqué l'importance des activités génératrices de revenus (AGR), citant le cas de Figuig où l'Etat demeure le principal employeur, d'où la nécessite d'y développer le secteur privé et les coopératives ainsi que l'acheminement vers «l'externalisation» de services comme de l'ONEP et Maroc-Télécom au profit de jeunes bénéficiaires, alors qu'un programme de 62 millions de dirhams pour le développement des AGR dans la province de Figuig est prévu à partir de l'année en cours.
Il a annoncé qu'une vingtaine de secteurs offre des perspectives de création de coopératives, tels que l'exploitation de gypse, de plantes médicinales et aromatiques, de matériaux de construction, laine et produits laitiers, assurant que l'agence de développement de l'Oriental et le Ministère de l'intérieur ont réservé 5 millions de dirhams chacun pour l'encadrement des coopératives, tout comme l'Etat finance la reconstitution de cheptel avec des dons et crédits agricoles au profit de ceux venus en ville et désirant revenir à la campagne.
M. Ibrahimi a ajouté que la région de l'Oriental a décidé la création d'un fonds de promotion de l'emploi d'un montant de 15 millions de dirhams, en plus d'une enveloppe gouvernementale équivalente (soit 30 millions au total) pour la promotion des PME et d'autres facilités concernant notamment la création des SARL (sociétés à responsabilité limitée).
Le wali a particulièrement mis l'accent sur la nécessité pour les jeunes de se préparer pour des échéances importantes d'emploi dans la région de l'Oriental au cours des 5 prochaines années, notamment en rapport avec le gigantesque projet de la nouvelle station balnéaire de Saidia qui promet 50.000 emplois, dont 8000 directs, et qui recevra plus de 600.000 touristes par an, soit un créneau porteur à exploiter, à l'exemple d'Agadir et de Marrakech, où diverses activités sont florissantes par effet multiplicateur, à l'exemple des artisans qui y font d'excellents affaires.
En outre, une étude est en cours d'achèvement sur l'industrie dans l'Oriental, un secteur qui se révèle prometteur et qui aura besoin de personnel qualifié, notamment dans l'offshoring, où le Maroc est appelé à devenir un acteur important, a-t-il dit.
Le wali a souligné, à l'occasion, que les collectivités locales souffrent déjà de pléthore, puisque nombre d'employés y reçoivent des salaires s'apparentant, en fait, à des «primes de chômage» versées aux dépens de l'équipement nécessaire à ces collectivités, et que la voie est tout indiquée pour les jeunes de se préparer à ces opportunités (tourisme, industrie) en se formant notamment dans les «spécialités» liées à des secteurs prometteurs comme le tourisme (Saidia : location et achat de locaux) et l'agro-alimentaire, d'autant plus que le financement de projets en ce sens existe et que seul l'esprit d'initiative doit être de mise.
M. Ibrahimi a annoncé dans le sillage qu'une rencontre régionale sur l'emploi dans l'Oriental est bien prévue pour apporter la lumière sur ce volet et adapter les propositions du gouvernement à la réalité et le futur de cette région.
